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miercuri, 15 iunie 2016

Le Lever de Maurice, Le Français par La Méthode Directe Premier Livre, page 40, Robin & Bergeaud, Hachette

Le Lever de Maurice, Le Français par La Méthode Directe Premier Livre, page 40, Robin & Bergeaud, Hachette

Français/francezã

Le Français par La Méthode Directe Premier Livre, Robin & Bergeaud, Hachette, est un livre de ma mère, que sa cousine germaine, Catéla ( Ecaterina / Catherine ) ( ENACHE )-STOIAN lui avait offert, je n’étais pas née, maman aimait le français. Ecaterina Enache-Stoian était la fille de « oncle Ticã » et « tanti Milica », oncle Ticã Enache était l’un des frères de ma grand-mère maternelle Ioana ( ou Jeana ) Enache-Mardale. Ecaterina ou Catela Enache a épousé Florin STOIAN, ensemble les conjoints ont vécu et/ou voyagé de nombreuses années à l’étranger, surtout aux États-Unis, mais aussi en France, en Allemagne, et dans d’autres pays que maman connaissait le mieux, je ne m’en souviens pas très bien. Florin Stoian avait fait ses études à L’Académie des Sciences Économiques ( A.S.E. ) de Bucarest et par la suite a été l’attaché commercial de l’Ambassade de la Roumanie aux Etas-Unis plusieurs années. Il a terminé sa vie dans un fauteuil roulant, soigné pendant des années, par Catéla, sa femme, souffrant de la maladie de Parkinson, il est décédé dans les années 2000. Florin Stoian a été le seul ami du général Pacepa, l’ancien directeur de la Direction des Renseignements Extérieurs de la Roumanie (D.I.E., Directia de Informatii Externe) de la Sécuritate roumaine, lequel a fui aux Etats-Unis en 1978.


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Le Lever de Maurice
( 1 )
C’est le matin : le soleil se lève, Maurice se lève aussi.
Dans la chambre à coucher, nous voyons aussi son fauteuil, sa chaise, sa table de toilette et son armoire.
Au-dessus de la table de toilette, il y a un miroir (une glace) et une lampe électrique.
Sur la table, nous voyons un peigne, une brosse et un morceau de savon.
Tous les matins, Maurice fait sa toilette : il prend son bain ou sa douche dans la salle de bains.
Et après il s’habille ; il met ses habits (ses vêtements).
Les habits couvrent le corps.
Les élèves du lycée dorment au dortoir.

( 2 )
C’est le matin : le soleil se lève, Maurice se lèveÈaussi.
Dans la chambreÈà coucher, nous voyonsÈaussi son fauteuil, sa chaise, sa table de toilette et sonÈarmoire.
Au-dessus de la table de toilette, il y a un miroir (une glace) et une lampeÈélectrique.
Sur la table, nous voyons un peigne, une brosse et un morceau de savon.
Tous les matins, Maurice fait sa toilette : il prend son bain ou sa douche dans la salle de bains.
Et après il s’habille ; il met sesÈhabits (ses vêtements).
LesÈhabits couvrent le corps.
LesÈélèves du lycée dorment au dortoir.
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Extrait du livre Le Français Par La Méthode Directe Premier Livre, C. ROBIN et C. BERGEAUD Professeurs de français à Istanbul, Librairie Hachette, ( Paris ) – c’est un vieux livre, assez abîmé, sur lequel la date de la parution, vu que des pages du livre manquent, n’est pas visible.

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LES LIAISONS

Certaines consonnes finales ne se prononcent pas lorsque le mot est isolé :
Avant [ avan ] ; Trop [ tro ] ;
, mais
Il estÈarrivé avantÈelle [avantel ]
( Il estÈ arrivé [ etarive ] )
( avantÈelle [avantel ] ) ;
Ces souliers sont tropÈétroits [ tropetroa ].

ATTENTION :
Parfois ces consonnes changent de prononciation :
-d se prononce comme –t,
-g se prononce comme –k,
-s, et -x se prononcent comme –z :

Exemples :
Nous sommesÈennuyés [nusomzan nuie ] ;
Elle m’a fourni un grandÈappui [ grantapui ] ;

La liaison se fait naturellement lorsque la consonne est déjà prononcée dans le mot isolé :
Elle doit partirÈen voyage [ partiranvoaiaj ] ;

En général, la liaison se fait entre les mots unis par le sens et qui forment un groupe.
Ainsi, la liaison se fait toujours entre :
-         le verbe et le pronom sujet : IlsÈont perdu ; OnÈa oublié ;
-         le verbe et le nom ou l’adjectif attributs : Il estÈheureux ; Ils sontÈétudiants ;
-         le verbe et l’infinitif complément d’objet direct : Il veutÈaller à Winnipeg ;
-         le verbe et son auxiliaire : Tu esÈémue ; Nous avonsÈattrapé la balle ;
-         le nom et l’article : lesÈenfants ; lesÈhommes ;
-         le nom et l’adjectif épithète, ou le pronom : mesÈautresÈamies ; les bonsÈamis ;
-         la préposition et son régime (le nom ou le pronom qu’elle introduit), sauf hors, selon, vers, envers : Cela s’est passé sansÈincident ;
-         l’adverbe et le mot qu’il modifie : toutÈentier ;
-         c’est, quand, dont et le mot suivant : Le livre dontÈil me parle ; QuandÈil vient ; C’estÈà vous que je le conseille.

La liaison se fait dans les locutions ou les expressions toutes faites :
De plusÈen plus ; motÈà mot ;

La liaison ne se fait jamais :
-         après un –s dans les mots composés : des arcs-en-ciel [ arkansiel ] ;
-         après la consonne finale d’un nom singulier (non prononcée) et l’épithète qui suit : un poing½½énorme ;
-         après la conjonction et : Et ½½ elle m’a dit de venir.

REMARQUE :
Les liaisons sont souvent facultatives.
La tendance dans la langue courante est actuellement de les restreindre le plus possibile ; dans la langue du théâtre et celle des discours, on maintient au contraire un grand nombre de liaisons.
Très souvent, on a les deux possibilités : il va droit ½½ au but, ou il va droitÈau but.

Extrait du livre Grammaire, Larousse Livres de Bord, Jean Dubois, agrégé de grammaire, docteur ès lettres, et René Lagane, agrégé de grammaire, Larousse, Paris, 1995, 1997, Imprimé en Italie par Rotolito en MAI 2000, mon livre depuis mars 2001.


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