Florilèges, Dozulé, « NEUVAINE DE
PÈLERINAGES » EN L'HONNEUR DE LA CROIX GLORIEUSE, JOUR 4,
Trinité.1.free.fr, http://trinite.1.free.fr/florileges.htm
4ème
JOUR
« NEUVAINE
DE PÈLERINAGES »
DIMANCHE 29 OCTOBRE 1989
DOZULÉ
« IN ADMIRABILE LUMEN SUUM »
« ANNUNCIATE
VIRTUTES EJUS QUI VOS DE TENEBRIS
VOCAVIT IN ADMIRABILE LUMEN SUUM »
(Vous tous) Annoncez les merveilles - les “vertus”
ou puissances - de Celui qui vous a appelés des ténèbres à son admirable
Lumière”.
(7ème
et 14ème apparitions)
- Votre
1er Jour, c’était le
Dimanche 16 Juillet 1989 en la “Fête de Notre-Dame du Mont Carmel”.
- Votre
2ème Jour, c’était le
Dimanche 17 Septembre, en la “Fête de la Croix Glorieuse”.
- Votre
3ème Jour, c’était le
Dimanche 1er Octobre, en la “Fête de Sainte Thérèse de Lisieux”.
- Votre
4ème Jour, ce sera le
Dimanche 29 Octobre, le dernier avant la Toussaint. Pas de fête liturgique
spéciale ce jour-là. En fervents disciples et pèlerins de Dozulé, célébrons ce
Dimanche de notre 4ème jour sous le thème que voici :
Chaque pèlerinage à Dozulé - et toujours plus
d’une fois à l’autre - comporte essentiellement deux choses :
1°) l’approfondissement
de l’annonce faite par Jésus, de la
Grande Croix Glorieuse et de ses divines efficacités de Salut et de
sanctification, et
2°) un
nouvel envoi en mission : en mission d’annonciateurs et de messagers
de l’Evénement et du Message dozuléens.
Pour des pèlerins de 29 Octobre, ce thème
convient fort bien au lendemain de la
semaine missionnaire mondiale 15-22 Octobre 1989.
Chacun de vos trois premiers Jours a été spécifié
par des mots latins :
- “Mons Christus” (la Montagne qu’est le Christ) en oraison du
Mont-Carmel, le 16 Juillet.
- “Ô Crux, Ave, Spes unica”, du 17 Septembre.
- “Omen Novum” (Message nouveau) du 1er Octobre.
Voici les célestes mots latins qui selon moi
conviennent fort bien à votre 4ème Jour et à son thème.
Je les extrais du Message même de Dozulé :
de la toute première apparition de Jésus, en Personne, en 7ème
apparition : (étant donné que les 6 premières apparitions de la lumineuse
Croix seule comptaient comme apparitions de Jésus - dixit Jésus en 14ème
app., et surtout en 16ème app. : “car la Croix Glorieuse - seule - c’est aussi Jésus Ressuscité”).
Voici les célestes mots sacrés dont je fais le titre de ce 4ème
Jour, et que je tire donc de la 7ème apparition :
“IN
ADMIRABILE LUMEN SUUM”
En sous-titre je cite toute la phrase :
“Annunciate
virtutes Ejus qui vos de tenebris vocavit in admirabile Lumen Suum”.
(Vous tous) Annoncez les merveilles - les “vertus”
ou puissances - de Celui qui vous a appelés des ténèbres à son admirable
Lumière”.
Cette phrase capitale du premier message de
Jésus, c’est heureux qu’elle soit en
latin (et quel bon latin !), car la précision du latin livre combien
mieux les vraies pensées de Jésus
que la trop hâtive traduction. La traduction donnée laisse supposer que la déclaration de Jésus ne s’adresse qu’à
Madeleine ! Or, si Jésus ne s’était adressé qu'à elle, le latin
serait : “Annuntia virtutes Ejus qui
te de tenebris vocavit”. Et donc la traduction de bas de page oublie que le
“annuntiate” n’est pas un pluriel de
politesse mais un pluriel réel qui, sur les lèvres de Jésus, nous inclut tous, vous et moi, aussi bien
que Madeleine.
Chers disciples et pèlerins des Paroles
dozuléennes, pardonnez à un vieux professeur de latin la rectification et la
précision qu’il vient d’apporter. Cela témoigne à quel point il veut “cerner” avec vous le texte dozuléen
afin de vous aider à en mieux discerner
toute la pensée et toute la portée !
En choisissant comme titre et sous-titre de ma
présente conférence, une telle phrase de la toute première déclaration
personnelle du Fils de l’Homme à Dozulé, je me devais de bien saisir, et de
vous faire bien saisir le sens exact de cette phrase capitale que Jésus a
demandé à Madeleine de répéter. Et je me dois de la bien situer.
C’est le 27 Décembre 1972 à 19 heures, Madeleine
venait de sortir de la sacristie de l’église paroissiale avec Monsieur le Curé, quand elle a été saisie par une 7ème
apparition de la Croix Lumineuse, et saisie, quelques secondes après par la
première apparition de Jésus en Personne et par Ses premières paroles
personnelles.
Et donc “Monsieur le Curé”, l’Abbé L’Horset, a
été le tout premier à entendre, “répétée par la prophète” la toute première
déclaration personnelle du Fils de l'Homme à Dozulé :
“N’AYEZ PAS PEUR, Je Suis Jésus de
Nazareth,
le Fils de l’Homme Ressuscité...”
“Ayez la bonté de répéter ceci
“O sorte nupta...” “Annuntiate...”
Je vais, dans un très sérieux souci de scruter ce
texte latin et de bien traduire les Pensées mêmes du Cœur de Jésus, je vais me
livrer à une paraphrase explicative en guise de traduction :
“Ô,
heureuse êtes-vous, Madeleine, d’être l’Élue, la choisie du
Cœur de Jésus, l’épouse de Son céleste
Message, de Son Message de la Grande Croix Glorieuse des derniers temps,
Croix que vous aurez à porter et à
engendrer…
- Et
vous, le prêtre et pasteur, le
témoin et le protecteur de l’Élue !
- Et
vous tous, les futurs disciples
et messagers d’un Message qui est d’une telle urgence.
Avec Madeleine, “Annuntiate” “annoncez” les vertus, les puissances, les merveilles
(de Sagesse et de Miséricorde) de Celui
qui, par Sa Croix Glorieuse du Golgotha, vous a, une fois pour toutes, appelés
- et toute l’humanité avec vous - des
ténèbres à Son admirable Lumière (de Grâce dès ici-bas et de Gloire un
jour).
Et j’ajoute bien vite : Madeleine, et vous
les heureux témoins et disciples de Dozulé, de son “Evénement-et-Message -
1972-1978”, annoncez à tout l’univers la Bonne Nouvelle, toute nouvelle de la
Grande Croix Glorieuse révélée !
Dans l’aujourd’hui d’un MONDE DE TÉNÈBRES comme
jamais, cette Grande Croix du repentir et de la Miséricorde aura la céleste
vertu de vous appeler, et la multitude des pécheurs, À SON ADMIRABLE LUMIÈRE.
Car Elle est Celui “qui vos de tenebris vocavit in admirabile Lumen Suum”.
Chers Amis et pèlerins de la Croix, il faut
croire que cette déclaration lumineuse est chère au Cœur de Jésus et donc au
Cœur du Père des Miséricordes, car le Fils de l’Homme l’a proféré dès Sa
première apparition à Madeleine - et donc à la Sainte Église. Et sous quel ton
solennel, enthousiaste :
“O sorte...” !
C’est comme la 1ère antienne de tout
le Message 1972-1978 !
Oui, il faut que Jésus ait vraiment à cœur cette
déclaration, car Il va la répéter textuellement à Madeleine et la lui faire
répéter pour nous, un premier Mars 1974, en la 14ème apparition, qui
est comme le cœur même de tout ce Message d’Amour dont Madeleine est
“l'épouse”…
Là encore situons bien ce texte-bis dans son
écrin :
“Ecce... quæ videt Me, videt et Patrem Meum
Magdalena !“ “Annuntiate virtutes Ejus, etc...”
Notez que la première ligne de cette deuxième
antienne “d’Annuntiate est, ô merveille, une actualisation de la célèbre
déclaration évangélique de Jésus à Philippe : “Philippe, celui qui M’a vu,
a vu le Père” (Jean
14, 9)
Quant à Madeleine, sur le champ, elle entend
bien, de ses oreilles, mais sans comprendre, c’est en latin... Un latin qui
parle tout doucement au cœur de ceux qui ont ‘la grâce dogmatique” (48ème app.) d’entendre et de goûter et l’Évangile de Jésus
et le Jésus de l’Évangile, quant il LUI plaît aujourd’hui de leur faire signe
et de leur parler pour le plus grand Salut du monde
Dans son contexte trinitaire, le texte-bis (de la 14ème app.) a pris encore plus de relief et de
portée !... Sans compter encore qu’il se trouve continué et renforcé (en
cette 14ème app.) par deux phrases de Jésus qui nous intéressent
particulièrement aussi :
1°) “Je suis la linière du monde et la lumière
luit dans les ténèbres, et les ténèbres ne L’ont point comprise.”
(entre-parenthèses, j’aime trouver ici sur les lèvres de Jésus la traduction
idéale qu’Il donne Lui-même au fameux : “eam non comprehenderunt”, si
diversement traduit par les exégètes).
2°) “Pénitence, pénitence, pénitence...... pour
le manque de foi dans le monde.”
Chers amis, voilà un bien long préambule de déjà
une vraie entrée en notre thème précis de conférence. Mais il est matière par
rapport à conférence :
“ANNONCEZ LES
PUISSANCES - LES MERVEILLES”
“DE CELUI QUI VOUS A
APPELÉS”
“DES TÉNÈBRES À SON
ADMIRABLE LUMIÈRE”
Voyez-vous, chers pèlerins de la Neuvaine, le
Très-Haut veut par ce 4ème Jour, veut nous faire prendre conscience
une bonne fois de la double vocation à laquelle Il nous a appelés comme
Madeleine, par pure Miséricorde :
1°) Il nous a appelés des ténèbres à l’admirable
Lumière de cette Grande Croix Lumineuse vue par Madeleine ; Il nous a
appelés à “comprendre” toujours plus ce grand et urgent Message nouveau de
cette Grande Croix nouvelle, de cette merveille et puissance de Salut du monde.
2°) Il nous a appelés, comme Madeleine, à porter
cette Croix, à l’annoncer au monde autant qu’il dépend de nous en fils
confiants et respectueux de la Sainte Église.
Et pour nous faire mieux prendre conscience de
cette double vocation de disciples et d’apôtres de la Croix de DOZULÉ, et de
l’urgence d’une telle Croix, d’une telle merveille de l’Amour Infini
Miséricordieux, ce 4ème Jour veut tout de suite nous faire prendre
conscience des ténèbres dans lesquelles gisent, depuis surtout les années 1972,
l’humanité, et l’Église qui est le cœur de ... cette humanité… !
La vraie Eglise de la Croix Glorieuse du Golgotha
(L’Église de l’Eucharistie, de Marie et du Pape), cette ‘VIGNE CHOISIE” a été
déclarée en 1972 par Paul VI : ravagée par... “la FUMÉE DE SATAN”, pour
une autodestruction de la Foi et de la Morale révélées, et de l’Église
elle-même.
Et Dieu sait, si depuis 1972, Satan se croit de
plus en plus le Prince de ce monde.., même dans des ‘choses essentielles” de
l’Église...
Alors que depuis 20 siècles, en Église et par
l’Église, “Jésus de Nazareth, le Fils de l’Homme Ressuscité” a fait briller sur
les peuples, sur les ténèbres païennes, Son Mystère, le Mystère de Dieu et du
Salut, le Mystère de Sa Croix Glorieuse ; et alors que, depuis 25 ans, un
grand CONCILE, - celui qui est de plus en plus effrontément arboré contre Jean
Paul II - a déclaré, à la face du monde moderne
L’Église, “LUMEN GENTIUM”, lumière des Nations
douée d’un Esprit de “Pentecôte Nouvelle” pour ouvrir le monde, les esprits et
les cœurs à L'“ADMIRABLE LUMIÈRE” du Christ-Sauveur et de Sa Croix Glorieuse
Voici que beaucoup de communautés de base - qui
sont les organes les plus proches des fidèles - se sont ouvertes au monde
moderne et rationaliste, à ses doutes et incertitudes, à ses remises en
question touchant les M même du Christ et de... l’Au-delà, au lieu d ouvrir le
monde aux essentielles données de la Révélation, en fait de FOI et de MORALE...
et d’ESPÉRANCE...
Satan réussissait en Église un exploit : un
rideau ou écran de fumée, - de ténèbres - entre le “Donné révélé” et les âmes à
évangéliser.
Et “la fumée de Satan” réussissait : à
substituer, systématiquement, et par un diktat de mouvement d’ensemble, dans
tous les rouages de la transmission de la Foi, à substituer la pédagogie de
l’esprit moderne et critique à la surnaturelle pédagogie de l’Évangile et de
l’Esprit-Saint, de l’Esprit de Foi et de piété et de piété Eucharistique
particulièrement.
Tant et si bien qu'”elle” (cette fumée) a réussi
d’un seul coup, puis durablement, à brouiller en beaucoup de catéchèses, de
prédications, et de pastorales sacramentelles, la transmission des ondes de la
Révélation, des ONDES VÉRITÉ - VOIE et VIE !
De telle sorte que les “organes” de transmission
de la Foi (manuels et personnes) se sont trouvés pratiquement, dans
l’impuissance de faire “comprendre’ à une multitude d’enfants et d’adultes
l’admirable lainière des Mystères de Jésus et de Marie, et surtout, du Mystère
de la Passion et de la Croix Glorieuse, cette merveille, de l’Amour Infini
Miséricordieux
Le plus fort, c’est que “les officiels organes de
transmission” étaient souvent eux-mêmes dans l’impuissance de “comprendre”
l’admirable lumière !
Mais, Dieu merci, de façon miraculeuse, le 28
Mars 1972, en un Mardi-Saint qui pourrait bien être une coïncidence, cette
année-là avec le premier VENDREDI-SAINT HISTORIQUE, le Fils de l’Homme
intervenait personnellement, en privé et en douceur mais de façon significative
pour toute l’Église et pour toute l’humanité, afin de témoigner Lui-même de la
VERITÉ inaltérée et inaltérable, de Son Mystère Pascal de mort et de
résurrection rédemptrices, et afin de faire “passer”, envers et contre tout,
toutes les âmes, tous les hommes (d’Église ou non), des TÉNÈBRES ambiantes et
envahissantes à l’ADMIRABLE LUMIÈRE DE SA CROIX GLORIEUSE.
En ce 4ème Jour, pour mieux nous
convaincre :
- et des épaisses ténèbres de notre monde 1989,
- et de la nécessité et urgence de la Grande
Croix Glorieuse 1972,
- et de la nécessité de notre zèle missionnaire
au service de la Grande Croix de la Nouvelle Evangélisation.
Prenons acte maintenant : de témoignages et
déclarations graves et indiscutables, cueillis en des sources sûres et
impartiales.
Mais d’abord, je ne puis m’empêcher de laisser
s’épancher mon cœur, qui était très oppressé à l’instant même... Ah !
chers amis et pèlerins de la Croix Glorieuse, si j’ai osé, à l’instant, me permettre de n’exprimer cocue je l’ai fait
sur notre bien-aimée Mère l’Église, c’est par un religieux amour pour Elle
par un amour éclairé et constructif...
Ah ! “qu’Elle” soit construite au plus tôt cette Grande Croix de lumière, construite par l’Église et pour Elle !
Si j’ai osé, c’est parce que c’est aujourd’hui un 13 Octobre, Notre-Dame de Fatima, et, son grand signe du “soleil”.
Si j’ai parlé ainsi aujourd'hui, c’est en fils et
serviteur de Marie et de l'Église ! C’est par égard aux larmes de la Mère de l'Église ... ! C’est par égard aux larmes de Jésus Lui-même,
desquelles témoigne l’Archange Michel dans le Message de Dozulé (en 45ème
app.) :
“Priez,
priez, car Jésus pleure sur la dégradation de Son Église…”
Et enfin si j’ai osé, c’est parce que le thème de
cette 4ème conférence s’y prêtait, sur le mystérieux duel entre la lumière et les
ténèbres ; duel qui, en son paroxysme 1972, a nécessité manifestement
l'intervention personnelle du Maître et Seigneur de l’Église et du Salut du
monde, et L’a fait sortir de Son silence eucharistique pour qu’Il soit Parole nouvelle à l’Église et au
monde…
Et pour qui discerne, posément et sérieusement,
le Message, les oracles tels que ceux qui nous retiennent en ce 4ème
Jour - ceux de 7ème et 14ème app. - le Message est, sur
toute la ligne, avant tout d’espérance,
de paix et joie :
“N’AYEZ
PAS PEUR, JE SUIS…
“O Sorte nupta prospera...” (7ème
app.)
Et la 14ème app. est d’un enthousiasme
encore plus explicite :
“Nolite
timere, Deum benedicite, et cantate Illi !”
Non, en ce 13 Octobre, mon constat d’Église, à la lumière de Dozulé et de... Fatima, n’est
pas pessimisme, mais espérance et joie
débordantes !
Et encore, en ce 13 Octobre, je ne puis oublier
que le Message dozuléen, qui, sur les lèvres du Fils de l’Homme, est un relais
amplificateur du Message, du secret de
Fatima, comporte dans notre méditation du 4ème jour, le mot répété trois fois : “Pénitence...”
Et dans la messe fériale de ce 13 je décèle par
instinct une transparence et de
Fatima et de notre Dozulé. L’épître (Joël 1, 13-15 ; 2, 1-2) est un appel vibrant à la pénitence pour un jour de
malheur (pour le Jour de purification et de justice) :
“Prêtres, mettez un vêtement de deuil, et pleurez ! Serviteurs de l’autel, faites entendre
des lamentations... Criez vers le Seigneur... Ah ! Jour de malheur ! Le jour du Seigneur est
proche !...”
Et le Psaume
du 13 Octobre a pour refrain ensuite :
“Dieu
jugera le monde avec justice”.
Mais en même temps, le Cœur de Jésus à Dozulé et
le Cœur Immaculé de Marie de Fatima nous crient :
“N’ayez
pas peur ! Bénissez le Seigneur ! Chantez pour Lui !... (14ème app.)
“Mais
mon Cœur Immaculé triomphera”
Quant à
l’Évangile férial (Luc
11, 15-26) de ce Vendredi 13 Octobre
1989, il fait réfléchir. Il confirme
parfaitement mes pages précédentes sur... l’Église et les vieilles nations chrétiennes, quand elles ont le
malheur de... revenir par leur athéisme et immoralisme et laïcisme (“qui
n’est pas avec Moi est contre Moi”), à Satan et à tous ses Démons, à un néo-paganisme qui est un “état pire
à la fin qu’au début de l’évangélisation... !”
Je termine ma tranche de réflexions personnelles
par une réflexion missionnaire :
Chers amis de Dozulé, si Marie s’est hâtée de
visiter sa cousine ; si sa “visitation” a tant réjoui Elisabeth, et a fait
tressaillir en celle-ci le précurseur, l’enfant du miracle, c’est que Marie était remplie de l’Annonciation...
Vous et
moi, plus nous serons remplis de l’annonce de Dozulé, de cet Evénement, et de
l’avènement de Sa Croix Glorieuse, et plus, nous aussi, nous nous hâterons, au
nom de Jésus et de Marie, d’annoncer ce que nous avons vu et entendu et qui
transparaitra en tout notre être (8ème
app.)
“(Ô Croix Glorieuse), Soleil levant sur ceux qui
gisent dans la mort,
Tu es venu pour que voient ceux qui ne voient
pas !
Ô, VIENS, SEIGNEUR JÉSUS !
LUMIÈRE DU MONDE :
que nous chantions pour TON
RETOUR.”
(Hymne de 3ème Matin du
Bréviaire)
III
IIIIIIIIIII
III
III
III
III
Document :
Vendredi 13 Octobre 1989
URSS
Première Messe
au Kremlin depuis 1918
Pour le
400ème anniversaire du patriarcat orthodoxe de Russie,
la
cathédrale Ouspenski a été rendue au culte.
Pour la première fois depuis 1918, les chants
religieux ont retenti hier parmi les effluves d'encens dans la cathédrale
Ouspenski du Kremlin, pour le 400ème anniversaire du patriarcat
orthodoxe de Russie.
À cette occasion, deux nouveaux saints ont été
canonisés par le patriarche Pimen. Depuis soixante-dix ans, cette cathédrale du
XVème siècle, où les tsars étaient couronnés et les patriarches
inhumés, était transformée en musée. Pendant quelques heures, elle a retrouvé
sa véritable destination.
Après la révolution de 1917, les autorités
communistes avaient transformé les églises en musées dans le but de dénoncer ce
qu’elles appelaient l’oppression de l’ordre ancien. “Ce n’est plus un musée”, a déclaré l’archiprêtre Gregori Cognetti
de Palerme, venu, avec beaucoup d’autres ecclésiastiques orthodoxes du monde
entier, assister à la cérémonie.
Le métropolite Anthony, chef de l’Église
orthodoxe de Grande-Bretagne et d’Irlande, a déclaré de son côté : “Au début des années 70, un responsable du
gouvernement m’avait dit qu’un jour nous pourrions célébrer un service à
l’intérieur du Kremlin. Je ne le croyais pas et pourtant nous sommes ici.”
L’an dernier, le président Mikhaïl Gorbatchev
avait personnellement assuré le patriarche Pimen que l’État soviétique
respecterait les droits des croyants. En juin 1988, l’Église a célébré mille
ans de christianisme en Russie.
Moscou a également rétrocédé un certain nombre
d’églises et de couvents à la hiérarchie orthodoxe. Gorbatchev a avoué qu’il
avait été baptisé, étant enfant. Les responsables religieux n’en demeurent pas
moins prudents. L’Église orthodoxe doit faire face à la question des uniates
d’Ukraine, qui reconnaissent toujours l’autorité du Pape, quarante ans après
avoir été intégrés de force par Staline au sein de l’institution orthodoxe.
(Reuter.)
2ème tranche relative au 29 Octobre 1989
faite de “menus propos dozuléens”
se rattachant au 13 OCTOBRE 1989 particulièrement
et aux jours suivants
----------------
1er menu propos :
Chers pèlerins du “4ème jour” et vous tous, fidèles de la Croix Glorieuse,
la 1ère tranche, celle de
mes réflexions personnelles, a déjà fait état d’un singulier signe des temps et du Ciel dont
Notre-Dame de Fatima et de la Russie a tenu à marquer son 13 Octobre 1989.
Nous lisons dans l’hebdomadaire catholique “La
Vie”, (en son numéro du 19 au 25 Oct. page 6) cette information :
“L’Église rentre au Kremlin.” On
n’avait pas vu ça depuis 1918 ! Un office a été dit le 13 Octobre en la Cathédrale de L’Assomption, en plein cœur du
Kremlin, à Moscou. C’est le Patriarche
Pimen, le chef de L’Église Orthodoxe Russe, qui l’a présidé pour commémorer le
400ème anniversaire du patriarcat orthodoxe de Moscou. On murmure
que Gorbatchev tenait à faire un geste vers les orthodoxes, avant sa rencontre
à Rome, le 25 Novembre, avec le “Chef” catholique, Jean-Paul II”.
Je dis : ce 13 Octobre 1989 au Kremlin est
vraiment “signe” que Fatima travaille la Russie et son chef, même si celui-ci,
par cette Célébration, veut surtout
toucher le cœur de Jean-Paul II.
Mais, vous me direz, ce signe de 13 Octobre n’a
rien à voir avec... Dozulé !... Vous croyez ? Moi je pense
ceci :
En notre Dozulé, c’est Notre-Dame de Fatima - et
donc du 13 Octobre - qui ouvre le domaine et les espérances de l’actuelle
petite Croix Glorieuse...
Puisse Notre-Dame du 13 Octobre - du soleil de
Fatima - obtenir que cette petite Croix Glorieuse frappe à la porte du cœur du Saint Père pour devenir bientôt la Grande
Croix, qui est déjà, prophétiquement, inscrite dans les armes épiscopales
et papales d’un Jean-Paul II à côté du grand “M” !
2ème menu propos :
Savez-vous ce que le Saint-Esprit mettait sous
les yeux et sur les livres des prêtres, religieux et fidèles à l’office des
Lectures (au Bréviaire) du Vendredi 13 Octobre ? Voici (de la 1ère Lettre à
Timothée, chap. 6, 3 à 5)
“Si quelqu’un enseigne une autre doctrine et ne
s’attache pas aux saines paroles, celles de Notre Seigneur Jésus-Christ, et à
la doctrine conforme à la piété, c’est un être aveuglé par l’orgueil, qui ne
sait rien, mais a la maladie des recherches et des querelles de mots. De là
viennent envie, querelle, injures, mauvais soupçons, disputes interminables
d’hommes à l’intelligence corrompue, privés de la vérité et pensant que la
piété est une affaire (un profit)”.
Chers Amis, mon amour pour Fatima et pour Dozulé
me rend très sensible à un tel langage sacré de 13 Octobre, et me fait vous
écrire ceci :
Comme les petits voyants de Fatima, laissons-nous, à tous âges, instruire
(sur les choses de la Foi et de la piété et de l’Au-delà), bien plus par “l’Ange du Ciel et par la Reine des Anges” que par toutes
les voix de la terre...
Et comme Madeleine de Dozulé, laissons-nous
instruire par Jésus Lui-même : par
ce Message de l’Évangile, et par celui de Dozulé, “OMEN NOVUM”.
Combien leur doctrine est plus conforme à la
piété, à la santé de notre vie de foi et d’amour, (d’amour de Dieu, et du prochain et de nous-mêmes) que toutes les
modernes recherches et remises en question et querelles de mots, qui font
perdre chez les jeunes le profit des heures si courtes réservées à l’éducation
de la foi.
Ces heures qui devraient être, en vue de toute la
vie et de tous ses problèmes, des heures
d’éducation surnaturelle de la piété, et des pratiques religieuses, et de
la pureté, etc... des saines valeurs de l’amour, du mariage et de la
famille...!
3ème menu propos :
Je greffe sur cette Lecture biblique de 13
Octobre, et sur mon propos à son sujet, une
information intéressante.
C’était au cours de Septembre dernier, douze
diocèses (de Normandie, Bretagne et Pays de Loire), avec leurs quelques 200
animateurs et responsables de la foi (en milieux scolaires et dans des
établissements catholiques), ont fait le point à Rennes, sous l’égide en
particulier de Monseigneur Pierre PICAN de Bayeux, très qualifié en tant
qu’ancien responsable d’établissement.
Ses conseils ont fait autorité : même si les
enseignants et élèves de l’enseignement catholique sont parfois éloignés de la
foi, “l’acte d’enseigner” doit
devenir une forme d’évangélisation. Pour
certains, ce sera la seule, à condition, bien sûr, que l’animateur ou
l’enseignant s’insère dans le “projet
éducatif” de son école...
Sur ce, voici ma réflexion :
Chers pèlerins et amis, la Croix Glorieuse nous
réclame de prier ensemble, neuf fois plutôt qu’une, pour nos Évêques et pour
tous leurs problèmes d’apostolat. Car, par exemple, pour que “l’école
catholique”, une des formes indispensables de l’évangélisation, parle sur la
... FOI, il est indispensable que les Pasteurs, ces guides qualifiés des
“animateurs enseignants”, soient de plus en plus, pour ceux-ci une ardente
Parole de Dieu sur la… FOI, et particulièrement sur le Mystère de Foi par
excellence qu’est la CROIX GLORIEUSE de Jésus-Christ, ce MYSTÈRE PASCAL, porté
et pérennisé par le MYSTÈRE EUCHARISTIQUE...
4ème menu propos :
Chers Amis et pèlerins de Dozulé, prions et
travaillons, humblement et avec confiance, pour que le Pasteur des pasteurs, le
Fils de l’Homme “l’Évangélisateur par
excellence”, soit enfin entendu de Ses Pasteurs, si c’est vraiment LUI qui
parle dans l’Événement et Message de Dozulé !...
Si c’est
vraiment “LUI” qui parle, il
leur appartient d’en avoir le cœur net ! N’ont-ils pas “la Grâce
dogmatique” du discernement des esprits (48ème app.) ?
C’est
grave ! Si vraiment cette
“VOIX” de DOZULÉ “était Celle même du Fils de l’Homme...” Et si vraiment cette
Grande Croix Glorieuse - folie pour les sages – était Sagesse du “Tout-Puissant
Père des Miséricordes”, et Sa Volonté pour
ces temps qui sont nos temps !...
Ô Pasteurs, ô Veilleurs, pourquoi tant tarder à
en avoir le cœur net ?
Alors
que les événements qui s’ensuivent de façon si spectaculaire et si tragique... donnent raison à la 34ème apparition,
et aux prédictions d’un 25 Décembre 1975 en 36ème apparition :
“Dieu a
parlé aux hommes. Que ceux qui
ont la charge du Message entendent Sa Voix.
À cause de leur manque de Foi, le monde entier
connaîtra de grandes catastrophes, qui bouleverseront les quatre coins de la
terre. Ce que vous vivez en ce moment (en 1989 encore plus qu’en 1975 !)
n’est que le commencement des douleurs. L’humanité
ne trouvera pas la Paix, tant qu’elle ne connaîtra pas Mon Message et ne le
mettra pas en pratique.” (36ème app.)
Je me dis : Il suffirait qu’un seul Pasteur
-“le Supérieur” de la Cause (49ème app.)-
en vienne, par un souffle de l’Esprit-Saint, à discerner, à capter la Voix du
Message, pour que cette Voix qui crie dans le désert depuis 1972 (“Pénitence,
pénitence pénitence, le Royaume de Dieu est proche (14ème app.) devienne si Elle est Dieu même - la toute
principale et puissante Voix et Voie de cette “Nouvelle et indispensable Evangélisation”, qui est tant à l’ordre
du jour !
OUI, discernée et élevée, cette lumineuse et
céleste Grande Croix Glorieuse serait la plus merveilleuse, la miraculeuse Voix et Voie de Nouvelle
Evangélisation, à l’heure où “le péché du monde” est à son paroxysme, et
quasi à la veille du péché mondial
contre l’Esprit, à la veille de “l’impardonnable” ! ! !
Elle
serait à temps -mais il est grand temps !- l’indispensable appoint apporté par le Ciel, (par le
Maître et Seigneur de l’Église et de l’évangélisation), à cette Église
d’aujourd’hui, qui proclame par un souffle de l’Esprit de Pentecôte nouvelle,
la nécessité d’une “nouvelle Évangélisation”, répétons-le.
Cette Grande Croix Glorieuse des derniers Temps
ne serait pas seulement une
providentielle forme nouvelle d’évangélisation, mais serait la colonne vertébrale et le cœur de
toutes les formes d’évangélisation modernes : l’école catholique, la
catéchèse, l’action catholique, l’action pastorale, la prédication...
Une fois discerné, pourquoi Jésus de Dozulé ne
serait-IL pas pris au mot : “Élevé de terre, J’attirerai tout à Moi”
(et à mon grand Sanctuaire de Célébrations et de Réconciliations construit au
pied de Ma Croix) ? (14ème app.).
Si cette Voix, si cette Croix c’est Jésus, Elle
ne trompe pas !... Et ne demande
qu’à faire ses preuves !...
Oser
augurer pareillement comme je
viens de le faire, de la vertu, de la puissance évangélisatrice et
illuminatrice - à tous azimuts - de la Grande Croix demandée par le
Seigneur ! Oser augurer
pareillement de l’impact indicible qu’aurait au sein des ténèbres de notre
temps, la plantation de cette Céleste Croix de lumière et de Salut, est-ce, de
ma part pure fiction et utopie
surréaliste ?
Ne serait-ce plutôt - qui sait ? - prendre
tout simplement au mot, et de façon réaliste et logique, l’oracle, la céleste
promesse :
“Élevé de terre, J’attirerai tout
À MON ADMIRABLE
LUMIÈRE” !
Oh ! chers Pèlerins de la Neuvaine, prions
plus que jamais en ce 4ème jour, pour que cette Croix du Message -
absolument comme si Elle était de
Dieu ! - devienne le lampadaire, le
phare qui éclaire toute la Cité des hommes ! Si Message céleste il y
a, un tel Message 1972-1978, mérite infiniment examen et considération ;
et mérite de ne pas dormir plus longtemps “sous le boisseau”, sous le lit... !
Pour se mettre en mesure de savoir si vraiment ce Message est “Don de Dieu”, ne
faudrait-il pas que les hommes de Dieu consentent à savoir goûter d’avance ce Don de Dieu que serait cette Grande Croix
du Grand Pardon !
Nous qui “savons et goûtons” par expérience ce
Don, ce Pardon de Dieu, prions le Saint-Esprit pour que les “préposés” à la réalisation du Projet de Dieu, de la
Grande Croix soient, du fond du cœur, par leur “radio d’intériorité”, attirés vers ce Projet divin
d’évangélisation et de Salut, et sachent le méditer et le goûter !
OUI, je me dis : il suffirait que
l’Événement Message de Dozulé (dans son récit original) soit pris, un beau
matin, grâce à un souffle de l’Esprit-Saint, comme sujet de méditation et d’oraison, pour que ce Message impressionne,
dans une heure de douce aurore et grâce,
le cœur du... Pasteur et... Supérieur, et frappe à la porte de son cœur et le fasse “fondre” (17ème app.).
5ème menu propos :
Chers pèlerins, je vous écris en ce soir de Dimanche 22 Octobre, clôture de
la “semaine missionnaire mondiale”. J’ai été impressionné par les trois Lectures mêmes de la Messe de
ce Dimanche qui m’ont fait contempler en
transparence, “Dozulé” la nécessité de la sur la “montagne” pour que, dans
la plaine, l’Église militante des Temps-Derniers remporte la Victoire (1ère Lect. d’Exode). Précisons : “la transparence” :
Il faut
absolument que l’Église
1972-1989-2000, aux prises plus que jamais avec l’Amalec, avec Satan, cet
Ennemi n°1 du Peuple de Dieu et du Mystère de la Croix du Christ, maintienne,
jusqu’au bout de ses combats apocalyptiques - et donc jusqu’à ce que le Fils de
l’Homme revienne en Gloire - maintienne
réellement et perpétuellement “LES BRAS GLORIEUSEMENT EN CROIX” du Moïse par
excellence qu’est le Crucifié et Ressuscité du Calvaire et de nos Autels.
Sans doute à travers les siècles chrétiens c’est d’abord par le “Sacrifice
perpétuel !” (Eucharistique), par “l’offrande pure qui, du Levant au
Couchant monte en tout lieu et en tout temps vers le Ciel” (Malachie 1, 11), que le Seigneur Jésus, notre Moïse, est maintenu sans cesse les bras en Croix
Glorieuse.
Mais le Père de tous les hommes, de tous les
Peuples, le Père des Miséricordes voit de son Ciel (Psaume 32, 13) toutes les choses qui échappent pratiquement à l’Église
et à ses Célébrations Eucharistiques, soit
que cette multitude d’âmes soient païennes (et ignorantes de l’Eucharistie de
nos églises) ou soit qu’elles aient perdu - ou jamais eu - “le goût de l’Eucharistie”. Et ce Père
des Miséricordes a pitié de toutes les âmes - “Pitié, mon Dieu, pour ceux qui Te fuient, donne-leur le goût de la
Sainte Eucharistie” (10ème app.).
Ô
Merveille des merveilles, ce Père de tous a imaginé et décrété pour
ces temps qui sont nos temps qu’il y aurait une autre merveille que celle de l’Eucharistie !...
Il a imaginé et voulu cette autre merveille qui s’appelle :
“la
GRANDE CROIX GLORIEUSE” !
Il l’a fait jaillir et s’élancer précisément de
“la base eucharistique”, telle une fusée de lumière et de Salut, mais
permanente celle-là et rattachée toujours à sa rampe de lancement, le
Sanctuaire (inséparable de cette fusée et indispensable à ses Divines
efficacités).
OUI, merveille des merveilles ! le Père des
Peuples a rêvé et décrété une gigantesque et mondiale Croix Glorieuse, qui
dominerait tous les habitacles eucharistiques, et qui attirerait à Elle tous
les esprits, tous les cœurs et tous les péchés de toutes les Nations et
Religions. Ce serait “la Croix de tous
les Peuples”, la CROIX DE L’UNIVERS !
Cette
Croix Nouvelle, cet “OMEN NOVUM”
du Golgotha et du Mystère du Christ et du Salut, Dieu, le Père de tous et de
toutes les Miséricordes, la veut pour que tous les pécheurs (de toutes races et
langues) puissent tourner leurs yeux
et leur cœur vers Elle, “vers Celui
qu’ils ont transpercé” (Jean 19, 37) même
sans Le connaître !
Et pour qu’ils puissent - les pécheurs - se détourner de leurs péchés, se repentir,
se convertir...!
Car qu’on La veuille ou on, qu’on La sache ou
non, la Croix Glorieuse du Christ a été et ne cesse d’être la rançon du Salut pour tous, la porte et la clef du
Ciel pour tous
Chers Amis, par ces dernières réflexions je viens
de commenter, pas seulement la 1ère Lecture de la Messe de ce 22
Octobre, mais aussi la 2ème Lecture, la 2ème Lettre de
saint Paul à Timothée. Reportez-vous-y et savourez-la.
Le “Prions en Eglise” intitule cette
épître : “Méditer l’Écriture pour
proclamer la Parole”.
Dans cette 2ème Lecture, tout comme
dans la 1ère, je vois une “transparence” de Dozulé et de ... Sa
Cause. Aussi je me permets une instance et une insistance.
Pour un Pasteur méditatif et impartial par
rapport, et aux canoniques Paroles de Dieu de la Grande Révélation, et à
d’importants et sérieux messages (de “révélations privées”) qui se présentent,
un beau jour, en Église (et en milieu eucharistique), comme des paroles
actuelles de Dieu, du Fils de l’Homme, et même comme des actualisations de
grandes Paroles d’Évangile, voilà dans les deux cas, de beaux sujets d’étude et
aussi... de méditation.
Car, pour ce qui est de la “révélation privée -
Dozulé”, le texte (dans son original) peut fort bien être objet d’étude impartiale, objet d’interrogations et
d’investigations, et même de méditation.
Oui, même si, de prime abord, “la Source” de ce
texte ne saute pas aux yeux (étant donné l’extrême sagesse et prudence de
l’Église en ce domaine), le texte en lui-même pourrait bien être un beau sujet
d’oraison.
Et ce serait dans ce dialogue intime entre
l’esprit de ce texte et l’esprit du Pasteur, de “l’ayant-Grâce dogmatique -et- autorité”, que pourrait fort bien, qui
sait ? se jouer le sort du texte et, peut-être, le sort de la Volonté divine...!
Ce qui me fait conclure : “le Message
Dozulé” peut s’autoriser de la même entête que... l’Épître de ce
Dimanche : “méditer pour proclamer”.
C’est avant tout au cœur du Pasteur que se joue l’espérance de “la proclamation”. Comptons sur le Saint-Esprit.
Prions-Le pour Monseigneur le “Supérieur”.
Chers Amis et Pèlerins, ma plume, pour le coup,
m’a entraîné dans une étude d’initiation au discernement d’un texte (Dozulé), à
laquelle vous ne prêtez pas, probablement, un grand intérêt. Veuillez me
pardonner. Mais j’en viens vite, au texte d’Évangile de ce 22 Octobre pour
lequel je peux plus facilement vous
mettre “dans le coup”...
Lisez et relisez cet Évangile. Dans un langage de
parabole, et sous des paroles abruptes et réalistes le Message de Jésus est
frappant : quand il s’agit de plaider en nos prières (à Dieu notre Père, à
Jésus et à Marie), pour des causes justes, “il
faut toujours prier sans se décourager”. La persévérance, la ténacité de
notre supplication, au risque d’importuner - apparemment - le Ciel, est un acte de foi et de confiance qui paie
toujours et qui finit toujours par être exaucé...
Moi, je vois dans cette parabole une
extraordinaire transparence de ... la
Cause de Dozulé, et la façon “évangélique” de défendre à temps et à contre temps une telle “Cause” jusqu’à ce
qu’elle soit... exaucée !...
Et j’en tire les propositions suivantes : à
partir de l’Évangile de ce Dimanche 22 Octobre :
1°) Plaidons la cause de Dozulé, d’abord et
surtout près de Jésus qui est le Souverain Juge de cette Cause, et en LE
prenant au mot de Son Évangile du 22, c’est-à-dire, en L’importunant, plus que
jamais, et de nos “prières quotidiennes”
pour Dozulé, dictées et demandées par le Message lui-même (la prière des “5 -
Pitié, mon Dieu”) ; et de nos pèlerinages à Dozulé, de notre “neuvaine de
pèlerinages” ; et de nos “Saintes Messes” pour Dozulé auxquelles nous
participons ou que nous faisons célébrer...
Et plus que jamais importunons Jésus et Marie, de nos Ave Maria et de nos Rosaires
multipliés. Comment Marie ne serait-Elle pas la Souveraine Avocate d’une telle Cause !...
2°) Et servons-nous aussi de cet Évangile (de la
veuve “qui demandait justice” à un
juge rébarbatif) en importunant, oui, je dis bien comme l’Évangile, en importunant le Juge terrestre de la Cause de
Dozulé : “le Supérieur” (49ème app.)...
C’est la Cause elle-même qui est la
pauvre veuve...
Elle
plaide près du Juge, et
l’importune et l’importunera jusqu’à ce qu’elle ait gain de cause, jusqu’à ce que justice soit rendue...
Si
vraiment le Message est de Dieu,
si la Cause de la Grande Croix Glorieuse est de Dieu - c’est “au préposé” à l’affaire c’est au Juge
d’y voir ! - alors c’est à Dieu
qu’il s agirait de rendre justice !...
Et avant tout jugement, il n’est rien de plus
juste et de plus facile que :
a) - de rendre justice à Madeleine, “la première en cause”
Oui ou non, la “voyante et prophète” Madeleine
est-elle une saine et équilibrée ? est-elle une illuminée ? une
fourbe ? Elle est en droit d’être
interrogée par qui de droit. Et elle ne sera jamais importunée quand ce
sera par qui de droit...
Et rien de plus juste, et de plus facile aussi
pour des “ayant-grâce dogmatique”, que :
b) - de
rendre justice au texte du Message tel que rédigé par Madeleine
elle-même !
Oui ou non, le texte et récit de cette
“expérience religieuse” de Madeleine, respirent-ils la simplicité de
Madeleine ? la simplicité de l’Évangile ?
Sont-ils de vaines paroles, du vent ? Ou,
sont-ils Vent de l’Esprit-Saint ? Et cela :
- à en juger par leur contenu, par leur contenu évangélique, apocalyptique,
prophétique, auquel Madeleine était bien étrangère ;
- et à en juger aussi par... le contenu latin, cette langue étrangère à
Madeleine... ?
- à en juger aussi et encore par tout un contenu
de “signes” de sincérité et de véracité que tout juge droit et impartial ne manquera pas de relever avant de porter
un jugement qui rende justice à
l’Événement Message et à... la Cause de
Dozulé !
Chers pèlerins, fidèles de la Croix Glorieuse et
de Sa Cause, bénissons l’évangile du Dimanche missionnaire 22 Octobre 1989. Au
nom même de cet évangile, et donc de Jésus Lui-même, n’ayons pas peur ! (“Nolite timere” 14ème app.) n’ayons pas peur, si nous L’importunons
sur l’affaire, sur la Cause de Dozulé, LUI le Souverain Juge de cette
Cause ! De ma part de telles redites ne sont pas inutiles ; elles
sont dans la note de l’Évangile quand il s’agit de plaider une si juste
cause ! Et n’ayons pas peur si, au nom même de cet Evangile, nous importunons
un Juge de la terre, un Juge de l’Église jusqu’à ce que justice soit rendue par
l’Église au Message de Dozulé, si ce Message, aux yeux du Souverain Juge, est… une juste Cause !
Chers pèlerins, vraiment en prenant la plume pour
votre 4ème Jour de la neuvaine, je n’avais point l’idée de m’étendre
sur une seule idée : la Cause de
Dozulé, et avec une telle ténacité... J’avais idée d’une quantité de textes
et de citations qui devaient faire l’objet de mes menus propos... Elles sont
partie remise !
...En dernière heure, une information du journal
“Ouest-France” de ce lundi 23 Octobre ne peut être remise à plus tard,
tellement, dès aujourd’hui, elle a sa place ici, en conclusion, pour nous convaincre de l’extrême urgence de la
Grande Croix du Message... pour le Salut de l’Église elle-même.
Jugez-en vous-mêmes rien que par les titres et
sous-titres de l’article de page 6 du journal :
“Deux mille contestataires à Paris”
rassemblés à l'appel de l’hebdomadaire “Témoignage Chrétien”, et
particulièrement sous l’égide du Père Paul Valadier, S.J., ancien directeur de
la revue “Etudes”…Ils disent sur tous les tons : Pas assez de dialogue
dans l’Église. L’Église fait preuve “d’autoritarisme”, “ne colle pas à son
temps”. L’Église ne doit pas être une secte enfermée dans une arche de Salut en
regardant le monde avec hostilité… Nous pouvons aimer le Pape Jean-Paul II mais
nous ne sommes pas obligés d’avoir ses tics…Nous en avons ras-le-bol… Êtes-vous
sûrs que Jésus-Christ a demandé à ses disciples de tirer la langue lorsqu’il
leur a donné la communion ?”
Et surtout ces 2000 contestataires, ces
soi-disant “témoins chrétiens” se disent choqués par l’attitude de l’Église à propos de la pilule abortive, du film “La
Tentation du Christ”… etc. etc...
Chers pèlerins de la Croix Glorieuse, si je me
suis permis de faire état devant vous de telles insanités et impiétés, c’est
pour mieux nous mobiliser tous sous l’étendard de la Grande Croix Glorieuse afin qu’au plus tôt “justice Lui soit
rendue”, et que par Elle “la foi vraie et vive” soit rendue à... la Fille aînée de l’Église !
Aux
grands maux les grands remèdes !
La
GRANDE CROIX GLORIEUSE ne serait-elle pas le grand remède ?
VINGT-NEUVIÈME DIMANCHE
DU TEMPS ORDINAIRE
ANTIENNE D’OUVERTURE (ps 16, 6-8)
Je t’appelle mon Dieu, car tu peux
me répondre ;
écoute-moi ! Entends ce que je
dis.
Garde-moi comme la prunelle de
l’œil ;
sois mon abri,
protège-moi.
Prière :
Dieu éternel et
tout-puissant, fais-nous toujours vouloir ce que tu veux et servir ta gloire
d’un cœur sans partage. Par Jésus Christ.
1 - Lecture du livre de l’Exode (17, 8-13)
Le peuple d’Israël marchait à travers le désert.
Les Amalécites survinrent et l’attaquèrent à Réphidim. Moïse dit alors à Josué « Choisis des hommes, et va combattre
les Amalécites. Moi, demain, je me tiendrai sur le sommet de la colline, le
bâton de Dieu à la main. » Josué fit ce que Moïse lui avait dit :
il livra bataille aux Amalécites. Moïse, Aaron et Hour étaient montés au sommet
de la colline. Quand Moïse tenait la
main levée, Israël était le plus fort. Quand il la laissait retomber,
Amalec était le plus fort. Mais les mains de Moïse s’alourdissaient ; on
prit une pierre, on la plaça derrière lui, et il s’assit dessus. Aaron et Hour
lui soutenaient les mains, l’un d’un côté, l’autre de l’autre. Ainsi les mains
de Moïse demeurèrent levées jusqu’au coucher du soleil. Et Josué triompha des
Amalécites au tranchant de l’épée.
Psaume 120 Jésus Christ, notre amour, notre frère.
Je lève les
yeux vers les montagnes :
d’où le secours me
viendra-t-il ?
Le secours me vient du Seigneur
qui a fait le ciel et la terre.
Qu’il empêche
ton pied de glisser,
qu’il ne dorme pas, celui qui te
garde !
Mais il n’a pas sommeil, il ne dort
pas,
le gardien d’Israël
C’est le
Seigneur qui te protège,
il demeure à ton côté.
Le soleil, durant le jour, ne te
fera aucun mal,
ni la lune pendant la nuit.
Le Seigneur te
gardera de tout malheur,
te gardera sain et sauf ;
le Seigneur garde ta route, du
départ à l’arrivée,
maintenant et toujours.
2 - Lecture de la seconde lettre de saint Paul Apôtre à
Timothée :
Fils bien-aimé, tu dois en rester à ce qu’on t’a
enseigné ; tu l’as reconnu comme vrai, sachant bien quels sont les maîtres
qui te l’ont enseigné. Depuis ton plus jeune âge, tu connais les textes sacrés,
ils ont le pouvoir de te communiquer la sagesse, celle qui conduit au salut par
la foi que nous avons en Jésus Christ. Tous les passages de l’Écriture sont
inspirés par Dieu ; celle-ci est utile pour enseigner, dénoncer le mal,
redresser, éduquer dans la justice ; grâce à elle, l’homme de Dieu sera
bien armé, il sera pourvu de tout ce qu’il faut pour un bon travail.
Devant Dieu, et devant le Christ Jésus qui doit
juger les vivants et les morts, je te le demande solennellement, au nom de sa
manifestation et de son Règne proclame la Parole, interviens à temps et à
contre-temps, dénonce le mal, fais des reproches, encourage, mais avec une
grande patience et avec le souci d’instruire.
Alléluia.
Alléluia. Elle est vivante la
parole de Dieu ; elle agit avec puissance, et pénètre les pensées de notre
cœur. Alléluia.
Évangile de Jésus Christ selon saint Luc (18, 1-8)
Jésus
dit une parabole pour montrer à
ses disciples qu’il faut toujours prier
sans se décourager : « Il y avait dans une ville un juge qui ne
respectait pas Dieu et se moquait des hommes. Dans cette même ville, il y avait
une veuve qui venait lui demander : « Rends-moi justice contre mon
adversaire. » Longtemps il refusa ; puis il se dit : « Je
ne respecte pas Dieu, et je me moque des hommes, mais cette femme commence à
m’ennuyer, je vais lui rendre justice pour qu’elle ne vienne plus sans cesse me
casser la tête. »
Le
Seigneur ajouta : « Écoutez
bien ce que dit ce juge sans justice ! Dieu ne fera pas justice à ses
élus, qui crient vers lui jour et nuit ? Est-ce qu’il les fait
attendre ? Je vous le
déclare : sans tarder, il leur fera justice. Mais le Fils de l’homme,
quand il viendra, trouvera-t-il la foi sur terre ?
Prière sur les offrandes
Accorde-nous, Seigneur, de te servir à cet autel
en toute liberté d’esprit ; ainsi ta grâce pourra nous purifier dans le
mystère que nous célébrons. Par Jésus.
Antienne
de communion
Le Seigneur veille sur ceux qui
l’adorent,
sur ceux qui espèrent son amour,
pour les préserver de la mort,
les garder en vie aux jours de
famine.
Le Fils
de l’homme est venu pour servir et donner sa vie en rançon pour la multitude.
Prière
après la communion
Seigneur, fais-nous trouver des forces neuves
dans cette communion aux réalités du ciel ; assure-nous tes bienfaits
ici-bas et instruis-nous des richesses de ton Royaume. Par Jésus.
Religieusement Vôtre,
Père Constant DEROUARD (MSM)
III
IIIIIIIIIII
III
III
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III
http://trinite.1.free.fr/florileges.htm
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