Florilèges, Dozulé, « NEUVAINE DE
PÈLERINAGES » EN L'HONNEUR DE LA CROIX GLORIEUSE, JOUR 3,
Trinité.1.free.fr, http://trinite.1.free.fr/florileges.htm
3ème JOUR
« NEUVAINE DE PÈLERINAGES »
DIMANCHE 1er OCTOBRE 1989
FÊTE DE
SAINTE THÉRÈSE DE LISIEUX
« OMEN NOVUM » = MESSAGE NOUVEAU
Chers Amis et Pèlerins
de la Croix Glorieuse, chers pèlerins du dimanche 1er octobre, vous
allez accomplir, au nom de la Croix Glorieuse de Dozulé, un double
pèlerinage :
LISIEUX
et DOZULÉ
Préparez vos cœurs à accueillir un double message
dominical, en ce 1er octobre, au jour même de la fête de sainte
Thérèse de Lisieux. Son message à elle, et une intelligence toujours plus
grande du Message de Dozulé, Message qui, pour vous, se trouve être comme
patronné par la Sainte de Lisieux, Patronne
secondaire de la France et Patronne du Diocèse de Bayeux - Lisieux.
Oui, j’ose faire un tel rapprochement, moi,
humble religieux qui suis, depuis si longtemps, fervent disciple de la Petite
Thérèse, et l’obéissant et filial disciple aussi de la Sainte Église et de ses
Pasteurs.
En une “lettre ouverte” à des disciples et
pèlerins de “Dozulé”, je ne manque nullement de déférence aux ordonnances des
Pasteurs en associant, pour le bien des âmes, le Message de Dozulé à celui de
Lisieux, étant donné que “des pèlerins de la Croix Glorieuse” ont voulu se
faire, en ce 1er octobre, les pèlerins à la fois de la
“Grande-Petite-Sainte-Thérèse”, et de la “Grande Croix Glorieuse” !
Chers Amis et Pèlerins de la Croix Glorieuse, il
m’est nullement interdit, ni à vous, ni à vos Conseillers religieux, de faire
état, en privé et en cercle d’amitié et de prière, de Dozulé à l’occasion de
votre dimanche à la fois thérésien et Dozuléen...
Même avant que ne soit reconnu - si c’est la
Volonté du Seigneur - l’Événement-Message-de-Dozulé, ce n’est point du tout
contrister l’esprit de la Sainte Église, pas plus que celui de la Sainte de
Lisieux, que de se rendre pieusement à la Croix du repentir, en ayant à cœur de
profiter d’abord de la Basilique thérésienne, de la grande célébration
eucharistique et de son homélie du 1er octobre.
Et donc, en passant à Lisieux la première heure
sainte, ayons soin de tranquilliser nos consciences, et de dilater nos cœurs
dans l’amour de l’Église au lieu de vivre dans la crainte... Car, pour qui s’en
tient sincèrement et filialement à la Lettre
du Cardinal Ratzinger du 25 octobre 1985 et à l’ordonnance de Monseigneur
Jean BADRÉ publiée le 19 décembre 1985, et à leur vraie et sérieuse
interprétation, il n’y a nullement à craindre d’enfreindre une “prétendue”
interdiction de l’Église ; vous le savez, l’affaire, ou mieux “la cause de Dozulé” n’a jamais été
déclarée close, mais elle suit son cours “avec la même vigilance prudente”
des Pasteurs... Le temps n’a pas tari ni
diminué le cours des fruits spirituels, de repentir et de Paix et de Joie
de Dozulé, desquels les inlassables pèlerins de Dozulé (via Lisieux) sont
toujours à même de témoigner !...
Ceci dit, entrons de pied ferme et de plein cœur
dans le thème de cette lettre du 1er octobre 1989 :
“OMEN NOVUM”
C’est du latin ! - Nous voilà à bonne école
avec Jésus de Dozulé et de Madeleine... Car, que de fois les apparitions de la
Croix de Dozulé et celles de Jésus Lui-même ont écrit et parlé en... latin,
pour mieux se faire entendre… des Pasteurs de l’Église !
Et le plus fort, c’est que ces deux mots latins
sont, non pas du Message de Dozulé, mais bien du message... de Lisieux...
Je traduis : “MESSAGE NOUVEAU”. Je parie que, depuis l’érection, et de la
grandiose Basilique et de sa grandiose esplanade et de la grande statue de
Sainte Thérèse à l’entrée de l’esplanade, je parie que bien des pèlerins n’ont
pas pris le temps de déchiffrer cet “OMEN NOVUM”, écrit en grosses lettres sur
le Livre d’Évangile que Thérèse tient entre ses mains et présente aux
pèlerins !
Et qu’ils n’ont pas su le traduire !
“OMEN NOVUM” veut dire “MESSAGE NOUVEAU”
Avec son Livre d’Évangile, la Petite-Thérèse, dès
l’entrée de son glorieux domaine, se pose là, non pas comme un Évangile Nouveau
mais comme un “Message nouveau de
l’Évangile”, comme un “Visage nouveau de l’Évangile”.
De par
Dieu et de par notre Mère l'Église,
Thérèse de Lisieux se pose là, comme une “révélation
nouvelle” de l’Évangile et de ce qui en est le cœur même : “l’Amour Infini Miséricordieux !”
Et Thérèse est la prophète de la vraie réponse de
l’homme et de tout homme à l’Amour Infini, réponse qui s’appelle à
jamais : la Petite Voie de
l’Enfance spirituelle, petite voie qui n’est pas à l’eau de rose, car la
prophète s’appelle à jamais aussi : “Thérèse
de l’Enfant-Jésus et de la Sainte-Face”.
Oui, de
par Dieu et de par l’Église,
Thérèse de Lisieux est, pour tout notre siècle, le LIVRE OUVERT de toute l’Incarnation-Rédemptrice, depuis
l’Enfance du Sauveur jusqu’à la dernière goutte de Sang du divin Cœur transpercé,
d’un Cœur d’où est sortie la Sainte Église, d’un Cœur qui ne cesse de battre
réellement, jusqu’au grand Retour du Fils de l’Homme, dans chaque Célébration
Eucharistique de la Croix Glorieuse.
Vrai “OMEN NOVUM” d’Évangile, la prophète Thérèse
de Lisieux est un livre “ouvert à tous”,
à tous les hommes de toutes nations et races, même aux non-chrétiens et
incroyants ; ouvert aux illettrés, à la multitude des petites âmes aussi
bien qu’aux grands et sages de ce monde.
Dès l’aurore du XXème siècle de la
Rédemption, et en plein cœur de l’Église et des masses, Thérèse de Lisieux, cet
“Omen novum” de la Bonne nouvelle, répercute de façon lumineuse et audible le
grand cri de la Croix Glorieuse du Golgotha, le Grand Cri de toute la vie et de
tout le mystère de Jésus :
DIEU EST PÈRE !
Dieu est Amour et Miséricorde !
“Sitio” ! J’ai soif ! d’Amour !
l’Amour n’est pas aimé !
Aimez-Moi avec des cœurs d’enfant.
Et jusqu’en votre dernier souffle,
Croyez à mon Infinie Miséricorde !
Je suis le Père de tous les prodigues,
de tous les larrons !
Avant même sa glorification, la Petite Thérèse a
attiré, dès la parution “de sa vie écrite par elle-même”, une multitude de
petites âmes et d’âmes en détresse !
Car dès la première heure, les simples, les
pauvres pécheurs, les malades, ont, comme par instinct, été gagnés par le
visage de Petite-Thérèse, par ce nouveau
visage de l’Évangile !
La grande célébration d’un 1er octobre
dominical 1989 de Thérèse de Lisieux va confirmer la promesse :
“Je passerai mon Ciel à faire du bien sur la
terre”.
Et
voilà, chers pèlerins de Lisieux et Dozulé, “l’Omen novum” de la Sainte de
Lisieux.
Passons maintenant de Lisieux à Dozulé, à un
autre “omen novum” : au Message de “la
Grande Croix Glorieuse”.
Elle est encore bien petite sur la Butte...
Mais cela n’infirme en rien la grandeur et la
valeur du Message dozuléen, Message qui apparaît nettement par lui-même comme
un OMEM NOVUM”, un “MESSAGE NOUVEAU” un visage nouveau et grandiose de la Croix
Glorieuse du Golgotha.
Qu’on le veuille ou non, le Salut de l’homme, de
l’humanité, la paix des cœurs et la paix du monde, c’est Jésus-Christ !
C’est
la Croix Glorieuse de Jésus-Christ !
Ici, une sérieuse réflexion biblique et
catéchétique s’impose :
L’humanité avait été créée en état de grâce et de
bonheur, en état de “paradis terrestre”, par
l’Amour Infini Créateur, par Sa Parole Éternelle - par Son Verbe - qui ne
fait qu’un, qu’un même Amour Infini avec Lui, qu’une même Sagesse éternelle
avec Lui.
Et l’humanité avait été créée à l’image même de
Dieu, à l’image du Fils même de Dieu, de
cette Sagesse éternelle.
Et créée “en
voie” et “en vue”, de parvenir à la Vision béatifique, au Paradis même du
Dieu-Trois-Fois-Saint, et d’entrer pour toujours, par le Fils bien-aimé, et
avec Lui, dans l'indicible Joie de l’Adorable Trinité.
Et l’humanité heureuse devait parvenir à sa
bienheureuse et éternelle destinée de Gloire sans avoir à passer ni par la
souffrance ni par la mort.
Mais vous le savez, - et nous en savons tous
quelque chose ! - ce que l’Amour Infini Créateur avait si merveilleusement
fait, Satan, “ce Menteur et homicide dès l’origine de l’homme”, l’a défait et a
poussé l’homme - nos premiers parents - au péché, au péché “mortel”, à
l’orgueil, à la révolte contre le
premier Plan d’Amour et de Salut de l’homme.
C’est
alors que l’Amour Infini Créateur et Rémunérateur se fit Amour Infini
Miséricordieux...
Dieu n’abandonna pas les hommes dans leur chute
et leur déchéance, ni dans leur incapacité absolue à être pardonnés et sauvés.
Dès
l’origine, et sur sincère repentir
de leur part, Il leur promit un Sauveur. Dès la Genèse (chap. 3 verset 15) se profilent, en filigrane, à travers tout
l’Ancien-Testament, à travers toute la Bible de l’Ancienne Alliance (Alliance
de Salut et de Miséricorde) se profilent les deux admirables Figures de la
Promesse : Jésus et Marie.
Grâce à
Jésus et Marie, grâce à l’Amour Infini Miséricordieux devenu : Incarné,
Crucifié et Ressuscité, devenu : Jésus, le Premier-né d’une multitude de
ressuscités, grâce à ce Jésus de Marie, de la Vierge-Mère, et Mère de Dieu,
grâce à l’Incarnation-Rédemptrice, grâce à la Croix Glorieuse du Golgotha et à
la douloureuse Co-rédemptrice au pied de la Croix, ce que l’Amour Infini
Créateur avait fait si merveilleusement dans sa toute-Puissance et son
Éternelle Sagesse, Il l’a refait en un Nouvel Adam et en une Nouvelle Ève en
une “Nouvelle Création”, combien plus merveilleuse encore que la première.
Dans le Sang d’un Dieu et dans les larmes d’une
Mère de Dieu, par et en Jésus et Marie, le Père des hommes et des Miséricordes
a scellé à jamais une nouvelle et
éternelle Alliance, celle de la Croix Glorieuse, Croix qui est le Mystère
même de Dieu - nous dit saint Paul (col. 1, 26-27) -
caché depuis des siècles dans les secrets du Cœur de Dieu et révélé et accompli
à l’heure fixée par le Père Céleste, et à partir de laquelle l’humanité
rachetée vit, depuis bientôt 2000 ans, l’heure
des “derniers temps”.
Car, en vérité, l’heure du Premier Avènement n’a cessé de faire résonner “l’heure”,
l’attente du Second Avènement.
Et Dieu
sait combien, en ces temps qui sont nos temps, surtout de 1972 et son 28 Mars
de Dozulé, les Signes du Ciel (de Jésus et de Marie) et les “Signes des temps”
(les événements) ont intensifié et précisé cette “attente” et cette “heure” du
Grand Retour, et nous font pressentir le Retour Glorieux du Fils de l’Homme.
La Croix Glorieuse - qui était à la fois
sanglante et eucharistique, Cène et Calvaire - a été le sommet du Premier
Avènement, sommet vers lequel ont convergé toutes les espérances et tous les
événements du premier Israël, sommet
duquel découlent désormais jusqu’à la fin du monde, sur toute l’humanité et sur
tous les siècles, par l’Église et l’Eucharistie, par Jésus et Marie, par
l’Esprit d’une perpétuelle Pentecôte, tous les Rayons et lumières du Cœur
transpercé, toutes les Eaux Vives du Salut.
Cette Croix Glorieuse (du 1er
Avènement) dans toutes ses harmoniques : l’Eucharistie, le Sacrement de
Réconciliation, tous les Sacrements de l’Église, et l’Église elle-même (ce
Sacrement de la Rédemption), ont été, et ne cessent d’être : le Pardon de
Dieu, le Salut du monde, la rançon du péché, l’avènement quotidien des lumières
et Eaux Vives du Salut de l’homme, de chaque homme, mais - et j’en arrive à mes
réflexions capitales - à condition que
les hommes arrivent grâce à l’Eglise et à ses Pasteurs, grâce à leur
catéchèse et à leur pastorale, à
connaître et à pratiquer le céleste Message capital, Jésus-Christ et Sa Croix
Glorieuse, de mort au péché et de résurrection, à condition donc, que les
hommes aient le sens du péché, le goût
du repentir et de la réconciliation, le goût de l’Eucharistie !
Le
Message du Salut, la Croix Glorieuse a beau briller depuis 20 siècles et
appeler à Elle tous les hommes, les appeler à connaître et à vivre tout ce
qu’elle contient (en fait de Vérité, Voie et Vie), cornent seront-ils sauvés,
si malgré 20 siècles de christianisme et d’Église et de Sacrements, la plupart
des hommes même en monde occidental, baignés du Sang d’un Dieu, vivent et
meurent dans l’indifférence, dans l’impiété, dans l’impénitence, dans
l’immoralité ? et, tête baissée par peur de la Vérité, s’en vont vers
l’Enfer et non vers le Ciel !
Il
semble que, vu l’ouragan d’iniquités soulevé par Satan (qui sait que son heure
est comptée), l’Église et son ministère ordinaire, si zélé et ingénieux qu’il
soit, n’y suffisent plus pour un sursaut d’évangélisation, pour une “nouvelle
évangélisation”, dont les âmes ont absolument besoin avant qu’il ne soit trop
tard ! ! !
Plus le Second Avènement approche, et plus le
Premier Avènement, plus la Croix Glorieuse devrait jouer son rôle, sa grâce, sa
miséricorde... Est-ce le cas ?...
Quand le Fils de l’Homme paraîtra avec Son Signe
(Mtt 24, 30), au total les Élus
seront-ils les moins nombreux ? ?
La
Croix Glorieuse du 1er Avènement aurait-elle échoué ? ou du
moins si peu fructifié ?
C’est ce bilan 1972-1989,
c’est ce constat de l’insuffisante fructification
ecclésiale de la Croix Rédemptrice
en fin de second millénaire,
relativement aux propensions et proportions massives
de l’athéisme et de l’immoralisme,
qui me fait discerner et bénir plus que jamais
ce grandiose et providentiel “OMEN NOVUM”,
ce Message nouveau de la Grande Croix Glorieuse,
qu’est Dozulé et son Évènement.
En 1972-1978, Jésus-Eucharistie est sorti
de son silence pour faire signe à son Église,
“Ministre de la Rédemption”,
d’élever le plus tôt possible,
au cœur même de la Fille aînée de l’Église,
au cœur même du monde occidental,
à 25 km de Lisieux, à Dozulé,
la plus haute et la plus lumineuse Croix Glorieuse
que le monde ait jamais vue,
afin qu’Elle soit un relais amplificateur et mondial,
avant l’An 2000,
entre la Croix du Golgotha du 1er Avènement et
la Croix de Gloire et de Justice du Second
Avènement.
Précisément parce que le temps du Retour du Fils
de l’Homme avec Son Signe est proche - “Et
voici que Je viens” “il est encore temps mais il est grand temps” - il faut
que l’Église, sur la demande expresse de son Maître et Seigneur, érige et
bénisse une Croix lumineuse et miraculeuse, grande comme celle apparue à
Madeleine Aumont un Mardi-Saint 1972, une Croix qui soit à la hauteur… du
Golgotha, et à la hauteur de cet Amour
Infini Miséricordieux qui brûle plus que jamais le Cœur Eucharistique et
Sacerdotal du Dieu-Sauveur, du Dieu avec nous !
“Élevé
de terre”, de façon nouvelle et
spectaculaire, élevé au-dessus des temples et des toits, et dominant, en
gigantesque ARBRE DE VIE, un magistral Sanctuaire de Célébrations et de
Réconciliations, “J’attirerai tout à
MOI” : les justes, les pécheurs, les non-chrétiens, les incroyants,
les païens et les renégats et tout le cosmos...
L’Évangélique
Message de Ma Croix Glorieuse, qui est le seul fondamental Salut des cœurs et
du monde pour absolument tous les hommes, a absolument besoin d’être signifié
et crié en grand par la GRANDE CROIX GLORIEUSE décrite et décrétée par le
Seigneur et le Rédempteur Lui-même.
Cette
Grande Croix de Dozulé sera “L’OMEN NOVUM”, le nouveau et ultime et définitif
Message du Ciel et de l’Église, entre Ciel et terre.
De ses
grands bras, elle répandra sur le monde entier les trésors de l’Infinie
Miséricorde du Père.
Il n’y aura de “paix” que lorsque le Message de Dozulé sera répandu et
réalisé !
Qu’elle soit enfin élevée cette CROIX, cet “OMEN
NOVUM”, pour que, ô Père, Ton Règne
arrive, pour que nous soyons sauvés,
il est encore temps... car le temps est proche où ce ne sera plus le temps de
la Miséricorde !
Vite que cet “OMEN
NOVUM” de la Croix Glorieuse de Jésus-Christ arrive pour qu’à temps il y ait le
plus d’élus possible, grâce à cette cité des Élus : Dozulé.
Sur le
monde :
“Une lumière brillante brillera
Jusqu’aux limites de la
terre ;
De loin, viendront des peuples
nombreux...
Et le nom de l’Élue restera pour
les siècles.”
(Cant.
de Tobie, 13, 13-14)
Grande
Petite Sainte de Lisieux, vous avez rêvé de “planter la CROIX GLORIEUSE EN UNE
TERRE INFIDÈLE”.
Intercédez
près de Jésus et de Marie, pour que la Grande Croix rêvée et voulue par le Père
des Miséricordes, soit bientôt plantée en cette nouvelle terre de Mission
qu’est la FRANCE, qu’est l’OCCIDENT chrétien ; plantée à 25 km de votre
Carmel bénit... ! Grande Petite Thérèse, travaillez à l’OMEN NOVUM de la
Croix Glorieuse du Salut du monde !
Chers pèlerins de Lisieux-Dozulé, je termine par
quelques compléments :
1°) Sainte Thérèse de l’Enfant-Jésus et de la
Sainte-Face est la Patronne Secondaire pour toute l’Église universelle, des
Missions catholiques, sans avoir quitté son Carmel de Lisieux. J’insiste :
Comment n’intercèderait-elle pas, avec vous, avec
ses pèlerins, pour l’implantation,
non loin de son Lisieux, d’une “Grande
Croix Glorieuse” si vraiment celle-ci a été révélée ? Croix Glorieuse
qui serait pour toute l’Église universelle, et pour toute l’humanité pécheresse
et païenne, et d’abord pour la France, la
plus grande Croix de Mission, la plus grande Croix missionnaire que le monde
ait connue !
Si cette “Grande Croix Glorieuse” est vraiment patronnée par le Jésus même du
Golgotha, et donc par le Missionnaire des missionnaires, par le
Missionnaire par excellence, comment ne
pourrait-Elle pas être patronnée par l’Église catholique qui est
essentiellement : la prophète, la révélatrice, la Missionnaire
universelle, de la Croix Glorieuse de Jésus-Christ ?
Et ainsi, la Cité de Dozulé deviendrait, de par Dieu et de par l’Église, la Patronne
- en tant que “Croix” - la Patronne principale des Missions !
2°/ Chers pèlerins du 1er octobre, de
Lisieux et de Dozulé, n’oublions pas que ce mois, ouvert par la Sainte de
Lisieux, c’est le mois universel du
Rosaire...
Que de fois Marie
s’est faite, et continue à se faire, la Missionnaire universelle du Très Saint
Rosaire, ce secret merveilleux et céleste de la Paix des cœurs et du
monde !... Lourdes ! Fatima ! Sans compter toutes les
“Visitations” actuelles... !
Notre-Dame
de Fatima, du Rosaire de Fatima,
n’est-elle pas la porte du domaine de la Croix de Dozulé ?
Oui, les pèlerins de Dozulé (via Lisieux) sont des pèlerins d’Église, des pèlerins du
chapelet, du Rosaire ; des pèlerins du Pape, d’un Jean-Paul II. Comme
lui, ils ont pour emblème, pour armes du
Salut et du repentir mondial : la Grande Croix et Marie au pied de la
Croix (†M).
3°/ Enfin, notre dernier mot de 1er
octobre, en cette lettre, sera justement pour le Saint-Père.
Savez-vous que le 1er octobre, la
veille et le lendemain, le Chef de
l’Église Anglicane, l’archevêque Robert Runcie, rencontrera cinq fois le
Pape Jean-Paul II et célébrera avec lui les premières vêpres du 1er
octobre dans une église de Rome.
Événement qui
mérite d’être signalé.
C’est de bon augure œcuménique...
C’est un “Signe des temps”.
Mais, sachez-le bien, la Grande Croix Glorieuse sera le plus grand Signe œcuménique et
catholique des temps !
Promesse du Seigneur à Dozulé, en 35ème
apparition (5 déc.
1975) : “J’attirerai à l’UNITÉ de
l’ÉGLISE l’âme des hérétiques et des apostats.”
Sur ce, avec Jésus de la Croix Glorieuse, avec
Marie du Saint-Rosaire, et avec le Pape, vive votre pèlerinage de 1er
octobre !
Vive votre neuvaine de pèlerinages LISIEUX -
DOZULÉ.
Dites-vous bien, envers et contre tout, en plein
cœur d’un monde 1989, vous êtes porteurs de la Croix Glorieuse et porteurs de
Sa PAIX et de Sa JOIE.
Joyeusement vôtre toujours,
Votre Religieux,
Père Constant DEROUARD (MSM)
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http://trinite.1.free.fr/florileges.htm
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