Coeurs Unis de
Jésus Marie + Espoir et Salut de Notre France Catholique ( page Facebook ), le
4 juillet 2016
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Loi du 10 Février 1638 - Vœu de Louis
XIII - Notre-Dame de Grâces
Le 10 août 1519, un bûcheron, Jean de la Baume, gravit le mont Verdaille. Il commença sa journée par une prière, avant de se mettre au travail ; à peine s'était-il relevé qu'une nuée lui apparut, découvrant la Vierge Marie avec l'Enfant Jésus dans les bras, qu'entouraient Saint Bernard de Clairvaux et l'Archange Saint Michel. Notre Dame était debout, les pieds sur un croissant de lune. Elle s'adressa à Jean en ces termes :
« Je suis la Vierge Marie. Allez dire au clergé et aux consuls de Cotignac de me bâtir ici même une église, sous le vocable de Notre-Dame de Grâces ; et qu'on y vienne en procession, pour recevoir les dons que je veux y répandre. »
Et la vision disparut. Jean garda pour lui le message, ce qui lui valut la même vision et la même demande, le lendemain 11 août, au même endroit où il était revenu pour achever sa coupe de bois. Cette deuxième vision le décida à descendre au village sans attendre, pour transmettre la demande de Notre Dame. Tout de suite, la population comme les édiles, jouissant d'une foi catholique très vive, accordèrent crédit au message céleste transmis par le pieux et sérieux bûcheron, et décidèrent d'élever une petite chapelle à l'endroit des apparitions.
Après une grande procession de toute la paroisse, clergé et syndics en tête, au mont Verdaille, les travaux de construction commencèrent et, le 14 septembre 1519, jour de la fête de l'Exaltation de la Sainte Croix, les bâtisseurs, « commençant les fondations de cette église, trouvèrent en terre grande quantité d'ossements, des clous, des ferrailles, des boîtes d'ivoire et une boule de beau cristal, ce qui leur fit croire qu'il y avait là des martyrs enterrés » (rapport de l'an 1665).
L'approbation ecclésiastique ne se fit pas attendre : dès le 17 mars 1521, le pape Léon X, par un décret aujourd'hui perdu, accordait une série de privilèges à ce nouveau sanctuaire marial provençal. L'affluence des pèlerins à Cotignac fut tout de suite importante, et ne se démentit pas durant deux siècles et demi, jusqu'à la révolution de 1789. Les grâces obtenues des mains de Marie par les pèlerins furent extrêmement nombreuses, et le village de Cotignac lui-même fut constamment préservé de la peste, même en la terrible année 1720 où cette maladie fit de terribles ravages en Provence.
En 1692, un pèlerin notait que le sanctuaire regorgeait de « monuments particuliers » (il désigne ici de toute évidence des ex-voto) pour les « maladies guéries, les morts et naufrages évités … et une infinité d'autres bienfaits obtenus. »
Parmi cette multitude de grâces, la plus retentissante fut accordée au roi Louis XIII et à la reine Anne d'Autriche et, en leurs personnes, à toute la France : ce fut la naissance d'un héritier pour la Couronne de France. Le roi et la reine, qui s'étaient mariés en 1615, n'avaient toujours pas d'enfant en 1637 ; alors intervint directement Notre-Dame de Grâces.
Le 27 octobre 1637, tandis qu'il était en prière, le Frère Fiacre, augustin déchaussé de Paris, eut une soudaine révélation intérieure : la reine devait demander publiquement qu'on fît en son nom trois neuvaines de prières à la Sainte Vierge, et un fils lui serait donné : la première neuvaine à Notre-Dame de Grâces en Provence, la seconde à Notre Dame de Paris, la cathédrale, et la troisième à Notre Dame des Victoires, l'église de son couvent. Mais les supérieurs du Frère furent sceptiques et lui interdirent d'en parler, à moins d'apporter une preuve irréfutable.
Six jours plus tard, le 3 novembre à deux heures du matin, le Frère Fiacre, dans sa cellule, fut tiré de sa prière par des cris d'enfant, et se retrouva en face de la Vierge Marie qui lui montra dans ses bras un enfant vagissant, en lui disant :
« N'ayez pas peur, je suis la Mère de Dieu et l'enfant que vous voyez est le Dauphin que Dieu veut donner à la France. »
Et la vision disparut, puis se manifesta à nouveau un court moment, en silence. Deux heures plus tard, Notre Dame apparut seule et dit :
« Ne doutez plus, mon enfant, de ce que vous avez déclaré à votre confesseur. Pour marquer que je veux que l'on avertisse la reine de faire trois neuvaines en mon honneur, voilà la même image qui est à Notre-Dame de Grâces de Provence, et la façon de l'église. »
Et Frère Fiacre vit avec précision le tableau ainsi que le chœur de l'église du sanctuaire ; il en informa immédiatement ses supérieurs qui, comme lui, ne s'étaient jamais rendu à Cotignac. On consulta des amis qui avaient fait le pèlerinage : les descriptions concordaient parfaitement.
Informée très rapidement, la reine se mit à croire en la réalisation de ces promesses du Ciel transmises par le Frère Fiacre qui commença les trois neuvaines le 8 novembre 1637, et les acheva le 5 décembre, soit neuf mois exactement avant la naissance du futur Louis XIV, que ses parents prénommèrent « Louis Dieudonné » (c'est-à-dire « donné par Dieu »), et qui vint au monde le 5 septembre 1638. Louis XIII lui-même reconnut la puissante intercession de la Reine des Cieux dans la naissance de son fils, et n'hésita pas à écrire, dans sa lettre aux ambassadeurs annonçant l'heureux événement :
« Tout ce qui a précédé la délivrance de la reine, le peu de durée de son travail et toutes les circonstances de la naissance du Dauphin font voir que ce fils lui est donné de Dieu par la puissante intercession de la Sainte Vierge. »
Cette grâce insigne accordée au couple royal est l'une des causes du « Vœux de Louis XIII », signé par le roi le 10 février 1638 puis enregistré comme loi, et qui consacrait la France à la Sainte Vierge. C'est ce Vœu que nous renouvelons chaque année le 15 août, en la fête de l'Assomption.
Louis XIV et sa mère Anne d'Autriche vinrent en personne en pèlerinage d'action de grâces à Cotignac le 21 février 1660, et le roi offrit alors au sanctuaire sa bague en or et un long cordon de moire bleue céleste que portaient les membres du prestigieux ordre de chevalerie du Saint Esprit dont le roi était le Grand Maître.
Et en 1667, un an après la mort d'Anne d'Autriche, Louis XIV fit apposer une plaque dans l'église du sanctuaire de Cotignac, en mémoire de sa mère, rappelant qu'il fut « donné à son peuple par les vœux qu'Anne d'Autriche, reine de France, sa mère, fit dans cette église ». Cette plaque se trouve encore actuellement dans le sanctuaire Notre-Dame de Grâces.
Abbé Fabrice Delestre #FSSPX
Le 10 août 1519, un bûcheron, Jean de la Baume, gravit le mont Verdaille. Il commença sa journée par une prière, avant de se mettre au travail ; à peine s'était-il relevé qu'une nuée lui apparut, découvrant la Vierge Marie avec l'Enfant Jésus dans les bras, qu'entouraient Saint Bernard de Clairvaux et l'Archange Saint Michel. Notre Dame était debout, les pieds sur un croissant de lune. Elle s'adressa à Jean en ces termes :
« Je suis la Vierge Marie. Allez dire au clergé et aux consuls de Cotignac de me bâtir ici même une église, sous le vocable de Notre-Dame de Grâces ; et qu'on y vienne en procession, pour recevoir les dons que je veux y répandre. »
Et la vision disparut. Jean garda pour lui le message, ce qui lui valut la même vision et la même demande, le lendemain 11 août, au même endroit où il était revenu pour achever sa coupe de bois. Cette deuxième vision le décida à descendre au village sans attendre, pour transmettre la demande de Notre Dame. Tout de suite, la population comme les édiles, jouissant d'une foi catholique très vive, accordèrent crédit au message céleste transmis par le pieux et sérieux bûcheron, et décidèrent d'élever une petite chapelle à l'endroit des apparitions.
Après une grande procession de toute la paroisse, clergé et syndics en tête, au mont Verdaille, les travaux de construction commencèrent et, le 14 septembre 1519, jour de la fête de l'Exaltation de la Sainte Croix, les bâtisseurs, « commençant les fondations de cette église, trouvèrent en terre grande quantité d'ossements, des clous, des ferrailles, des boîtes d'ivoire et une boule de beau cristal, ce qui leur fit croire qu'il y avait là des martyrs enterrés » (rapport de l'an 1665).
L'approbation ecclésiastique ne se fit pas attendre : dès le 17 mars 1521, le pape Léon X, par un décret aujourd'hui perdu, accordait une série de privilèges à ce nouveau sanctuaire marial provençal. L'affluence des pèlerins à Cotignac fut tout de suite importante, et ne se démentit pas durant deux siècles et demi, jusqu'à la révolution de 1789. Les grâces obtenues des mains de Marie par les pèlerins furent extrêmement nombreuses, et le village de Cotignac lui-même fut constamment préservé de la peste, même en la terrible année 1720 où cette maladie fit de terribles ravages en Provence.
En 1692, un pèlerin notait que le sanctuaire regorgeait de « monuments particuliers » (il désigne ici de toute évidence des ex-voto) pour les « maladies guéries, les morts et naufrages évités … et une infinité d'autres bienfaits obtenus. »
Parmi cette multitude de grâces, la plus retentissante fut accordée au roi Louis XIII et à la reine Anne d'Autriche et, en leurs personnes, à toute la France : ce fut la naissance d'un héritier pour la Couronne de France. Le roi et la reine, qui s'étaient mariés en 1615, n'avaient toujours pas d'enfant en 1637 ; alors intervint directement Notre-Dame de Grâces.
Le 27 octobre 1637, tandis qu'il était en prière, le Frère Fiacre, augustin déchaussé de Paris, eut une soudaine révélation intérieure : la reine devait demander publiquement qu'on fît en son nom trois neuvaines de prières à la Sainte Vierge, et un fils lui serait donné : la première neuvaine à Notre-Dame de Grâces en Provence, la seconde à Notre Dame de Paris, la cathédrale, et la troisième à Notre Dame des Victoires, l'église de son couvent. Mais les supérieurs du Frère furent sceptiques et lui interdirent d'en parler, à moins d'apporter une preuve irréfutable.
Six jours plus tard, le 3 novembre à deux heures du matin, le Frère Fiacre, dans sa cellule, fut tiré de sa prière par des cris d'enfant, et se retrouva en face de la Vierge Marie qui lui montra dans ses bras un enfant vagissant, en lui disant :
« N'ayez pas peur, je suis la Mère de Dieu et l'enfant que vous voyez est le Dauphin que Dieu veut donner à la France. »
Et la vision disparut, puis se manifesta à nouveau un court moment, en silence. Deux heures plus tard, Notre Dame apparut seule et dit :
« Ne doutez plus, mon enfant, de ce que vous avez déclaré à votre confesseur. Pour marquer que je veux que l'on avertisse la reine de faire trois neuvaines en mon honneur, voilà la même image qui est à Notre-Dame de Grâces de Provence, et la façon de l'église. »
Et Frère Fiacre vit avec précision le tableau ainsi que le chœur de l'église du sanctuaire ; il en informa immédiatement ses supérieurs qui, comme lui, ne s'étaient jamais rendu à Cotignac. On consulta des amis qui avaient fait le pèlerinage : les descriptions concordaient parfaitement.
Informée très rapidement, la reine se mit à croire en la réalisation de ces promesses du Ciel transmises par le Frère Fiacre qui commença les trois neuvaines le 8 novembre 1637, et les acheva le 5 décembre, soit neuf mois exactement avant la naissance du futur Louis XIV, que ses parents prénommèrent « Louis Dieudonné » (c'est-à-dire « donné par Dieu »), et qui vint au monde le 5 septembre 1638. Louis XIII lui-même reconnut la puissante intercession de la Reine des Cieux dans la naissance de son fils, et n'hésita pas à écrire, dans sa lettre aux ambassadeurs annonçant l'heureux événement :
« Tout ce qui a précédé la délivrance de la reine, le peu de durée de son travail et toutes les circonstances de la naissance du Dauphin font voir que ce fils lui est donné de Dieu par la puissante intercession de la Sainte Vierge. »
Cette grâce insigne accordée au couple royal est l'une des causes du « Vœux de Louis XIII », signé par le roi le 10 février 1638 puis enregistré comme loi, et qui consacrait la France à la Sainte Vierge. C'est ce Vœu que nous renouvelons chaque année le 15 août, en la fête de l'Assomption.
Louis XIV et sa mère Anne d'Autriche vinrent en personne en pèlerinage d'action de grâces à Cotignac le 21 février 1660, et le roi offrit alors au sanctuaire sa bague en or et un long cordon de moire bleue céleste que portaient les membres du prestigieux ordre de chevalerie du Saint Esprit dont le roi était le Grand Maître.
Et en 1667, un an après la mort d'Anne d'Autriche, Louis XIV fit apposer une plaque dans l'église du sanctuaire de Cotignac, en mémoire de sa mère, rappelant qu'il fut « donné à son peuple par les vœux qu'Anne d'Autriche, reine de France, sa mère, fit dans cette église ». Cette plaque se trouve encore actuellement dans le sanctuaire Notre-Dame de Grâces.
Abbé Fabrice Delestre #FSSPX
*
O
Dieu, qui, par le moyen de saint Jean de Matha, avez daigné établir
miraculeusement l’Ordre de La Très Sainte Trinité pour racheter les captifs du
pouvoir des Sarrasins, Faites, nous Vous en supplions, que par les suffrages de
ses mérites et le secours de Votre Grâce, nous soyons délivrés de la captivité
du corps et de l’âme.
Evangile selon saint Luc XII, 35-40. Que vos reins soient ceints, et vos
lampes allumées dans vos mains. Et vous, soyez semblables à des hommes qui
attendent que leur maître revienne des noces, afin que, lorsqu’il arrivera et
frappera, ils lui ouvrent aussitôt. Heureux ces serviteurs que le maître, à son
arrivée, trouvera veillant ; en vérité, je vous le dis, il se ceindra, les fera
asseoir à table, et passant devant eux, il les servira. Et, s’il vient à la
seconde veille, s’il vient à la troisième veille, et qu’il les trouve en cet
état, heureux sont ces serviteurs ! Or, sachez que, si le père de famille
savait à quelle heure le voleur doit venir, il veillerait certainement, et ne
laisserait pas percer sa maison. Vous aussi, soyez prêts ; car, à l’heure que
vous ne pensez pas, le Fils de l’homme viendra.
Martyrologe
Saint Jean de Matha, prêtre et confesseur. Il fonda l'Ordre de la très
sainte Trinité pour le rachat des captifs et s'endormit dans le Seigneur le 16
des calendes de janvier (17 décembre).
A Somasque, au territoire de Bergame, l'anniversaire de saint Jérôme Emilien confesseur, fondateur de la Congrégation des Somasques. Il se rendit célèbre par de nombreux miracles opérés pendant sa vie et après sa mort. Le souverain pontife Clément XIII l'a inscrit au catalogue des saints, et le pape Pie XI l'a élu et proclamé patron auprès de Dieu de tous les orphelins et enfants abandonnés. Sa fête se célèbre le 13 des calendes d'août (20 juillet).
A Rome, les saints martyrs Paul, Lucius et Cyriaque.
Dans la Petite Arménie, la passion des saints martyrs Denis, Emilien et Sébastien.
A Constantinople, l'anniversaire des saints martyrs, moines du monastère de Die. Comme ils portaient les lettres du pape saint Félix III contre Acace, ils furent cruellement massacrés pour la défense de la foi catholique.
En Perse, la commémoraison des saints martyrs qui, sous Cabade roi de ce pays, furent mis à mort par divers genres de supplices, en haine de la Foi en Notre Seigneur Jésus Christ-Roi des rois.
A Alexandrie, la passion de sainte Cointe martyre. Les païens l'ayant arrêtée sous l'empereur Dèce, l'amenèrent devant les idoles, et voulurent la contraindre à les adorer; elle s'y refusa en les maudissant; ils lui attachèrent alors les pieds avec des liens, la trainèrent ainsi à travers les places de la cité et la mirent en pièces par cet horrible supplice.
A Pavie, saint Juvence, évêque, qui travailla courageusement à la prédication de l'évangile.
A Milan, la mise au tombeau de saint Honorat, évêque et confesseur.
A Verdun, en France, saint Paul évêque, célèbre par le don des miracles.
A Muret, en Limousin, l'anniversaire de saint Étienne abbé, fondateur de l'Ordre de Grandmont : ses vertus et ses miracles l'ont rendu célèbre.
Au monastère de Vallombreuse, le Bienheureux Pierre, cardinal et évêque d'Albano, de l'Ordre de Vallombreuse. Il a reçu le surnom d'Igné parce qu'il passa à travers le feu sans en recevoir aucune atteinte.
A Somasque, au territoire de Bergame, l'anniversaire de saint Jérôme Emilien confesseur, fondateur de la Congrégation des Somasques. Il se rendit célèbre par de nombreux miracles opérés pendant sa vie et après sa mort. Le souverain pontife Clément XIII l'a inscrit au catalogue des saints, et le pape Pie XI l'a élu et proclamé patron auprès de Dieu de tous les orphelins et enfants abandonnés. Sa fête se célèbre le 13 des calendes d'août (20 juillet).
A Rome, les saints martyrs Paul, Lucius et Cyriaque.
Dans la Petite Arménie, la passion des saints martyrs Denis, Emilien et Sébastien.
A Constantinople, l'anniversaire des saints martyrs, moines du monastère de Die. Comme ils portaient les lettres du pape saint Félix III contre Acace, ils furent cruellement massacrés pour la défense de la foi catholique.
En Perse, la commémoraison des saints martyrs qui, sous Cabade roi de ce pays, furent mis à mort par divers genres de supplices, en haine de la Foi en Notre Seigneur Jésus Christ-Roi des rois.
A Alexandrie, la passion de sainte Cointe martyre. Les païens l'ayant arrêtée sous l'empereur Dèce, l'amenèrent devant les idoles, et voulurent la contraindre à les adorer; elle s'y refusa en les maudissant; ils lui attachèrent alors les pieds avec des liens, la trainèrent ainsi à travers les places de la cité et la mirent en pièces par cet horrible supplice.
A Pavie, saint Juvence, évêque, qui travailla courageusement à la prédication de l'évangile.
A Milan, la mise au tombeau de saint Honorat, évêque et confesseur.
A Verdun, en France, saint Paul évêque, célèbre par le don des miracles.
A Muret, en Limousin, l'anniversaire de saint Étienne abbé, fondateur de l'Ordre de Grandmont : ses vertus et ses miracles l'ont rendu célèbre.
Au monastère de Vallombreuse, le Bienheureux Pierre, cardinal et évêque d'Albano, de l'Ordre de Vallombreuse. Il a reçu le surnom d'Igné parce qu'il passa à travers le feu sans en recevoir aucune atteinte.
Coeurs Unis de Jésus Marie + Espoir
et Salut de Notre France CatholiqueIac. I, 12. Beátus vir, qui suffert tentatiónem :
quóniam, cum probátus fúerit, accípiet corónam vitæ.
V/. Heureux l’homme qui souffre patiemment l’épreuve, car lorsqu’il aura été éprouvé, il recevra la couronne de vie.
Psaume LXXXVIII, 25.
Véritas mea et Misericórdia mea cum ipso ET in Nómine Meo exaltábitur cornu eius.
Ma Vérité et ma Miséricorde seront avec lui et par Mon Saint Nom s’élèvera sa puissance.
V/. Heureux l’homme qui souffre patiemment l’épreuve, car lorsqu’il aura été éprouvé, il recevra la couronne de vie.
Psaume LXXXVIII, 25.
Véritas mea et Misericórdia mea cum ipso ET in Nómine Meo exaltábitur cornu eius.
Ma Vérité et ma Miséricorde seront avec lui et par Mon Saint Nom s’élèvera sa puissance.
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Coeurs Unis de Jésus Marie + Espoir et Salut de
Notre France Catholique added 3 new photos — feeling Confiant et Déterminé with Genevieve Montenon and 25 others at Coeurs Unis de Jésus et Marie, Espoir
ET Salut de Notre France.
Dieu,
Vous avez admirablement enflammé le bienheureux Jean Eudes, Votre Confesseur,
de Zèle à promouvoir dignement le culte des Sacrés-Cœurs de Jésus et de Marie,
et Vous avez voulu rassembler par lui dans Votre Église de nouvelles familles
religieuses : Accordez-nous, nous Vous en prions, de retirer un enseignement de
ses exemples après avoir rendu hommage à ses pieux mérites.
http://www.introibo.fr/19-08-St-Jean-Eudes-confesseur
http://www.introibo.fr/Commun-d-un-Confesseur-non-Pontife Messe Os Justi
La bouche du juste méditera La Sagesse et sa langue proférera l’Équité + La Loi de son Dieu est dans son cœur.
http://www.introibo.fr/Commun-d-un-Confesseur-non-Pontife Messe Os Justi
La bouche du juste méditera La Sagesse et sa langue proférera l’Équité + La Loi de son Dieu est dans son cœur.
Nous vous saluons, Cœur Très Saint,
Nous vous saluons, Cœur très doux,
Nous vous saluons, Cœur très humble,
Nous vous saluons, Cœur très pur,
Nous vous saluons, Cœur donné sans réserve,
Nous vous saluons, Cœur très sage,
Nous vous saluons, Cœur très patient,
Nous vous saluons, Cœur très obéissant,
Nous vous saluons, Cœur très vigilant,
Nous vous saluons, Cœur très fidèle,
Nous vous saluons, Cœur bienheureux,
Nous vous saluons, Cœur plein de miséricorde,
Nous vous saluons, Cœur très aimant de Jésus et de Marie,
Nous vous adorons,
Nous vous louons,
Nous vous glorifions,
Nous vous rendons grâce,
Nous vous aimons,
De tout notre cœur,
De toute notre âme,
De toutes nos forces,
Nous vous offrons notre cœur,
Nous vous le donnons,
Nous vous le consacrons,
Nous vous le sacrifions,
Recevez-le, possédez-le tout entier,
Purifiez-le,
Éclairez-le,
Sanctifiez-le,
En Lui, Vivez et Régnez, Maintenant, Toujours et À Jamais.
Nous vous saluons, Cœur très doux,
Nous vous saluons, Cœur très humble,
Nous vous saluons, Cœur très pur,
Nous vous saluons, Cœur donné sans réserve,
Nous vous saluons, Cœur très sage,
Nous vous saluons, Cœur très patient,
Nous vous saluons, Cœur très obéissant,
Nous vous saluons, Cœur très vigilant,
Nous vous saluons, Cœur très fidèle,
Nous vous saluons, Cœur bienheureux,
Nous vous saluons, Cœur plein de miséricorde,
Nous vous saluons, Cœur très aimant de Jésus et de Marie,
Nous vous adorons,
Nous vous louons,
Nous vous glorifions,
Nous vous rendons grâce,
Nous vous aimons,
De tout notre cœur,
De toute notre âme,
De toutes nos forces,
Nous vous offrons notre cœur,
Nous vous le donnons,
Nous vous le consacrons,
Nous vous le sacrifions,
Recevez-le, possédez-le tout entier,
Purifiez-le,
Éclairez-le,
Sanctifiez-le,
En Lui, Vivez et Régnez, Maintenant, Toujours et À Jamais.
Ainsi soit-il +
A Caen, en France, saint Jean Eudes confesseur, missionnaire apostolique.
Il fonda la Congrégation des prêtres de Jésus et de Marie, ainsi que l'Ordre
des moniales de Notre-Dame de Charité, et fut le promoteur du culte liturgique
des Sacrés Cœurs du Christ et de sa Mère. Il a été inscrit au catalogue des
saints par le pape Pie XI.
A Rome, saint Jules, sénateur et martyr. Livré au juge Vitellius qui le mit en prison, il fut, par ordre de l'empereur Commode, frappé à coups de bâton, jusqu'à ce qu'il rendit l'âme. Son corps fut inhumé dans le cimetière de Calépode, sur la voie Aurélienne.
A Anagni, saint Magne, évêque et martyr, mis à mort durant la persécution de Dèce.
En Cilicie, l'anniversaire de saint André tribun, et des soldats, ses compagnons. Après avoir, avec l'aide de Dieu, vaincu les Perses, ils se convertirent à la foi du Christ: accusés d'être chrétiens, ils furent, sous l'empereur Maximien, massacrés par l'armée du préfet Séleucus, dans les défilés montagneux du Taurus.
En Palestine, saint Timothée martyr. Durant la persécution de Dioclétien, sous le préfet Urbain, il endura de nombreux supplices, puis fut brûlé à petit feu.
Dans la même contrée, souffrirent aussi Thècle et Agape; la première, exposée aux bêtes et broyée sous leurs dents, s'en alla vers l'époux; le second endura de nombreux tourments et fut réservé pour de plus grands combats.
A Rome, saint Sixte III, pape et confesseur.
Dans la place forte de Brignoles, en Provence, la mise au tombeau de saint Louis, de l'Ordre des Frères Mineurs, évêque de Toulouse, célèbre par la sainteté de sa vie et ses miracles. Son corps, transporté de là à Marseille, fut enseveli avec honneur dans l'église des Frères Mineurs; dans la suite on le transféra à Valence en Espagne, pour le placer dans l'église cathédrale.
Au pays de Sisteron, en France, le bienheureux Donat, prêtre et confesseur. Dès ses plus jeunes années, il fut favorisé de grâces extraordinaires de la part de Dieu, mena pendant de longues années la vie d'anachorète, et, après s'être rendu célèbre par l'éclat de ses miracles, s'en alla vers le Seigneur.
En Berry, saint Marien confesseur. Le bienheureux Grégoire évêque de Tours a fait de grands éloges de ses vertus et de ses miracles.
A Mantoue, saint Butin confesseur.
A Nuremberg, saint Sébald ermite, célèbre par ses vertus et ses mérites; il a été inséré au catalogue des saints par le pape Martin V.
A Rome, saint Jules, sénateur et martyr. Livré au juge Vitellius qui le mit en prison, il fut, par ordre de l'empereur Commode, frappé à coups de bâton, jusqu'à ce qu'il rendit l'âme. Son corps fut inhumé dans le cimetière de Calépode, sur la voie Aurélienne.
A Anagni, saint Magne, évêque et martyr, mis à mort durant la persécution de Dèce.
En Cilicie, l'anniversaire de saint André tribun, et des soldats, ses compagnons. Après avoir, avec l'aide de Dieu, vaincu les Perses, ils se convertirent à la foi du Christ: accusés d'être chrétiens, ils furent, sous l'empereur Maximien, massacrés par l'armée du préfet Séleucus, dans les défilés montagneux du Taurus.
En Palestine, saint Timothée martyr. Durant la persécution de Dioclétien, sous le préfet Urbain, il endura de nombreux supplices, puis fut brûlé à petit feu.
Dans la même contrée, souffrirent aussi Thècle et Agape; la première, exposée aux bêtes et broyée sous leurs dents, s'en alla vers l'époux; le second endura de nombreux tourments et fut réservé pour de plus grands combats.
A Rome, saint Sixte III, pape et confesseur.
Dans la place forte de Brignoles, en Provence, la mise au tombeau de saint Louis, de l'Ordre des Frères Mineurs, évêque de Toulouse, célèbre par la sainteté de sa vie et ses miracles. Son corps, transporté de là à Marseille, fut enseveli avec honneur dans l'église des Frères Mineurs; dans la suite on le transféra à Valence en Espagne, pour le placer dans l'église cathédrale.
Au pays de Sisteron, en France, le bienheureux Donat, prêtre et confesseur. Dès ses plus jeunes années, il fut favorisé de grâces extraordinaires de la part de Dieu, mena pendant de longues années la vie d'anachorète, et, après s'être rendu célèbre par l'éclat de ses miracles, s'en alla vers le Seigneur.
En Berry, saint Marien confesseur. Le bienheureux Grégoire évêque de Tours a fait de grands éloges de ses vertus et de ses miracles.
A Mantoue, saint Butin confesseur.
A Nuremberg, saint Sébald ermite, célèbre par ses vertus et ses mérites; il a été inséré au catalogue des saints par le pape Martin V.
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Dévotion aux Saints Coeurs Unis de Jésus Marie +
Espoir et Salut de Notre France Catholique .
Cette dévotion est née au XVII ème siècle grâce à Saint Jean Eudes (1601-1680) fondateur de la Congrégation des Eudistes le 25 mars 1643.
Saint Pie X l'a déclaré, Père, Docteur et Apôtre du culte liturgique des Saints Cœurs de Jésus et de Marie. Il l'a béatifié en 1909 et canonisé en 1925. Il est fêté ... See More
Cette dévotion est née au XVII ème siècle grâce à Saint Jean Eudes (1601-1680) fondateur de la Congrégation des Eudistes le 25 mars 1643.
Saint Pie X l'a déclaré, Père, Docteur et Apôtre du culte liturgique des Saints Cœurs de Jésus et de Marie. Il l'a béatifié en 1909 et canonisé en 1925. Il est fêté ... See More
—
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Notre France.
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