Salut ! l'icône du Bon Dieu et la lumière de la lampe de jardin

olivia maria Marcov <Olivia Marcov@gmail.com>

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Salut ! l'icône du Bon Dieu et la lumière de la lampe de jardin

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olivia maria Marcov <Olivia Marcov@gmail.com>	6 octombrie 2016, 12:16
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Salut ! l'icône du Bon Dieu et la lumière de la lampe de jardin Le Bon Dieu est éclairé parfois de la lampe allumée de jardin de mon père, malheureusement la lumière ne dure pas, et deux heures plus tard la lampe s'éteint ! Le soleil n'est pas suffisant en automne pour charger la lampe suffisamment. Les veilleuses rouges sont les veilleuses de la Sainte Nuit de la Résurrection du Christ, à Pâques, comme chaque année le prêtre à minuit à Pâques appelle les orthodoxes qui sont à l'Eglise, avec ces mots : "Venez et prenez [ de ] La Lumière !" C'est la Lumière de Jérusalem envoyée par le Bon Dieu, par Jésus Christ, et qui arrive par avion à Bucarest, chaque année à Pâques. Et moi je garde les veilleuses depuis quelques années avec La Sainte Lumière de Pâques ! Lorsque, à la maison, j'allume une bougie ou une autre veilleuse ( quelconque ), tout d'abord j'allume la veilleuse de la Résurrection, ensuite je "prends" La Sainte Lumière de cette veilleuse avec laquelle j'allume l'autre veilleuse ( celle qui est une veilleuse comme toutes les autres, quelconque ). Et bien sûr, j'éteins aussitôt la veilleuse de la Résurrection que je garde. Maman disait que, si dehors par exemple il fait très mauvais, s'il y a une tempête, ou en cas de tremblement de terre, d'autre événement fâcheux, en cas de chagrin, de danger, de péril, etc. - il faut allumer la veilleuse de la Résurrection. Mais moi je me suis dit qu'il ne fallait pas consommer La Lumière de la Nuit de la Résurrection, alors j'allume une autre  veilleuse, en prenant la Lumière de celle de la Résurrection. Les taches sur le mur au-dessus des icônes sont dues à l'inondation d'une voisine du 4ème, il y a quelques années ( 2010 ? ) L'eau coulait sur nos murs comme dans une grotte ! La voisine n'était pas chez elle, car depuis des années elle vit à la campagne. Mlle Maria Pârvu, la pauvre, d'ailleurs une voisine, je dirai, une voisine "O.K." ( ne trouvant pas d'autres "éloges" à son égard je dis O.K. ) ( elle voulait me vendre des enveloppes contenant du thé POUR MAIGRIR, dans les années '90 ( 1993 + suivants ), alors que moi j'étais très, très maigre !!! ) J'étais greffière à l'époque. Une femme ingénieur, Mlle Parvu, qui s'ingéniait à me voir plus maigre encore ! Elle a été vexée que je ne voulais pas de ses thés... Une dame qui a été mariée dans sa jeunesse, en / vers 1972, 1973, mais son mariage a duré très peu ( un mois ? ) et elle a divorcé de son mari. En 1987, - en juin 1986 j'avais terminé le lycée - un jour, quelqu'un ( un homme ) a sonné chez nous, j'ai regardé qui c'était et je l'ai entendu dire tout bas, appeler : "Mary [ Méry ! ] !". Et nous habitons au 2ème ! Quel homme ! Aurait-il cru que j'étais Mery ? De toute manière je n'ai pas ouvert la porte ! Je l'ai "analysé" par la viseur de la porte de notre appartement en silence. Je crois que c'est maman qui avait dit à l'époque que des hommes venaient chez Mlle Mery du 4 ème !