Pagini

miercuri, 3 februarie 2016

Doctrina Crestinã Nancy Franta, Algeria, Les Sœurs de la Doctrine Chrétienne de Nancy France, en Algérie, Historique, Arrivée des Sœurs par bateau le 21/22 Mai 1841 en Algérie ( surlesroutesdeladoc.fr )

Doctrina Crestinã Nancy Franta, Algeria, Les Sœurs de la Doctrine Chrétienne de Nancy France, en Algérie, Historique, Arrivée des Sœurs par bateau le 21/22 Mai 1841 en Algérie ( surlesroutesdeladoc.fr )


La Doctrine en Algérie/Doctrina in Algeria
Les Sœurs de la Doctrine Chrétienne en Algérie/ Surorile Doctrinei Crestine in Algeria
Historique / Arrivée des Sœurs par bateau le 21 / 22 Mai 1841 en Algérie/ Istoric/Sosirea Surorilor cu vaporul la 21/22 mai 1841 in Algeria
http://www.surlesroutesdeladoc.fr/page-4166091.html
(blogul Surorilor Doctrinei Crestine din Nancy (sediul-mamã, casa-mama) care cuprinde articole si albume cu fotografiile Doctrinei Crestine in toate tarile in care a fost si este prezenta Doctrina, inca denumita « La Doc »
http://www.surlesroutesdeladoc.fr/2013/11/album-algérie.html

http://www.surlesroutesdeladoc.fr/2013/11/album-algérie.html



Historique / Arrivée des Sœurs par bateau le 21 / 22 Mai 1841 en Algérie


La Doctrine en Algérie
Arrivées des soeurs par bateau en Algérie le 21/22 mai 1841à 9 h. du matin  sous la houlette de Mère Louise Leclerc.
En Algérie, c'est une Alsacienne, Sœur Théodore Gerspach, qui est, en 1900,   
Provinciale de la Doctrine Chrétienne de Nancy. Arrivée à Philippeville en 1860 alors âgée de 22 ans, elle y est devenue institutrice, quelque peu malmenée.

BLIDA
Les Religieuses de la Doctrine Chrétienne. s'installèrent à Blida, en 1846, dans la rue Denfert-Rochereau, où elles tinrent l'école communale. La Supérieure était Mère Paul Bruaut, religieuse de grand cœur et d'une énergie à toute épreuve. Le Cardinal Lavigerie, qui connaissait sa valeur, l'envoya à Ben Aknoun soigner les orphelins arabes, en 1867. Elle s'y dépensa avec une abnégation admirable, tant qu'on eut besoin d'elle. Puis elle revint à Blida, se dévouer encore à l'éducation de la jeunesse. Disons que son école comptait 400 élèves en 1865, quand l'Empereur fit sa visite à Blida. Elle mourut à la tâche, en 1878, et Monseigneur Lavigerie, qui l'avait vue à l'œuvre et l'estimait profondément, voulut présider ses funérailles et fît son éloge funèbre dans les termes les plus accentués. Monseigneur Dusserre, Evêque élu de Constantine, accompagna le corps jusqu'au cimetière.
Après Mère Paul, la direction des écoles communales fut retirée aux Religieuses de la Doctrine chrétienne. C'est alors qu'elles fondèrent un établissement libre, avenue des Moulins, villa Boudon. Le bien continua à s'y faire, sous le supériorat successif de Mère Saint-André Jacques et de Mère Renée Klein.

Au cours de l'année 1893, la maison étant devenue tout à fait insuffisante pour abriter les élèves qui accouraient de toutes parts, le Pensionnat actuel de l'Immaculée-Conception fut construit, grâce à l'initiative de M. le Chanoine Piquemal, curé de Blida. L'inauguration en fut faite, le 30 septembre 1894, et Mère Léonce Malget en prit la direction. Âme vaillante, — on pourrait dire virile — qui, guidée par la main paternelle de M. Piquemal, sut imprimer à l'établissement un caractère remarquable de discipline et de distinction. Aussi, l'Immaculée Conception connut alors la plus grande prospérité. Malheureusement, les lois de persécution survinrent et la maison reçut notification de sa fermeture, en 1907. On obtint à grand peine une année de sursis, et, en 1908, malgré les réclamations de la population tout entière et les 1522 signatures légalisées par le maire, qui constituaient une imposante pétition, les Religieuses durent abandonner leur chère maison et quitter Blida.
Elles furent remplacées par un personnel laïque, et sans l'appui et les conseils de M. Thibon, le curé d'alors, l'institution aurait sombré dans un naufrage irrémédiable.
Mère Léonce y revint heureusement en 1921, seule d'abord, puis suivie de quelques religieuses qui ne s'occupaient pas d'enseignement, mais de surveillance et de direction morale et matérielle. Mère Léoncequitta le pensionnat en 1921 et fut remplacée par Mère Symphorose Briet, que suivirent Mère Anne-Joseph Febvet (1931-1935), et Mère Marguerite Censi (1935), Supérieure actuelle du Pensionnat.
L'établissement compte environ 200 élèves, dont une quarantaine de pensionnaires. On y donne l'instruction primaire supérieure.
On compte parmi les internes les élèves qui désirent poursuivre leurs études à l'E.P.S. ou au Cours secondaire. Ces jeunes filles bénéficient de l'éducation et de l'instruction religieuses données au Pensionnat.
Depuis 1925, un cours de sténo dactylo comptabilité, dirigé par une religieuse diplômée, permet aux jeunes filles de se créer une situation, à bref délai. En fin d'année scolaire, les candidates subissent, à Alger, les examens de l' Académie dactylographique de France.

Inspirer aux jeunes filles le respect et l'amour de la religion, orner leur esprit de connaissances utiles et agréables, baser toute l'éducation, l'accomplissement des devoirs de famille et de société sur les vrais principes chrétiens, tel est le but poursuivi par les Religieuses qui s'y dévouent. - Chanoine A.Vial - 1936
Dans le cours de la soirée, j'allai rendre visite aux sœurs de la Doctrine chrétienne. Jusqu'ici le gouvernement révolutionnaire ne les avait point molestées. Elles sont aimées de tout le monde, et dirigent un pensionnat de demoiselles ainsi que les écoles communales, où l'on compte plus de cinq cents enfants pauvres. Ces religieuses sont au nombre de dix-neuf. La mère Saint-Paul, leur supérieure, a une de ces bonnes physionomies intelligentes que l'on a du plaisir à contempler.    (extrait de : L’Algérie contemporaine illustrée de lady Herbert 1882)

Note : Document Blida

Bab-Azoum
Bab-Azouu.png

DALMATIE
Orphelinat de la Sainte famille
En octobre 1858, les sœurs de la Doctrine Chrétienne, présentes à Blida depuis 1849 
viennent  ouvrir une école : Mère Paule Bruand, accompagnée de 2 religieuses.
   
Fort National

En 1868 quatre religieuses de la Doctrine Chrétienne de Nancy venaient ouvrir une maison d'éducation dans un bâtiment militaire. Elles y restèrent 19 ans. Les soeurs furent contraintes de fermer leur école en 1886 et de céder la place à l'enseignement public.

DJELFA

En 1868 trois religieuses de la doctrine chrétienne arrivent à Djelfa pour diriger un ouvroir destiné aux filles musulmanes à qui on enseigne le tissage de la laine.

ORAN
BOUFARIK

SOUVENIRS :
ECOLE DES SOEURS A BOUFARIK
A Boufarik, à l'école des soeurs, où je suis allée de la maternelle à mon entrée au collège, il n'y avait qu'une soeur, me semble-t-il. Mais quelle Soeur : c'était Notre Mère. Il me semble qu'elle s'appelait Soeur Marie. Je la revoir avec son beau sourire dans son visage tout rond, ses yeux pétillaient toujours ! Nous l'adorions ! Mes instits étaient des laïques : Mlles ALZINA et BOREL. Lorsque Notre Mère venait nous voir en classe, elle nous demandait toujours "qui veut être religieuse ?" et nous levions le doigt pour lui faire plaisir !
Nous étions heureuses dans cette école où j'ai vu pour la première fois tomber la neige : les classes ont été interrompues ! Et puis il y avait la kermesse ! et le spectacle au Théâtre de Boufarik ! Voilà, c'était dans les années 1948 à 53.
Voilà ce que je pouvais vous dire sur Notre Mère au si doux visage.
Je suis si triste de ne pouvoir me rendre sur les lieux de ma jeunesse !
Ah, encore une chose : le texte d'une chanson que l'on nous avait apprise :
à l'école de ma Soeur Marie,
on entend les enfants qui crient !
Voulez-vous vous taire,
enfants de pommes de terre,
taisez-vous vous aurez cent sous (Mme Testelin-Roy)
Soeur présente à Boufarik vers 1900 : Soeur Octavie CHRISTOPIE

CONSTANTINE
Constantine.png

Le préfet Zœpffel disait, un jour, à la supérieure, la célèbre Mère Ursule : « Ma Sœur, mes espérances sont dépassées. Vous êtes la première femme de la province. » Les Sœurs de la Doctrine dirigeaient l'hôpital de Constantine.

BÔNE
Le 21 juin 1909, toujours en vertu de cette loi sur les congrégations, les écoles des Soeurs de la doctrine Chrétienne de Bugeaud et celle de la rue Garibaldi à Bône, sont fermées.
En octobre 1921, l’école Vaccaro (rue Bugeaud) « renaît », il est créé le Cours Complémentaire et Supérieur pour jeunes filles.
Le 3 septembre 1940, la loi sur les congrégations du 7 juillet 1904 est abrogée. Une partie des Sœurs reprennent du service à l’école, certaines à l’hôpital, d’autres effectuant d’autres tâches.
Le 5 décembre 1942, presque tous les élèves et enseignants de Bône sont évacués sur Bugeaud dans les locaux de l’œuvre des Enfants à la Montagne et de la villa Thérèse, les classes de 6ème et 5ème sont assurées à la Doctrine Chrétienne où les abris sont suffisants et immédiatement surnommés Cottage Saint Augustin par les élèves.
Par arrêtés de M. le recteur de l'académie d'Alger, ont été nommés :

Mme Sager (sœur Céline), de la  Doctrine chrétienne, directrice de l'école des filles à Bône.
  
SETIF
Setif

Guelma
Le 17 juin 1908, par l’application de cette loi, les établissements scolaires des Soeurs de la doctrineChrétienne à Guelma rue de la Pépinière et de Souk-Ahras sont fermés.
Lettre de soeur St Pierre Ferry (Guelma) qu'elle adresse à sa nièce (soeur Angélique Ferry) qui vient de lui apprendre qu'elle devient soeur  de la Doctrine et dans laquelle elle parle de la vie à Guelma

Mahouan
Mahouan.png

Gigelly
Gigelly.png

Heliopolis
(voir très bel article dans la rubrique "décoration - reconnaissance)

Dellys
Les sœurs de la Doctrine chrétienne ont un fort bel établissement dans cette ville, et y sont aimées de tout le monde. Dellys est une ville très animée,

La Calle

En 1853, deux sœurs de la Doctrine chrétienne font l'école dans un ancien café.

Gastonville

Le 11 février 1851, est promulgué le décret qui constitue définitivement la cÀ ce moment 124 maisons sont bâties, ayant chacune une famille ; douze autres édifices abritent les services publics et les approvisionnements en vivres. Une salle d'asile et une école sont confiées à trois sœurs de la Doctrine chrétienne, une école de garçons est dirigée par un instituteur primaire.

EL-Arrouch

El-Arrouch.png

Mondovi

En 1850, le premier instituteur qui fonctionnait à Mondovi, et qui s'appelait, je crois, M. Beaumont, mourut du choléra. Présence des soeurs de la Doctrine Chrétienne et surtout de Mère Félicie, qui s'est fait remarquer par son dévouement admirable comme infirmière pendant la terrible épidémie. Bientôt, elle s'installa dans le village avec deux autres religieuses pour s'y consacrer à l'enseignement et au soulagement de bien des misères.

Par arrêtés de M. le recteur de l'académie d'Alger, ont été nommés :
Mme Anselme (sœur Euphrasie), de la Doctrine chrétienne, directrice de l'asile de Mondovi

Oued El Alleug


Téniet-el-Haad

"L'après-midi, après les vêpres, je voulus faire connaissance avec les sœurs de la Doctrine chrétienne, qui dirigent une école fréquentée par plus de trois cents enfants. Dans le courant de la semaine, la municipalité radicale avait fait une visite domiciliaire chez les religieuses, et s'était d'abord montrée très satisfaite des progrès des élèves, lorsqu'un de ces messieurs, prenant des mains d'une petite fille un Nouveau Testament qu'elle étudiait, dit à la supérieure : " Comment ! Vous osez enseigner ceci ? " - " Monsieur, " répondit la supérieure avec sang-froid, " je suis religieuse, et, tant que je serai ici, j'enseignerai la religion à ces enfants. " Il se mit alors à insulter aux images pieuses et au crucifix qui étaient dans la classe, en s'écriant : " Il faut balayer tout cela! "

Castiglioné
Documents


Source / Sursa : surlesroutesdeladoc.fr
http://www.surlesroutesdeladoc.fr/page-4166091.html


Niciun comentariu:

Trimiteți un comentariu