Tr
: salut! Avenue de la Roumanie au centre-ville de Constantine:, 1 mars/martie
2016-03-01
Objet :
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Tr : salut! Avenue de la Roumanie au centre-ville de Constantine:
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De :
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Olivia Marcov (...)
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À :
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..........
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Date
:
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Lundi 29 février 2016 18h46
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olivia
Le Lundi 29 février
2016 18h40, Olivia Marcov <...> a écrit :
Salut, et Bonsoir à tous, Buna seara tuturor !
Je regarde le site www.constantine-hier-auhourdhui.fr et
j'ai vu qu'ils ont changé le nom des rues, j'ai trouvé le quartier - le nôtre des années '72
-'76, Bellevue, - mais je ne suis pas sûre si je vois notre rue, je
me souviens de ce que notre rue, la rue où se trouvait notre bloc ( immeuble )
était en fait dans une impasse, depuis la route "principale", une
petite rue descendait, comme dans une vallée, au "bout" de cette rue
qui conduisait dans cette vallée ( il s'agissait de quelques mètres seulement )
se trouvait le bâtiment dans lequel nous habitions.
En fait sur la carte ( ou le plan )
blanc/noir je vois une rue qui descend dans une petite vallée et qui conduit à
des bâtiments ;
je regarde aussi si les bâtiments
se situent face à face.
Car dans le bâtiment en face
du nôtre habitaient "les Tomus", la famille Emile et Geta TOMUS [
Tomouche ] et leurs deux enfants George ( ou Tzoukou ) et Mihaela ( ou Tzoutzi
).
Bellevue et Bardo • • • Cliquez sur les symboles bleus du
plan retour aux quartiers
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De chez nous, la route principale
conduisait, menait - dans un sens - chez la famille Craciunas ( Maria et Silviu
) - et - dans l'autre sens, le sens opposé - aux immeubles groupés, aux
blocs où habitaient plusieurs familles de Roumains, qu'on appelait "les
blocs de Roumains", dans l'après-midi, ou le soir nous
"descendions" mes parents et moi vers les blocs de Roumains, et ici
nous trouvions les Roumains dehors, en train de parler, bavarder, discuter, et
les enfants de mon âge en train de jouer ensemble et je les rejoignais.
Notre adresse était Sonnatiba Bellevue bâtiment A 1, mais quel était
exactement le nom de la rue ?
De toute manière il me semble
qu'ils ont changé le nom des rues, mais ils ont gardé le nom des quartiers, par
exemple, les Roumains habitaient aussi dans un quartier plus ancien de Constantine,
le quartier Sidi Mabrouk, que
je retrouve à présent sur le site susdit.
Au centre-ville sur la droite, sur
la carte on voit L'AVENUE DE LA ROUMANIE.
Extrait d'un article paru dans le Soir d'Algérie.com du 29 octobre 2005
Entre la mystique des Aïssaoua et les vieilles pierres Par Boubakeur
Hamidechi
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Dans l'arrondissement du Koudiat (
Coudiat ) les rues ont d'autres noms, c'est ici que je cherche la place de la
Pyramide qui menait à l'Eglise Sacre-Coeur derrière laquelle se trouvait le
Pensionnat de la Doctrine Chrétienne.
Mon père se rendait à la faculté
des Sciences, parce qu'il enseignait les mathématiques aux étudiants.
Madame Ileana SERBAN était
chimiste, prof de chimie l'Université des Sciences, la famille Craciunas
- Maria et Silviu - enseignai(en)t l'informatique à la même université.
Ma mère ne travaillait pas à
Constantine, à l'exception de quelques mois quand elle a travaillé parce
qu'elle a voulu.
A ce moment-là elle a connu une
Algérienne, une collègue qui s'appelait Ghuermia, elle était gentille et une
fois nous sommes allés en visite chez Ghuermia qui habitait avec ses parents et
son frère.
Nous avons mangé du couscous, plat
algérien, je crois, et avant de la quitter, de partir de chez elle, elle
a offert à maman une petite bouteille de parfum dont l'odeur était si agréable
!
Maman n'aimait pas le parfum, car
elle était souffrante d'une diskinésie biliaire et elle avait souvent la
nausée, mais en Algérie elle a aimé quand même le parfum "Coty", le
seul parfum qu'elle ait jamais utilisé.
Le parfum de Ghuermia était
excellent mais maman l'utilisait uniquement pour en asperger les oreillers,
même à Bucarest, après notre retour de l'Algerie en 1976, ceci lorsque nous
avions chez nous de la famille ( par exemple une fois la cousine de mon père,
de Brasov, est venue à Bucarest et elle a dormi, couché chez nous )
Mais, maman n'avait pas un contrat
de travail depuis la Roumanie, comme tous les autres professeurs ou docteurs
roumains qui travaillaient en Algérie, cependant elle a trouvé du travail,
ensuite elle a renoncé.
Maman était dessinatrice, elle
connaissait le dessin technique.
Et en ce moment je me souviens
d'Anne Marie Scotto en 1991 chez elle à Enghien les bains, un jour elle m'a dit
: "Tu parles tout le temps de ta maman !..."
Je vais continuer à explorer la
site Constantine Hier Aujourd'hui.....
olivia
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