Florilèges, Dozulé, « NEUVAINE DE
PÈLERINAGES » EN L'HONNEUR DE LA CROIX GLORIEUSE, JOUR 1,
Trinité.1.free.fr, http://trinite.1.free.fr/florileges.htm
DIMANCHE
16 JUILLET 1989
FÊTE DE
NOTRE-DAME DU MONT CARMEL
1er JOUR

« NEUVAINE DE PÈLERINAGES »
EN L'HONNEUR DE LA CROIX GLORIEUSE
Aux disciples et pèlerins de “DOZULÉ” et de Sa
“CROIX RÉVÉLÉE”, un religieux fait part de ses réflexions, au cours desquelles
il laisse parler son cœur. Par les citations qu’il fait du Message même de
Dozulé et aussi de Psaumes, d’Hymnes, il laisse parler le Cœur même de Dieu.
Pour moi, la véracité, l’authenticité
surnaturelle de l'Événement et du Message de Dozulé (1972-1978) ne fait pas de
doute.
Dès qu’il m’a été donné, et j’en remercie le
Seigneur, d’avoir en mains le Message imprimé des 49 apparitions - imprimé
strictement d’après les cahiers de “Madeleine”- , j’ai été tout de suite
impressionné et gagné par l’objectivité et par la simplicité du langage que
respirait un tel récit et qui animait les réflexions personnelles de
“Madeleine”.
Et, depuis 1982, ma sensibilité spirituelle et
mon esprit de “discernement” au contact de ce Message, n’ont cessé de croitre.
Et qui plus est, dès le début de mon initiation
au Message-Dozulé - et aujourd’hui plus que jamais - je suis presque
quotidiennement hanté par le mystère de la Croix Glorieuse de Dozulé dans mes
contacts quotidiens avec la Bible et avec les Psaumes et Hymnes de la “Liturgie
des Heures” (ou Bréviaire). Sans que je le cherche, le “mystère de Dozulé” transparaît très souvent à travers tous
ces contacts bibliques et liturgiques, ce qui fait battre mon cœur et me fait
transcrire presque tous les jours, en mes notes intimes, une sorte de vraie
concordance entre le grand Message de la Révélation et le Message de la Grande
Croix Glorieuse de Dozulé.
Chers disciples, pèlerins et amis de Dozulé, les
menus propos et les citations que je vais vous livrer aujourd’hui, et dans la
suite, vous mettront à même de juger de cette concordance heureuse et pas
ordinaire.
Mais d’abord, sur l’Evénement et le Message dozuléens, voici un premier
menu-propos de ma part :
Si la véracité surnaturelle des cahiers de Madeleine - des cahiers imprimés - m’a sauté aux
yeux et au cœur dès 1982, et encore plus en 1983, au contact avec la
sacerdotale et théologique brochure du Père Jean-Baptiste Manceaux que j’ai
abordée en 1982, puis “le livre bleu” 1983 du Père Manceaux, sans préjugés
préalables, en toute simplicité de cœur, en toute disponibilité d’esprit et de
discernement.
Au lieu de m’arc-bouter, et de me cabrer contre
une affaire d'apparitions” et de “révélations”, j’ai voulu me rendre compte,
honnêtement, me sentant accompagné comme d’une sorte de grâce d’attrait,
accompagné aussi d’un esprit de prière au Saint-Esprit : “Seigneur, en ce
“Message de Dozulé”, si c’est Vous qui parlez, parlez Seigneur, votre serviteur écoute.”
Et bien vite en ma pensée, une trilogie
accompagnait mes contacts avec les
textes de Madeleine. Je n’ai cessé de me dire : de trois choses l’une : ou c’est des
élucubrations ou réminiscences de son
esprit et de son érudition, ou c’est de
l’Esprit-Malin, ou... c’est de
l’Esprit-Saint.”
Tout aussitôt, sans efforts de raisonnement, ma
pensée éliminait d’un seul coup les deux premières suppositions.
Rien que de lire et relire, sans préjugés, avec
un cœur d’enfant, d’enfant de Dieu, les pensées, les paroles de Madeleine qui
figurent sous le titre : “L’Âme
privilégiée”, je ressens et toujours plus, la fraîcheur et la spontanéité
“surnaturelles” d’une âme d’adulte, d’une convertie, saisie subitement et
tranquillement, en douceur par Jésus-Hostie, par le goût de l’Eucharistie.
Oh !
Lisez, goûtez ces lignes propres
à Madeleine, éparses dans tout le récit
des “apparitions”, par exemple, à l’occasion de la 7ème, de la 11ème, de la
13ème etc... La voyante, la patiente en la 13ème, s’exprime sur le coup, avec
une simplicité d’enfant, d’enfant saisie par une béatitude intérieure, et avec
la simplicité et la spontanéité d’une Maman (de 5 enfants) ! sous le coup
d une terrible aventure de cécité subite.
En vérité, “la voyante” apparaît au naturel sans
contrefaçons, et sans recherches de paraître.
Et quand je pense que Jésus, dans beaucoup de Ses
Visitations parle à sa prophète en latin : et que la plupart de Ses
oracles et révélations dépassent infiniment en science biblique, théologique et
apocalyptique les connaissances religieuses de Madeleine, cette humble mère de
famille et ouvrière couturière !
Et quand je sais que le Nom privilégié que se
donne ce Visiteur : “Je suis le
Fils de l’Homme...” dès la 10ème apparition, était si peu usité
dans les catéchismes et les prédications, et même si peu privilégié dans les
études évangéliques et théologiques, et enfin, quand je pense à tout le respect
et l’obéissance héroïques que le Souverain Maître et Pasteur inspire et ordonne
à sa fidèle servante à l’égard du Pasteur du Diocèse, je me dis : ce n’est
absolument pas possible que Madeleine ait tiré de sa tête, et de son passé et
de ses vues d’avenir, de tels oracles à publier, et un tel comportement à tenir
et qu’elle tient toujours !
Mais avant de conclure de là, que cette Madeleine
n’est nullement une exaltée, une illusionnée et une illusionniste, ni une
hallucinée, et qu’elle ne peut dès lors qu’être une âme et une grande âme
privilégiée, il faudrait être sûr, encore et surtout, qu’elle n’a pas été
trompée, subjuguée, mystifiée par le Malin.
Voyons ! Cette grande Croix de 738 m, de
l’altitude de Jérusalem, du Golgotha, n’aurait-elle pas été projetée un beau
matin de Mardi-Saint, n’aurait-elle pas été commandée par l’Esprit des
ténèbres, par le mystificateur, par l’Ennemi n° 1 de la Croix Glorieuse du
Christ ?
Poser
une telle question, si insidieuse, c’est déjà y répondre, et éclater de
rire !
Si vraiment c’était le Malin qui était le Maître
d’œuvre d’un tel Message Dozuléen et d’une telle Croix Glorieuse - entendez bien : GLORIEUSE ! -
en vérité, il ne serait pas Malin !
Il travaillerait contre lui ! Ce serait le
royaume infernal divisé contre lui-même et par lui-même ! ! ! Ce
serait le cas de dire : “le diable qui prêcherait la
Passion ! ! !
Chers disciples de la Croix Glorieuse de Dozulé,
et familiers des Apparitions, vous savez fort bien que les cahiers de Madeleine
fournissent eux-mêmes une réponse à la question : n’aurait-elle pas été
trompée par Satan ?
La 47ème apparition est lumineuse
là-dessus : et pourfend une bonne fois la capitale objection qui hante
tous les esprits droits en leur légitime souci de “discernement des esprits”.
Et qu’il soit avéré et prouvé par le texte
lui-même de Madeleine qu’elle ait été un moment, à son insu, trompée, séduite
par Satan ; ce fait que Satan soit “venu
mettre le trouble dans le Message de Jésus” (47ème app.) n’est pas du tout
mauvais signe par rapport à la véracité céleste de ce Message, bien au
contraire !
C’est le meilleur signe que le Message n’est pas
de Satan, puisque piégé par Lui !
Et puis, voyez combien Madeleine a été humiliée
et a souffert par cette révélation et par cette mise en garde de Jésus
lui-même ! ! !
Et le fait que Jésus prescrit à sa servante,
comme remède : “Désormais, Je vous l’ordonne, faites le Signe de la Croix dès qu’une
lumière vous apparaîtra ? si c’est Satan, à l’instant même tout
disparaîtra’
(47ème app.)
Sur les lèvres-mêmes du Fils de l’Homme il nous
est donné ainsi de discerner à quel point Satan a horreur du moindre Signe de
Croix !
Alors, comment pourrait-on supposer sérieusement
que ce soit Satan lui-même qui aurait imaginé et ordonné la très grande Croix
de Dozulé ! ! !
C’est heureux que Madeleine ait été, osons le
dire, visitée et séduite par le Malin et ensuite revisitée et guérie et
aguerrie par le Divin Ressuscité Lui-même. Car, tout comme pour l’Apôtre
Thomas, il est bon qu’il ait été incrédule et piégé par le doute, pour que vous
et moi, nous soyons davantage croyants et confirmés en notre vraie Foi dans le
Ressuscité par Lui-même !
Mais alors, si le Mystère de l’Evénement et du
Message de Dozulé n’est :
- ni de l’esprit de Madeleine,
- ni de l’Esprit Mauvais, il ne peut en dernière
alternative qu’être de l’Esprit-Saint, que de l’Esprit du Père et du Fils, que
de l’Esprit du Père des hommes et des Miséricordes et que de l’Esprit du Fils
de l’homme : que de l’Esprit d’un Jésus dont le Cœur brûlant d’Amour
crucifié est plus broyé que jamais, en 1972 (et après...) dans tout son Corps Mystique
par les immenses et nouveaux péchés du monde, au point que, n’en pouvant plus,
le Fils de l’Homme crie comme jamais, et fait crier tous les disciples de la
Croix Glorieuse du Golgotha, vers le Père, en une suprême supplique “Seigneur
répands sur le monde entier les trésors de ton infinie Miséricorde”,
les trésors de Ma Croix de pardon et de résurrection !
Et pour cela : Ô Père, que soit décrétée par
Toi et élevée le plus tôt possible par
Ton Église la plus grande Croix Glorieuse et lumineuse et miraculeuse que
le monde ait jamais vue. Car le monde n’a jamais été aussi mauvais !... Ô
Père, le temps prescrit par Toi, par Ta Justice-Sainteté, et par Ta
Justice-Justice presse... Mais il est encore temps, mais il est grand
temps !
Chers frères et sœurs, et amis et pèlerins de
Dozulé, mon premier menu-propos n’a pas été menu.
Et j’ai l’impression que je ne vous ai encore
rien dit et que ce n’est qu’un avant-propos
sur le Mystère de Dozulé, tellement ce mystère est un trésor caché inépuisable,
et tellement “le Mystère d’iniquités”
qui semble triompher est insondable lui aussi ! ! !
Je vous quitte, en ce 3 Juillet sur une strophe
d’Hymne de la Liturgie des Heures au vendredi de 1ère semaine, en
office des Lectures :
“Dieu secret,
Tu n’as plus d’autre Parole que ce livre scellé, (cf. 48ème apparition de Dozulé)
“d’où l’Agneau fait jaillir Ta
Lumière ;
“Tu dis seulement ces mots
fulgurants :
“JE VIENS ! J’étonnerai vos
patiences !
“Par ce lieu-dit : (je lis en
transparence : Dozulé)
“Que l’Esprit parle à notre esprit dans le silence”.
Un Religieux qui prie pour vous. Priez pour
lui !
Votre Religieux, qui est tout au Mystère de
Dozulé, et tout à vous, vous livre sa méditation du 14 Juillet 1989 sur un
passage crucial du Message, en 34ème
apparition.
Voici ce passage :
(Jésus à Madeleine un vendredi 19 Septembre 1975 : 19 septembre
Fête de Notre-Dame de la Salette)
“Le regard de Jésus est d’une grande tristesse.
Il reste ainsi un moment puis Il reprend sa position normale et dit à Madeleine
en regardant l’assistance :
“Dites ceci à haute voix : vous, prêtres et religieuses chargés du
Message, ne laissez pas l’humanité courir à sa perte. Je vous ai demandé de
travailler pour faire élever la Croix Glorieuse. Ne voyez-vous pas que le
moment est venu à cause des phénomènes
qui s’ensuivent ?”
Par ces paroles, je me sens directement concerné.
Les religieux même non prêtres sont
inclus par le Cœur de Jésus, dans “les prêtres et religieuses” auxquels Jésus
s’adresse expressément cette fois. Et comme, sur les lèvres de Jésus “prêtres”
est au pluriel, Jésus ne s’adresse donc pas
seulement au Prêtre et aux religieuses de Dozulé qui étaient, le plus
souvent, dans l’assistance privilégiée des extases de Madeleine, ainsi que des
Paroles divines qu’elle transmettait sur Son ordre...
Or, c’est
aussi à votre serviteur, chers pèlerins, et à tous les prêtres et religieux et religieuses du monde entier que
s’adresse Jésus, plein de tristesse de voir s’écouler le temps, et de ne pas
voir s’élever la Grande Croix Glorieuse, car, quelle Miséricorde perdue pour
une multitude d’âmes !
“S’il
en est ainsi, le nombre des sauvés sera petit. Mais vous, qui n’exécutez pas la
Parole de Mon Père, votre châtiment sera grand. Car c’est par le nombre des
sauvés que vous serez jugés.”
Si Jésus a été amené à tenir un tel langage
devant son assistance du 19 Septembre 1975, combien à plus forte raison, et
avec quelle plus grande tristesse Il nous le dit à nous, son assistance et
audience de Juillet 1989 !
C’est sûr ! Un tel Message crucial, Jésus
l’adressait tel quel : à tous les prêtres, religieux et religieuses de
l’Église catholique et à toute
l’Église ! Et bien sûr, à
Monseigneur de Bayeux surtout ! Il le leur adressait par la voie et par la voix de Madeleine.
Et, nous semble-t-il, Il voulait aussi le leur adresser, sur le champ, sans tarder, par
la voie et la voix du Prêtre et des
Religieux-témoins de la voyante et de la prophète.
Et, à n’en pas douter, ceux-ci ne peuvent manquer
de se sentir profondément et toujours
concernés par ce Message de Septembre 1975.
Que,
Dieu merci, ils se sachent et se sentent relayés par nous tous - les prêtres,
religieux et religieuses et les laïcs de tous azimuts - en ce Juillet 1989.
Car, grâce à la propagation universelle - due à
l’Esprit-Saint - de l’Événement et du Mystère de Dozulé, nous sommes de plus en
plus nombreux à être les heureux confidents, disciples et apôtres d’un tel
Message de Septembre 1975, et de tout le Message de Dozulé, et cela dans une filiale docilité à la
Hiérarchie.
Et donc, chers Amis et pèlerins de Dozulé, c’est
en vertu de la grâce qui nous a été faite de connaître et de goûter le mystère
et Message de Dozulé, que la Mission nous incombe - noblesse oblige ! - nous incombe, de par, précisément, la 34ème apparition, de nous sentir, nous surtout
“prêtres, religieux et religieuses”, directement et personnellement et
sérieusement concernés par ce texte crucial (34ème app.) qui fait l’objet - le Saint-Esprit souffle où Il
veut et quand Il veut ! - de ma méditation, en ce 14 Juillet.
À cette date même, je commence à vous livrer les
pensées de mon cœur sur, très particulièrement, l’entrefilet : “les événements qui s’ensuivent”, qui
s’ensuivent depuis Mars 1972, depuis Septembre 1975, et depuis que tout le
Message semble dormir dans un tiroir...
Mais le Cœur de Jésus, d’où émane en direct le
Message, veille sur lui !
Les
preuves sont là :
1°) Une multitude de petites âmes, à travers le
monde, ont adopté la spéciale “Prière
quotidienne” dictée par Jésus de Dozulé (10ème app. et aussi 28ème et
44ème).
2°) Que d’humbles montées à la Butte
quotidiennement. Et que de ferventes prières de repentir - et aussi de prières
pour Madeleine et pour Monseigneur de Bayeux - y montent individuellement ou
par groupes !
3°) Depuis plus de 15 ans, le nombre de pèlerins
sur la Butte, aux grandes dates de Dozulé, et surtout du 28 Mars, ne cesse d’augmenter.
4°) Enfin : le projet, né en 1989, une NEUVAINE DE PÈLERINAGES à DOZULÉ, n’est
pas un des moindres signes de la vitalité croissante du Message par
lui-même !
Chaque jour de la “neuvaine de pèlerinages”
pourrait fort bien avoir, pour thème de méditation et de prière, le thème et la
prière, dictés par Jésus Lui-même, en son 5 Décembre 1975 de Dozulé, en 35ème
apparition, pour chaque jour de la neuvaine prescrite par Jésus à Madeleine (35ème app.)
Béni soit l’Esprit-Saint pour une telle
inspiration 1989, qui vient du laïcat, et à
laquelle j’attache aujourd’hui une particulière attention, et importance, et
voici pourquoi :
Pour moi, étant donné le pressentiment général
d’événements - de bouleversements comme dirait la 33ème apparition - qui
viennent et “qui s’ensuivent”, je me
dis que cette inspiration de “neuvaine
de pèlerinages” à commencer dès Juillet 1989, corrobore les vues et oracles de
Jésus Lui-même.
Un 28 Mars 1975 (en 28ème app.) Jésus, après avoir prescrit à Madeleine la Neuvaine de 9
jours (35ème app.), termine Son Apparition par : “Cette neuvaine prolongera l’Année-Sainte”.
Le 4 Juillet 1975 (en 3ème app.) Jésus
insistera : “Cette Croix Glorieuse
doit être élevée pour la fin de la Sainte Année. Cette Sainte Année - 1975 -
doit se prolonger jusqu’à l’élévation de la Croix Glorieuse”.
Chers Amis et Pèlerins, cet oracle pourra être
pour moi l’objet d’un futur menu-propos, essayant de faire comprendre une telle mystérieuse parole du Message :
‘cette ultime Sainte-Année ne se terminera qu’après l’élévation de la Croix
Glorieuse” (28ème
app.)
Disons seulement pour aujourd’hui : une
telle inspiration de “neuvaine de
pèlerinages” correspond bien aux vues du Jésus des deux apparitions 28ème
et 33ème, et s’inscrit parfaitement, et à temps, dans la prolongation de l’ultime Année-Sainte qui ne se terminera
qu’après l’élévation de la Croix Glorieuse (28ème app.)
Il semble que l’Esprit du Message dozuléen nous
crie aujourd’hui : cette inspiration
de “Neuvaine de Pèlerinages” est à prendre au grand sérieux, étant donné
les “événements qui s’ensuivent”,
sur lesquels je vais faire porter votre attention dans mes prochaines
réflexions.
Chers Pèlerins du Dimanche 16 Juillet, en esprit
j ‘accompagne de tout cœur votre montée à la Butte ,ne pouvant absolument pas
quitter ma mission.
Comme la fêté même du Mont Carmel sera absorbée
par le Jour du Seigneur, je vous exhorte fort à discerner vous-mêmes dans les
lectures de la Messe de ce dimanche, une
transparence de la Croix de Dozulé, surtout en la finale de l’Épître :
“Dieu le Père a voulu tout réconcilier par le CHRIST et pour le CHRIST, sur la
terre et dans les cieux, en faisant la
paix par le Sang de Sa Croix.”
Et comme l’oraison même de Notre-Dame du Mont
Carmel ne sera pas proclamée, je vous la cite ici comme bouquet
spirituel :
“Que la prière maternelle de la Vierge Marie
vienne à notre aide ; Seigneur, accorde-nous par sa protection, de
parvenir à la montagne véritable qui est le Christ, Notre Seigneur.”
Note : Et lisons “en transparence” la montagne véritable qui est le Christ de Dozulé.
16
Juillet
NOTRE-DAME DU MONT CARMEL
En ce jour, nous fêtons la Vierge en union avec
les Carmes et les Carmélites dont elle est la patronne. Cet ordre, qui se développa
en Occident au 13ème siècle, tire son nom du Mont Carmel, en Galilée, où des
ermites chrétiens vécurent au 12ème siècle. Sur ce mont, la foi ardente du
prophète Elie avait proclamé, face aux prophètes des cultes païens, que le Dieu
d’Israël était le seul vrai Dieu. Dans l’adoration de ce Dieu unique, à
laquelle ils consacrent leur vie, les contemplatifs n’ont pas de meilleur
modèle que l’humble Vierge qui méditait sans cesse le mystère de son Fils (évg)
pour communier toujours mieux à son Esprit.
PRIÈRE D’OUVERTURE
Que la prière maternelle de la Vierge Marie
vienne à notre aide ; Seigneur, accorde-nous, par sa protection, de
parvenir à la montagne véritable qui est le Christ, notre Seigneur, Lui qui vit
et règne avec Toi et le Saint-Esprit.
PREMIERE LECTURE (Za 2, 14-17)
“J’habiterai en toi”
La liturgie voit dans Jérusalem, Ville où Dieu
habite, une figure de la Vierge en qui le Fils de Dieu a pris chair. De même
que la Ville Sainte devait rassembler les nations, ainsi Marie est-elle devenue
la Mère d’une multitude de croyants.
Lecture du livre de Zacharie
14 Chante et réjouis-toi, fille de Sion ;
voici que je viens,
j’habiterai au milieu de toi, déclare le Seigneur.
15 En ce jour-là, des nations nombreuses
s’attacheront au Seigneur,
elles seront pour moi un peuple,
et j’habiterai au milieu de toi.
Ainsi parle le Seigneur.
Tu sauras que le Seigneur de l’univers m’a envoyé vers toi.
16 Le Seigneur prendra possession de Juda,
son domaine sur la terre sainte ;
il choisira de nouveau Jérusalem.
17 Que toute créature fasse silence devant le
Seigneur,
car il se réveille et sort de sa Demeure
sainte.
CANTIQUE (Lc 1, 46-55)
R. Heureuse Vierge Marie qui portait en toi le
Fils du Père éternel !
ÉVANGILE (Lc 2, 15-19)
“Marie méditait dans son Cœur tous ces
événements”
Un Religieux vôtre,
Père Constant DEROUARD (MSM)
III
IIIIIIIIIII
III
III
III
III
http://trinite.1.free.fr/florileges.htm
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