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marți, 29 martie 2016

Le jour où il a profané la statue de la Madone…, Une Minute avec Marie, 29 Mars 2016, Notre Dame Del Pilar

Le jour où il a profané la statue de la Madone…, Une Minute avec Marie, 29 Mars 2016, Notre Dame Del Pilar



Objet :
Le jour où il a profané la statue de la Madone…
De :
Une Minute avec Marie (lettre@mariedenazareth.org)
À :
Olivia Marcov;
Date :
Mardi 29 mars 2016 1h00

29 mars – Espagne, Calenda :

Par l'intercession de Notre Dame del Pilar, Miguel Juan Pellicer, amputé de la jambe droite 3 ans auparavant, se réveille avec ses deux jambes (1640)



Le jour où il a profané la statue de la Madone…



Durant la guerre civile d'Espagne (1936-1939), les anarchistes en "épurant" une ville de tous ses objets religieux essayent de renverser la statue de la Madone. En vain ! Une puissance mystérieuse la retient. Alors l'un d'entre eux, poussé par son fanatisme, monte sur le socle de la statue pour la décapiter. Sa manœuvre réussit à la grande joie de ses comparses, qui exhalent leur haine contre la religion autour de la statue mutilée.
A quelques semaines de là, l'anarchiste se présente chez le médecin et lui montre sa main malade... A cette vue, celui-ci est atterré. "Mais ce sont des taches de lèpre s'écrie-t-il... et il demande à voir l'autre main que le malheureux tient cachée dans la poche... : deux doigts de celle-ci sont déjà tombés en pourriture. Les autres sont déformés et gangrenés.
Le médecin reste perplexe. Il cherche à comprendre. - Avez-vous eu un contact avec des lépreux? Non. - Avez-vous des rapports avec des étrangers venant d'Afrique ou d'Asie ? - Non. -  Depuis quand avez-vous remarqué ces taches sur vos mains ?
A ces mots le malheureux fond en larmes et avoue que ces symptômes se sont révélés le jour où il a profané la statue de la Madone.



G. Pasquali S.S.P.
dans
"Quando Dio dice basta"


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L’Espagne est une terre mariale depuis le premier siècle, si on en croit la tradition selon laquelle l’apôtre saint Jacques aurait eu une apparition de la Vierge sur une colonne (sanctuaire El Pilar) - cette tradition n’a été fixée par écrit qu’au XII° siècle. Ce sanctuaire est cher aux Espagnols et Jean Paul II y est venu.
L’archéologie a retrouvé à Merida une église « sainte Marie » du II° siècle, - antérieure à la persécution de Dèce (200-251).
Et sous le sanctuaire de Notre Dame del Pilar, on retrouve une basilique datant du III° - IV° siècle dédiée à l’Assomption.
A la fin du V° siècle s’est développé la liturgie hispanique où Marie est exaltée comme la nouvelle Eve, la mère de Dieu et notre Mère, la médiatrice des grâces, la toujours vierge, montée au ciel, image de l’Eglise.
Les principaux sanctuaires sont donc celui de El Pilar, à Saragosse, puis Monserrat, Aranzazu…
Et n’oublions pas que la réforme du Carmel, commencée à Avila au XVI° siècle, a été placé sous la protection de Notre Dame, et de saint Joseph.
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Cf. Attilio GALLI, Madre della Chiesa dei Cinque continenti, Ed. Segno, Udine, 1997, p. 319-320.

http://www.mariedenazareth.com/vivre-avec-marie/espagne?utm_source=Une+minute+avec+Marie+%28fr%29&utm_campaign=060d35f082-UMM_FR_Q_2016_03_29&utm_medium=email&utm_term=0_a9c0165f22-060d35f082-105123817

Je vous salue, Marie pleine de grâces ; le Seigneur est avec vous. Vous êtes bénie entre toutes les femmes et Jésus, le fruit de vos entrailles, est béni. Sainte Marie, Mère de Dieu, priez pour nous pauvres pécheurs, maintenant et à l'heure de notre mort. Amen.


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