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duminică, 6 martie 2016

Salut! L'injustice fiscale ou l'abus de bien commun :, 6 mars/martie 2016

Salut! L'injustice fiscale ou l'abus de bien commun :, 6 mars/martie 2016


olivia maria MARCOV <...>

Salut! L'injustice fiscale ou l'abus de bien commun :


olivia maria MARCOV <...>
6 martie 2016, 15:07

                                                                                                                                                                                           6 martie 2016, 15:07
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Salut !

Enfin quelqu'un, notamment un avocat écrit sur l'injustice fiscale.

En Roumanie ils sont allés si loin, jusque là où ils ont obligé les citoyens roumains, à savoir la catégorie des citoyens roumains qui ne perçoivent aucun - mais alors, aucun !!! - revenu, qui n'ont pas de salaire, de moyens, qui ne gagnent rien, mais rien, - à payer au budget d'Etat au système d'assurances de santé, une somme d'argent d'un niveau assez élevé, chaque mois, en guise "d'assurance de santé" laquelle donc devient ainsi obligatoire, mais, il est à remarquer qu'ils ne sont pas responsables en tant que législateurs, d'agréer, d'élaborer, d'adopter une telle loi, à savoir le Code Fiscal en vigueur en Roumanie depuis le 1er Janvier 2016.

En outre, si la personne, le citoyen roumain QUI N'A POINT DE REVENU ( d'argent, de moyens, de salaire, etc. ), ne paye pas mensuellement "sa cote", il est pénalisé et doit payer plus tard 7 fois la somme due, établie par la loi du Nouveau Code Fiscal en vigueur depuis le 1er Janvier 2016 !

Une loi est élaborée, d'après ce que nous avons appris à la Téorie Générale du Droit en première année d'études à la faculté de Droit, en étudiant auparavant la vie, le niveau de vie, la réalité quotidienne, la vie de tous les hommes et citoyens du pays, d'un pays, d'un Etat.

Une loi doit reposer, - en fait, LE LEGISLATEUR doit reposer sur la raison, de même que l'autorité ( qui ) doit reposer sur la raison.
Le législateur, je dirai, doit jouir d'une bonne santé mentale, ce qui fait défaut de nos jours à de nombreuses personnes, mais toutes ne sont pas obligées à [ de ] s'occuper du destin de la nation et des citoyens !

D'habitude, en cas de maladie, la personne doit se reposer, le cas échéant ils, - c'est-à-dire, tous les députés et sénateurs qui ont voté cette Loi du Code Fiscal,  - devraient reposer leur cerveau, leur pauvre cerveau, pour ne pas dire leur cerveau imbécile ou encore criminel.

Il est intéressant à voir qu'ils ne répondent pas lorsqu'ils élaborent des projets de loi, ou lorsqu'ils les votent !

Un député, un sénateur est supposé en bon état mental, sinon que va-t-on devenir, nous tous ?

Aujourd'hui le législateur ne tient plus compte de la Téorie Générale du Droit qui consacre au moins un chapitre, et encore plusieurs chapitres à la norme juridique, à la technique législative, aux étapes préalables obligatoires à l'élaboration d'un projet de loi.

En fait, nous avons des parlementaires ( députés + sénateurs ) qui ne cherchent à la faculté de Droit que la délivrance, l'obtention du diplôme d'études, mais qui n'ouvrent même pas les manuels, les cours.
Beaucoup sont jeunes, d'autres ne le sont plus, mais ont exercé des métiers différents tels que : ouvrier, mécanicien, etc.

***
L'injustice fiscale ou l'abus de bien commun
Jean-Philippe Delsol
Au sujet de l'auteur
Jean-Philippe DELSOL, licencié ès lettres et docteur en droit, est avocat. Il est le président français du think tank européen Institut de Recherches Économiques et Fiscales, IREF. Il a écrit de nombreux ouvrages dont Au risque de la liberté, À quoi servent les riches, L'Anti Piketty (en participation).
L'impôt peut-il être juste ? Et peut-il être raisonnable ? 
La question de la justice fiscale agite la société quand les prélèvements fiscaux et sociaux deviennent si prégnants qu'ils peuvent menacer l'équilibre de la cité et la liberté des citoyens.
Mais il ne sert à rien de contester l'importance des charges publiques sans s'interroger sur les raisons qui ont conduit les États à enfler jusqu'à devenir parfois impotents. 
Il convient ainsi de montrer le processus qui a conduit les États à accaparer la vie civile, sacraliser la notion de bien public, avec pour résultante l'asphyxie des citoyens par des impôts excessifs et souvent injustes.
Non content de dénoncer un système inique, l'auteur se propose de remonter aux sources du droit et de la justice pour jeter les principes d'une nouvelle justice fiscale. Il existe en effet des voies qui permettraient de retrouver la balance de la justice fiscale plutôt que de l'abandonner à la volonté hasardeuse du législateur. 
La justice peut se mesurer à l'aune de la responsabilité et de la liberté réelles laissées à chacun d'atteindre ses fins, de s'accomplir en les accomplissant.
Dans cette optique, le rôle de la collectivité serait redéfini et plus limité.
La justice fiscale trouverait là un critère utile et équitable de sa mesure.
Le lien indéfectible de l'impôt et du bien commun ne saurait faire oublier que le bien commun n'existe pas pour lui-même, mais pour permettre aux hommes de bien vivre ensemble.


ÉDITION              DESCLÉE DE BROUWER
PARUTION           FÉVRIER 2016
NOMBRE DE PAGES           334
FAÇONNAGE       BROCHÉ
DIMENSIONS (CM)  14.5 X 22

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