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duminică, 7 mai 2017

Tr : Evangile au Quotidien du 7 mai 2017, Ste Rose Venerini ( + la Roumanie )


Objet :Tr : Evangile au Quotidien du 7 mai 2017, Ste Rose Venerini ( + la Roumanie )
De :Olivia Marcov (oliviamarcov@yahoo.fr)
À :
Date :Dimanche 7 mai 2017 15h07


un extrait de la vie de Sainte Rose ( Rosa ) Venerini ( 1656-1728 ):
"C’est cet héritage magnifique que Rosa Venerini a laissé à ses filles. Partout, en Italie tout comme dans les autres pays, les Soeurs Venerini cherchent de vivre et de transmettre l’anxiété apostolique de leur mère, privilégiant les plus pauvres.
La Congrégation, après avoir donné son soutien aux italiens immigrés aux Etats Unis d’Amérique en 1909, en Suisse de 1971 à 1985, a étendu son service apostolique dans d’autres pays: en Inde, au Brésil, au Cameroun, en Roumanie, en Albanie, au Chili, au Venezuela et au Nigeria.", voir l'histoire complète en visitant ce lien, cette page  : 



 
olivia

Le Dimanche 7 mai 2017 1h21, EAQ <noreply@evzo.org> a écrit :


l'EVANGILE AU QUOTIDIEN

« Seigneur, vers qui irions-nous ? Tu as les paroles de la vie éternelle » Jn 6, 68


Dimanche 07 mai 2017

Quatrième dimanche de Pâques


Saint(s) du jour : Ste Rose (Rosa) Venerini, vierge et fond. (1656-1728),St Augustin (Agostino) Roscelli, prêtre et fond. (1818-1902) 

Voir le commentaire ci-dessous, ou cliquer ici 
Bienheureux Paul VI: « Il les appelle chacune par son nom » 

Évangile de Jésus Christ selon saint Jean 10,1-10.
En ce temps-là, Jésus déclara : « Amen, amen, je vous le dis : celui qui entre dans l’enclos des brebis sans passer par la porte, mais qui escalade par un autre endroit, celui-là est un voleur et un bandit. 
Celui qui entre par la porte, c’est le pasteur, le berger des brebis. 
Le portier lui ouvre, et les brebis écoutent sa voix. Ses brebis à lui, il les appelle chacune par son nom, et il les fait sortir. 
Quand il a poussé dehors toutes les siennes, il marche à leur tête, et les brebis le suivent, car elles connaissent sa voix. 
Jamais elles ne suivront un étranger, mais elles s’enfuiront loin de lui, car elles ne connaissent pas la voix des étrangers. » 
Jésus employa cette image pour s’adresser à eux, mais eux ne comprirent pas de quoi il leur parlait. 
C’est pourquoi Jésus reprit la parole : « Amen, amen, je vous le dis : Moi, je suis la porte des brebis. 
Tous ceux qui sont venus avant moi sont des voleurs et des bandits ; mais les brebis ne les ont pas écoutés. 
Moi, je suis la porte. Si quelqu’un entre en passant par moi, il sera sauvé ; il pourra entrer ; il pourra sortir et trouver un pâturage. 
Le voleur ne vient que pour voler, égorger, faire périr. Moi, je suis venu pour que les brebis aient la vie, la vie en abondance. »


Extrait de la Traduction Liturgique de la Bible - © AELF, Paris 



Commentaire du jour : 

Bienheureux Paul VI, pape de 1963-1978 
Message pour la Journée de prière pour les vocations 1971 (trad. DC, t. 68, p. 405) 

« Il les appelle chacune par son nom »

Quand Jésus se présentait lui-même comme le Bon Pasteur, il se rattachait à une longue tradition biblique, déjà familière à ses disciples et aux autres auditeurs. Le Dieu d'Israël, en effet, s'était toujours manifesté comme le bon Pasteur de son peuple. Il en avait écouté la plainte, l'avait libéré de la terre d'esclavage, il avait guidé dans sa bonté le peuple sauvé par lui dans sa rude marche au désert vers la Terre promise... Siècle après siècle, le Seigneur avait continué à le guider, bien plus, à le porter dans ses bras comme le pasteur porte ses agneaux. Il l'avait aussi conduit depuis la punition de l'exil, l'appelant de nouveau et rassemblant les brebis dispersées pour les acheminer dans la terre de leurs pères. 

C'est pour ces motifs que nos pères dans la foi se tournaient filialement vers Dieu, l'appelant leur Pasteur : « Le Seigneur est mon Berger, je ne manque de rien ; sur des prés d'herbe fraîche il me fait reposer, vers les eaux du repos il me mène, il y refait mon âme ; il me guide par le juste chemin » (Ps 22). Ils savaient que le Seigneur est un Pasteur bon, patient, parfois sévère, mais toujours miséricordieux envers son peuple et aussi envers tous les hommes... 

Lorsque, dans la plénitude des temps, Jésus vint, il trouva son peuple « comme un troupeau sans pasteur » (Mc 6,34) et il en éprouva une peine profonde. En lui s'accomplissaient les prophéties et s'achevait l'attente. Avec les paroles mêmes de la tradition biblique, Jésus s'est présenté comme le Bon Pasteur qui connaît ses brebis, les appelle chacune par son nom, et donne sa vie pour elles. Et ainsi, « il y aura un seul troupeau et un seul pasteur » (Jn 10,16).






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