témoignages de conversions : prières
exaucées :, Mercredi le 10 août 2016
Objet :
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témoignages de conversions : prières exaucées :
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De :
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Olivia Marcov (Olivia Marcov@yahoo.fr)
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À :
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Date :
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Mercredi 10 août 2016 13h52
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SYLVIE : «J’AI SU
QUE JE NE SERAIS PLUS JAMAIS SEULE»
Un jour,
Sylvie apprend que son père n'est pas son père. Jusqu'au
jour où elle l'a rencontré, et où sa vie a basculé.
“J’ai été
baptisée à l’âge de 3 mois et demi. Mais peu de
temps après, mes parents sont rentrés au Parti communiste et leur foi s’est
éteinte. Je n’ai donc reçu aucune éducation religieuse. À 33 ans, j’ai appris que le père qui m’avait élevée
n’était pas mon vrai père. J’ai donc cherché à rencontrer celui qui m’avait
conçue et cela a pu se réaliser facilement. C’était un
homme marié, déjà père de neuf enfants quand je suis venue au monde…
Dix ans après
notre première rencontre, en 1986, il m’a invitée à une session du renouveau
charismatique à Ars et j’ai accepté. J’étais
curieuse et ouverte, et je lui faisais confiance. Pendant cette session, une
personne m’a attirée comme un aimant : la Vierge Marie. J’ai assisté à tous les carrefours la
concernant. Le dernier jour de la session, à la fin de la dernière messe, je
suis tombée à genoux, en larmes, saisie par l’amour de Dieu. J’ai prononcé ce mot « pardon » et j’ai eu simultanément
l’intuition du salut et de la miséricorde de Dieu pour moi dans ce petit mot.
Je n’ai pas
hésité une seconde à ouvrir mon cœur : j’ai compris que cette rencontre
changerait tout et rien à la fois. Dieu me
prenait telle que j’étais, avec toutes mes pauvretés, et en même temps, j’ai su
instantanément qu’il m’aimait inconditionnellement, et que je ne serais plus
jamais seule.
«Sylvie, va prier !»
J’ai poursuivi mon chemin comme j’ai pu,
avec des hauts et des bas. Un jour, mon père, qui
passait à Paris, m’a offert une icône qu’il avait faite, «Marie, porte du
ciel». Peu après, j’ai trouvé un chapelet par
terre. Il me plaisait beaucoup, car il était multicolore, pas comme les
chapelets ennuyeux que j’avais vus jusqu’ici. C’était le chapelet que j’avais
demandé dans ma prière ! Mais je ne savais pas le prier. Puis j’ai traversé une période pendant laquelle j’étais
très malheureuse. Un jour, j’ai entendu
intérieurement : «Sylvie, va prier», avec
insistance. Je
me suis rendue à la chapelle de la rue du Bac. Au
moment où j’arrivais, la prière du chapelet commençait. C’est ainsi que j’ai
appris le chapelet, et cette prière m’a accompagnée jusqu’à aujourd’hui.
Tout reconstruire
Le 8 décembre 1987, des amis de mon père
m’ont parlé d’un groupe de prière qui se réunissait toutes les semaines dans
une grande église de Paris. J’y suis allée et j’y suis restée très fidèle. Au
bout de quelque temps, on m’a proposé d’intégrer une communauté nouvelle, et
tout de suite, j’ai été accompagnée par une consacrée qui m’a suivie jusqu’à sa
mort, pendant vingt-quatre ans. Elle a été pour moi une mère spirituelle.
J’étais démolie intérieurement : tout en moi était à reconstruire. En effet, ma mère n’avait jamais été tendre avec moi. De plus, elle était jalouse
du bonheur de ses proches.
Quand je me
suis convertie, on m’a conseillé dans un premier temps de ne pas en parler
autour de moi. Mais quelques mois après,
j’ai fini par le dire. J’étais très fière : être aimée de Dieu et l’aimer, c’était pour moi
tellement merveilleux ! Mes amis avaient d’ailleurs perçu mon changement. Non
croyants, ils convenaient que ma conversion m’avait transformée, ils me
trouvaient rayonnante. Au travail aussi, mes collègues avaient vu que j’étais
plus paisible, plus heureuse. Ils me posaient beaucoup de questions. Ma relation
avec les malades était transformée. Infirmière en réanimation, je voyais
désormais le Christ en chacun d’eux. C’était pour moi un bonheur immense d’être
à ses côtés. En parallèle, j’ai fait régulièrement des missions médicales
d’urgence pendant vingt-sept ans. Dans ce contexte, j’ai eu souvent l’occasion
de témoigner de ma rencontre avec Dieu : je voyais les personnes dans un court laps de temps.
Les gens étaient à l’écoute, très intéressés.
Je peux dire
que ma conversion a donné un sens à ma vie tout entière. Dieu m’a fait renaître et a définitivement planté en mon
âme une confiance inusable en son amour, avec la certitude que chaque seconde
de ma vie est entre ses mains.
Sylvie" »
Source : une-solution-existe.com
http://une-solution-existe.com/sylvie-%E2%80%AFjai-su-que-je-ne-serais-plus-jamais-seule%E2%80%AF/
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Un jour, Sylvie apprend que son père n'est pas son père. Jusqu'au jour où
elle l'a rencontré, et où sa vie a basculé.
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olivia
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