Pour-la-réparation-des-blasphèmes-et-la-conversion-des-blasphémateurs
(page Facebook ), le 4 juillet 2016
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PRIÈRE EN RÉPARATION DES INJURES CONTRE LA SAINTE VIERGE
Sainte Vierge bénie, Mère de Dieu, du haut du Ciel où
vous régnez, daignez abaisser vos regards sur ce pauvre pécheur, votre
serviteur. Bien qu'il ait conscience de son indignité, du plus profond de son
coeur il vous loue et il vous glorifie comme la plus pure, la plus sainte et la
plus belle de toutes les créatures, afin de réparer les outrages dont se
rendent coupables envers vous tant de langues impies et blasphématrices. Il bénit votre saint Nom; il bénit vos sublimes privilèges
comme la vraie Mère de Dieu, laquelle, toujours Vierge, et conçue sans la tache
du péché, avez coopéré à la rédemption du genre humain. Il bénit le Père
éternel qui vous a élue entre toutes pour sa Fille; il bénit le Verbe Incarné
qui, dans votre sein très pur, a revêtu la nature humaine et a fait de vous sa
Mère; il bénit l'Esprit-Saint qui vous a choisie pour son Épouse. Pénétré de
reconnaissance, il bénit la très sainte Trinité qui vous a élue et comblée à ce
point que votre dignité vous place au-dessus de toutes les créatures.
Vierge sainte, Vierge miséricordieuse, obtenez à ceux qui
vous offensent qu'ils rentrent en eux-mêmes et daignez agréer ce pauvre hommage
de votre serviteur. Obtenez-lui de votre divin Fils le pardon de ses péchés. Ainsi soit-il.
*
NOTRE DAME DU TRÈS SAINT SACREMENT priez pour nous
Sa sainteté Pie X par rescrit du 30
décembre 1905, a accordé une indulgence de 300 jours a tous ceux qui réciteront
cette oraison jaculatoire devant le Très Saint Sacrement exposé.
*
« Béni et loué soit le Très Saint Sacrement de
l'Eucharistie, Fruit béni et sacré de la Vierge très pure, Sainte Marie ! »
(Prière que récitaient François et
Jacinthe chaque matin, au saut du lit)
*
Je vous adore profondément, ô mon
Jésus, vraie victime d'expiation pour nos péchés, et je vous offre cet acte
d'adoration pour compenser les sacrilèges et les outrages que vous recevez de
tant de chrétiens ingrats qui osent s'approcher pour vous recevoir dans la
sainte communion avec le péché mortel dans l'âme. En amende honorable de si
horribles sacrilèges, je vous offre les dernières gouttes du Sang très
précieux que vous versâtes de la Plaie de votre côté, dans laquelle pieusement
caché, je vous adore, vous bénis, vous aime, et répète avec toutes les âmes
dévotes au Saint Sacrement : « Loué et remercié soit à chaque instant, le très
saint et très divin Sacrement. »
Un Pater, un Ave Maria, un Gloria.
Un Pater, un Ave Maria, un Gloria.
*
« Mais priez, mes enfants ! Dieu vous exaucera en peu de
temps. Mon Fils se laisse toucher ». Notre Dame à Pontmain 17 janvier 1871
*
Notre-Dame Médiatrice de Toutes
Grâces
Que la très Sainte Vierge Marie soit la Médiatrice de toutes les grâces, ce n'est pas une doctrine nouvelle, et l'Office et la Messe approuvée par le pape Pie XI ne sont que la confirmation officielle d'une vérité qui découle de la Maternité divine de Marie et de tout le plan de Dieu dans l'ordre de notre salut. Cette fête était de plus en plus dans les voeux des serviteurs les plus fervents et les plus éclairés de la très Sainte Vierge; elle dérive de toute la doctrine de l'Église, de l'enseignement des Docteurs et des Saints; il suffit de nommer, parmi d'autres, saint Éphrem, saint Bernard, saint Bernardin, saint Louis-Marie Grignion de Montfort, dont le Traité de la vraie dévotion à la Sainte Vierge est, en quelque sorte, l'illustration magnifique de cette Médiation universelle de la Mère de Dieu.
Le titre par excellence de Marie, Sa gloire suprême, le principe de toutes Ses grandeurs et de toutes Ses vertus, c'est Sa Maternité divine. Si la tradition de l'Église L'appelle la Trésorière du Royaume des Cieux, la Toute-puissance suppliante, la Dispensatrice de la grâce, la Corédemptrice, la Reine du Ciel et de la terre, etc., c'est en raison de Sa divine Maternité. Mais le titre qui semble le mieux résumer tous les autres et le plus heureusement exprimer la mission de la glorieuse Mère de Dieu, c'est celui de Médiatrice de toutes les grâces, Médiatrice d'intercession, et de plus, Médiatrice de dispensation et de distribution de toutes les grâces. C'est bien à cette doctrine que reviennent ces paroles des plus grands docteurs et serviteurs de Marie: "Tout ce qui convient à Dieu par nature convient à Marie par grâce... Telle a été la Volonté de Dieu, qu'Il a voulu que nous recevions tout par Marie... Tous les dons, vertus, grâces du Saint-Esprit Lui-même, sont administrés par les mains de Marie, à qui Elle veut, quand Elle veut, autant qu'Elle veut..." Toute la Liturgie mariale suppose ou exprime la doctrine de Marie Médiatrice universelle de toutes les grâces.
Abbé L. Jaud, Vie des Saints pour tous les jours de l'année, Tours, Mame, 1950
Que la très Sainte Vierge Marie soit la Médiatrice de toutes les grâces, ce n'est pas une doctrine nouvelle, et l'Office et la Messe approuvée par le pape Pie XI ne sont que la confirmation officielle d'une vérité qui découle de la Maternité divine de Marie et de tout le plan de Dieu dans l'ordre de notre salut. Cette fête était de plus en plus dans les voeux des serviteurs les plus fervents et les plus éclairés de la très Sainte Vierge; elle dérive de toute la doctrine de l'Église, de l'enseignement des Docteurs et des Saints; il suffit de nommer, parmi d'autres, saint Éphrem, saint Bernard, saint Bernardin, saint Louis-Marie Grignion de Montfort, dont le Traité de la vraie dévotion à la Sainte Vierge est, en quelque sorte, l'illustration magnifique de cette Médiation universelle de la Mère de Dieu.
Le titre par excellence de Marie, Sa gloire suprême, le principe de toutes Ses grandeurs et de toutes Ses vertus, c'est Sa Maternité divine. Si la tradition de l'Église L'appelle la Trésorière du Royaume des Cieux, la Toute-puissance suppliante, la Dispensatrice de la grâce, la Corédemptrice, la Reine du Ciel et de la terre, etc., c'est en raison de Sa divine Maternité. Mais le titre qui semble le mieux résumer tous les autres et le plus heureusement exprimer la mission de la glorieuse Mère de Dieu, c'est celui de Médiatrice de toutes les grâces, Médiatrice d'intercession, et de plus, Médiatrice de dispensation et de distribution de toutes les grâces. C'est bien à cette doctrine que reviennent ces paroles des plus grands docteurs et serviteurs de Marie: "Tout ce qui convient à Dieu par nature convient à Marie par grâce... Telle a été la Volonté de Dieu, qu'Il a voulu que nous recevions tout par Marie... Tous les dons, vertus, grâces du Saint-Esprit Lui-même, sont administrés par les mains de Marie, à qui Elle veut, quand Elle veut, autant qu'Elle veut..." Toute la Liturgie mariale suppose ou exprime la doctrine de Marie Médiatrice universelle de toutes les grâces.
Abbé L. Jaud, Vie des Saints pour tous les jours de l'année, Tours, Mame, 1950
*
Stabat Mater doloros , (traduction
du latin : La Mère se tenait debout) est une séquence composée au treizième
siècle et attribuée au franciscain italien Jacopone da Todi. La fête associée à
cette séquence est celle de Notre-Dame des douleurs (15 septembre), mais
aujourd'hui, elle est rarement chantée.
Elle était debout, la Mère, malgré sa douleur,
En larmes, près de la croix ,
Tandis que son Fils subissait son calvaire.
Alors, son âme gémissante,
Toute triste et toute dolente,
Un glaive transperça.
Qu'elle était triste, anéantie,
La femme entre toutes bénie,
La Mère du Fils de Dieu !
Dans le chagrin qui la poignait,
Cette tendre Mère pleurait
Son Fils mourant sous ses yeux.
Quel homme sans verser de pleurs
Verrait la Mère du Seigneur
Endurer si grand supplice ?
Qui pourrait dans l'indifférence
Contempler en cette souffrance
La Mère auprès de son Fils ?
Pour toutes les fautes humaines,
Elle vit Jésus dans la peine
Et sous les fouets meurtri.
Elle vit l'Enfant bien-aimé
Mourant seul, abandonné,
Et soudain rendre l'esprit.
Ô Mère, source de tendresse,
Fais-moi sentir grande tristesse
Pour que je pleure avec toi.
Fais que mon âme soit de feu
Dans l'amour du Seigneur mon Dieu :
Que je Lui plaise avec toi.
Mère sainte, daigne imprimer
Les plaies de Jésus crucifié
En mon cœur très fortement.
Pour moi, ton Fils voulut mourir,
Aussi donne-moi de souffrir
Une part de Ses tourments.
Donne-moi de pleurer en toute vérité,
Comme toi près du Crucifié,
Tant que je vivrai !
Je désire auprès de la croix
Me tenir, debout avec toi,
Dans ta plainte et ta souffrance.
Vierge des vierges, toute pure,
Ne sois pas envers moi trop dure,
Fais que je pleure avec toi.
Du Christ fais-moi porter la mort,
Revivre le douloureux sort
Et les plaies, au fond de moi.
Fais que Ses propres plaies me blessent,
Que la croix me donne l'ivresse
Du Sang versé par ton Fils.
Je crains les flammes éternelles;
Ô Vierge, assure ma tutelle
À l'heure de la justice.
Ô Christ, à l'heure de partir,
Puisse ta Mère me conduire
À la palme des vainqueurs.
À l'heure où mon corps va mourir,
À mon âme, fais obtenir
La gloire du paradis.
Elle était debout, la Mère, malgré sa douleur,
En larmes, près de la croix ,
Tandis que son Fils subissait son calvaire.
Alors, son âme gémissante,
Toute triste et toute dolente,
Un glaive transperça.
Qu'elle était triste, anéantie,
La femme entre toutes bénie,
La Mère du Fils de Dieu !
Dans le chagrin qui la poignait,
Cette tendre Mère pleurait
Son Fils mourant sous ses yeux.
Quel homme sans verser de pleurs
Verrait la Mère du Seigneur
Endurer si grand supplice ?
Qui pourrait dans l'indifférence
Contempler en cette souffrance
La Mère auprès de son Fils ?
Pour toutes les fautes humaines,
Elle vit Jésus dans la peine
Et sous les fouets meurtri.
Elle vit l'Enfant bien-aimé
Mourant seul, abandonné,
Et soudain rendre l'esprit.
Ô Mère, source de tendresse,
Fais-moi sentir grande tristesse
Pour que je pleure avec toi.
Fais que mon âme soit de feu
Dans l'amour du Seigneur mon Dieu :
Que je Lui plaise avec toi.
Mère sainte, daigne imprimer
Les plaies de Jésus crucifié
En mon cœur très fortement.
Pour moi, ton Fils voulut mourir,
Aussi donne-moi de souffrir
Une part de Ses tourments.
Donne-moi de pleurer en toute vérité,
Comme toi près du Crucifié,
Tant que je vivrai !
Je désire auprès de la croix
Me tenir, debout avec toi,
Dans ta plainte et ta souffrance.
Vierge des vierges, toute pure,
Ne sois pas envers moi trop dure,
Fais que je pleure avec toi.
Du Christ fais-moi porter la mort,
Revivre le douloureux sort
Et les plaies, au fond de moi.
Fais que Ses propres plaies me blessent,
Que la croix me donne l'ivresse
Du Sang versé par ton Fils.
Je crains les flammes éternelles;
Ô Vierge, assure ma tutelle
À l'heure de la justice.
Ô Christ, à l'heure de partir,
Puisse ta Mère me conduire
À la palme des vainqueurs.
À l'heure où mon corps va mourir,
À mon âme, fais obtenir
La gloire du paradis.
*
La Croix est mon salut assuré.
La Croix, je l'adorerai toujours.
La Croix du Seigneur est avec moi.
La Croix est mon refuge. (st.
Thomas d'Aquin)
La Croix, je l'adorerai toujours.
La Croix du Seigneur est avec moi.
La Croix est mon refuge. (
*
PRIÈRE AU PRÉCIEUX SANG DE JÉSUS
Père Éternel, je vous offre le très Précieux Sang
de Jésus en expiation de mes péchés,
pour la délivrance des saintes âmes du purgatoire
et pour les besoins de la Sainte Eglise.
Que ma vie entière, unie à celle de Marie,
soit offerte à l’auguste Trinité avec
le très Précieux-Sang de Jésus,
en une Messe perpétuelle.
Christ, le Fils du Dieu vivant,
montrez-vous le défenseur
et l’ami des hommes sauvés
par votre Sang.
Amen.
Père Éternel, je vous offre le très Précieux Sang
de Jésus en expiation de mes péchés,
pour la délivrance des saintes âmes du purgatoire
et pour les besoins de la Sainte Eglise.
Que ma vie entière, unie à celle de Marie,
soit offerte à l’auguste Trinité avec
le très Précieux-Sang de Jésus,
en une Messe perpétuelle.
Christ, le Fils du Dieu vivant,
montrez-vous le défenseur
et l’ami des hommes sauvés
par votre Sang.
Amen.
*
"POUR SAUVER LES ÂMES DE
L'ENFER, DIEU VEUT ÉTABLIR DANS LE MONDE LA DÉVOTION AU CŒUR IMMACULÉ DE
MARIE." PAROLES DE LA VIERGE MARIE A FATIMA :
Je suis Notre-Dame du Rosaire. Je suis venue pour exhorter les fidèles à changer de vie, à ne pas affliger par le péché Notre-Seigneur, qui est déjà trop offensé, à réciter le Saint-Rosaire et à faire pénitence de leurs péchés.
Voulez-vous offrir à Dieu des sacrifices et accepter toutes les souffrances qu'Il vous enverra en réparation des péchés si nombreux qui offensent sa divine Majesté?
Voulez-vous souffrir pour obtenir la conversion des pécheurs, pour réparer les blasphèmes ainsi que toutes les offenses faites au Coeur Immaculée de Marie?...
Priez, priez beaucoup et faites des sacrifices pour les pécheurs, car beaucoup d'âmes vont en enfer, parce qu'il n'y a personne qui se sacrifie et prie pour elles.
Je suis Notre-Dame du Rosaire. Je suis venue pour exhorter les fidèles à changer de vie, à ne pas affliger par le péché Notre-Seigneur, qui est déjà trop offensé, à réciter le Saint-Rosaire et à faire pénitence de leurs péchés.
Voulez-vous offrir à Dieu des sacrifices et accepter toutes les souffrances qu'Il vous enverra en réparation des péchés si nombreux qui offensent sa divine Majesté?
Voulez-vous souffrir pour obtenir la conversion des pécheurs, pour réparer les blasphèmes ainsi que toutes les offenses faites au Coeur Immaculée de Marie?...
Priez, priez beaucoup et faites des sacrifices pour les pécheurs, car beaucoup d'âmes vont en enfer, parce qu'il n'y a personne qui se sacrifie et prie pour elles.
*
ACTE DE CONSÉCRATION DU GENRE HUMAIN
AU SACRÉ CŒUR
Très doux Jésus, Rédempteur du genre humain, jetez un regard sur nous, qui sommes humblement prosternés devant votre présence. Nous sommes à vous, nous voulons être à vous; et afin de vous être plus étroitement unis, voici qu'en ce jour chacun de nous se consacre spontanément à votre Sacré Cœur.
Beaucoup ne vous ont jamais connu; beaucoup ont méprisé vos commandements et vous ont renié. Miséricordieux Jésus, ayez pitié des uns et des autres et ramenez-les tous à votre Sacré Cœur.
Seigneur, soyez le Roi, non seulement des fidèles qui ne se sont jamais éloignés de vous, mais aussi des enfants prodigues qui vous ont abandonné; faites qu'ils rentrent bientôt dans la maison paternelle, pour qu'ils ne périssent pas de misère et de faim. Soyez le Roi de ceux qui vivent dans l'erreur ou que la discorde a séparés de vous; ramenez-les au port de la vérité et à l'unité de la foi, afin que bientôt il n'y ait plus qu'un seul troupeau et qu'un seul pasteur.
Soyez le Roi de tous ceux qui sont encore égarés dans les ténèbres de l'idolâtrie ou de l'islamisme, et ne refusez pas de les attirer tous à la lumière de votre royaume.
Regardez enfin avec miséricorde les enfants de ce peuple qui fut jadis votre préféré; que sur eux aussi descende, mais aujourd'hui en baptême de vie et de rédemption, le Sang qu'autrefois ils appelaient sur leurs têtes.
Accordez, Seigneur, à votre Église une liberté sûre et sans entrave; accordez à tous les peuples l'ordre et la paix; faites que, d'un pôle du monde à l'autre, une seule voix retentisse : « Loué soit le divin Cœur qui nous a acquis le salut; à lui gloire et honneur dans tous les siècles. ». Ainsi soit-il.
Très doux Jésus, Rédempteur du genre humain, jetez un regard sur nous, qui sommes humblement prosternés devant votre présence. Nous sommes à vous, nous voulons être à vous; et afin de vous être plus étroitement unis, voici qu'en ce jour chacun de nous se consacre spontanément à votre Sacré Cœur.
Beaucoup ne vous ont jamais connu; beaucoup ont méprisé vos commandements et vous ont renié. Miséricordieux Jésus, ayez pitié des uns et des autres et ramenez-les tous à votre Sacré Cœur.
Seigneur, soyez le Roi, non seulement des fidèles qui ne se sont jamais éloignés de vous, mais aussi des enfants prodigues qui vous ont abandonné; faites qu'ils rentrent bientôt dans la maison paternelle, pour qu'ils ne périssent pas de misère et de faim. Soyez le Roi de ceux qui vivent dans l'erreur ou que la discorde a séparés de vous; ramenez-les au port de la vérité et à l'unité de la foi, afin que bientôt il n'y ait plus qu'un seul troupeau et qu'un seul pasteur.
Soyez le Roi de tous ceux qui sont encore égarés dans les ténèbres de l'idolâtrie ou de l'islamisme, et ne refusez pas de les attirer tous à la lumière de votre royaume.
Regardez enfin avec miséricorde les enfants de ce peuple qui fut jadis votre préféré; que sur eux aussi descende, mais aujourd'hui en baptême de vie et de rédemption, le Sang qu'autrefois ils appelaient sur leurs têtes.
Accordez, Seigneur, à votre Église une liberté sûre et sans entrave; accordez à tous les peuples l'ordre et la paix; faites que, d'un pôle du monde à l'autre, une seule voix retentisse : « Loué soit le divin Cœur qui nous a acquis le salut; à lui gloire et honneur dans tous les siècles. ». Ainsi soit-il.
*
Nous ne craignons pas de l'affirmer
: le culte de l'exposition du très saint Sacrement est le besoin de notre temps
; il faut cette proclamation publique de la foi des peuples en la divinité de
Jésus-Christ et en la vérité de sa présence sacramentelle. […] Ce culte est
nécessaire pour sauver la société. La société se meurt, parce qu'elle n'a plus
de centre de vérité et de charité, mais elle renaîtra
pleine de vigueur quand tous ses membres viendront se réunir autour de la vie,
à Jésus dans l'Eucharistie. Il faut le faire sortir de sa retraite pour qu'Il
se mette à nouveau à la tête des sociétés chrétiennes qu'Il dirigera et
sauvera. Il faut Lui construire un palais, un trône royal, une cour de fidèles
serviteurs, une famille d'amis, un peuple d'adorateurs.
Saint Pierre-Julien Eymard (1811-1868), La spiritualité du P. Pierre-Julien Eymard, Rome, 1956. (fondateur de la Congrégation des Prêtres du Saint-Sacrement)
Saint Pierre-Julien Eymard (1811-1868), La spiritualité du P. Pierre-Julien Eymard, Rome, 1956. (fondateur de la Congrégation des Prêtres du Saint-Sacrement)
*
« Une des manières les plus
agréables à Dieu
pour nous tenir en sa sainte présence,
c’est d’entrer dans le Sacré-Coeur de Jésus
et de lui remettre tout le soin de nous-mêmes,
nous y tenant comme dans un abîme d’amour,
pour y perdre ce qui est de nous,
afin qu’Il mette en sa place
ce qui est de Lui. »
Sainte Marguerite-Marie
pour nous tenir en sa sainte présence,
c’est d’entrer dans le Sacré-Coeur de Jésus
et de lui remettre tout le soin de nous-mêmes,
nous y tenant comme dans un abîme d’amour,
pour y perdre ce qui est de nous,
afin qu’Il mette en sa place
ce qui est de Lui. »
Sainte Marguerite-Marie
*
Soit loué et remercié à tout moment, le très Saint et
divin Sacrement.
*
Prière contre le blasphème
Du 8 au 11septembre 1954 eurent lieu des journées de réparation contre les blasphèmes ; à cette occasion, Pie XII récita à la Radio la prière que voici
O Très Auguste Trinité, Père, Fils et Saint-Esprit, qui, bien qu’infiniment heureuse de toute éternité en vous-même et par vous-même, daignez accepter avec bienveillance l’hommage qui s’élève de la création universelle jusqu’à votre trône sublime, détournez, nous vous en prions, vos yeux et vos oreilles de ces malheureux qui, ou aveuglés par la passion, ou poussés par des influences diaboliques, blasphèment abominablement votre nom, celui de la très pure Vierge Marie et ceux des saints.
Retenez, ô Seigneur, le bras de votre justice qui pourrait réduire à néant ceux qui osent se rendre coupables de tant d'impiété.
Acceptez l’hymne de gloire qui sans arrêt s’élève de toute la nature : depuis l’eau de la source qui coule limpide et silencieuse jusqu’aux astres qui resplendissent et décrivent une orbite immense mus par l’Amour, là-haut, dans les cieux. Acceptez en réparation le chœur de louanges montant, tel l’encens devant les autels, de tant d’âmes saintes qui marchent sans jamais dévier dans les sentiers de votre loi et s’efforcent d’apaiser votre justice offensée, par des œuvres assidues de charité et de pénitence ; écoutez le chant de tant d’âmes d’élite qui consacrent leur vie à célébrer votre gloire, la louange intarissable que l’Eglise vous adresse à toute heure et sous tous les cieux. Et faites qu’un jour les cœurs blasphémateurs soient convertis et que toutes les langues et toutes les lèvres s’unissent pour chanter, ici-bas, ce cantique qui résonne sans fin dans les chœurs des anges : Saint, Saint, Saint, est le Seigneur Dieu des armées ; les cieux et la terre sont pleins de votre gloire.
Ainsi soit-il.
Du 8 au 11septembre 1954 eurent lieu des journées de réparation contre les blasphèmes ; à cette occasion, Pie XII récita à la Radio la prière que voici
O Très Auguste Trinité, Père, Fils et Saint-Esprit, qui, bien qu’infiniment heureuse de toute éternité en vous-même et par vous-même, daignez accepter avec bienveillance l’hommage qui s’élève de la création universelle jusqu’à votre trône sublime, détournez, nous vous en prions, vos yeux et vos oreilles de ces malheureux qui, ou aveuglés par la passion, ou poussés par des influences diaboliques, blasphèment abominablement votre nom, celui de la très pure Vierge Marie et ceux des saints.
Retenez, ô Seigneur, le bras de votre justice qui pourrait réduire à néant ceux qui osent se rendre coupables de tant d'impiété.
Acceptez l’hymne de gloire qui sans arrêt s’élève de toute la nature : depuis l’eau de la source qui coule limpide et silencieuse jusqu’aux astres qui resplendissent et décrivent une orbite immense mus par l’Amour, là-haut, dans les cieux. Acceptez en réparation le chœur de louanges montant, tel l’encens devant les autels, de tant d’âmes saintes qui marchent sans jamais dévier dans les sentiers de votre loi et s’efforcent d’apaiser votre justice offensée, par des œuvres assidues de charité et de pénitence ; écoutez le chant de tant d’âmes d’élite qui consacrent leur vie à célébrer votre gloire, la louange intarissable que l’Eglise vous adresse à toute heure et sous tous les cieux. Et faites qu’un jour les cœurs blasphémateurs soient convertis et que toutes les langues et toutes les lèvres s’unissent pour chanter, ici-bas, ce cantique qui résonne sans fin dans les chœurs des anges : Saint, Saint, Saint, est le Seigneur Dieu des armées ; les cieux et la terre sont pleins de votre gloire.
Ainsi soit-il.
*
‘Il faut adorer Jésus-Christ: le Père céleste le
commande. Il veut que tout genou fléchisse devant le Verbe incarné, au ciel,
sur la terre et dans les enfers. Au ciel, toute la cours céleste l’adore.”
L’Apocalypse en parle: “À l’Agneau qui a été immolé, louange, honneur, gloire
et puissance dans les siècles des siècles!”
Sur la terre, Jésus-Christ a été adoré “à sa naissance, dans ses courses évangéliques, sur la Croix, et après sa mort. Maintenant il doit être adoré au Très Saint-Sacrement.” (SAINT PIERRE-JULIEN EYMARD Apôtre de l’Eucharistie)
Sur la terre, Jésus-Christ a été adoré “à sa naissance, dans ses courses évangéliques, sur la Croix, et après sa mort. Maintenant il doit être adoré au Très Saint-Sacrement.” (SAINT PIERRE-JULIEN EYMARD Apôtre de l’Eucharistie)
*
Notre Dame de Fatima 13 Mai
Notre-Dame ouvrit les mains et, comme par un reflet qui émanait d'Elles, une lumière intense s'en dégagea. Lucie dit plus tard que « cette lumière intense pénétra notre cœur jusqu'au plus profond de notre âme. Elle nous faisait nous voir nous-mêmes en Dieu, qui était la lumière, plus clairement que nous nous voyons dans le meilleur des miroirs ».
Les enfants se mirent à genoux en récitant intérieurement cette prière :
« Ô, Très Sainte Trinité, je Vous adore.
Mon Dieu, mon Dieu, je Vous aime dans le Très Saint-Sacrement.»
Notre-Dame ouvrit les mains et, comme par un reflet qui émanait d'Elles, une lumière intense s'en dégagea. Lucie dit plus tard que « cette lumière intense pénétra notre cœur jusqu'au plus profond de notre âme. Elle nous faisait nous voir nous-mêmes en Dieu, qui était la lumière, plus clairement que nous nous voyons dans le meilleur des miroirs ».
Les enfants se mirent à genoux en récitant intérieurement cette prière :
« Ô, Très Sainte Trinité, je Vous adore.
Mon Dieu, mon Dieu, je Vous aime dans le Très Saint-Sacrement.»
*
Coeur de Jésus, tout brûlant d'amour pour nous, enflammez
notre coeur d'amour pour vous.
*
Prière à Jésus agonisant
Ô Jésus, triomphez de la dureté de mon cœur et donnez-moi d'entrer dans le mystère de Votre Sainte Agonie de Gethsémani. Touchez mon âme, pour qu'elle comprenne les excès de Votre Amour pour les pauvres pécheurs, et accordez-moi la grâce d'une véritable compassion pour m'unir le plus possible à Vous-même ! Ô Jésus béni, qui avez supporté cette nuit-là le poids de tous nospéchés, et qui avez payé pour eux une rançon surabondante, faites-moi le très grand don d'une parfaite contrition pour mes nombreux péchés qui Vous firent suer du sang. Ô Jésus accablé de tristesse à la vue de nos péchés, par tous Vos soupirs et Vos larmes de cette sainte nuit, je Vous prie de me donner la grâce d'une vraie pénitence, inspirée par un amour plus fervent. Ô Jésus, mon Sauveur, par les mérites de Votre très dur combat de Gethsémani, accordez-moi de remporter une victoire complète et définitive sur les tentations, et particulièrement sur celles qui m'entraînent le plus. Ô Jésus obéissant, au nom de ces incommensurables et indicibles luttes mortelles que Vous avez soutenues en cette nuit d'angoisse, éclairez mon intelligence pour que je reconnaisse et que j'accomplisse comme Vous la sainte volonté du Père ! Ô Jésus si humble, par les mérites de Vos angoisses si amères, préservez mon cœur de toute forme de découragement, pour que je mène avec Vous un combat plus assidu et plus persévérant. Ô Jésus, qui avez éprouvé l'abandon et la trahison de Vos proches, inspirez-moi les élans et la pratique d'une authentique réparation d'amour et un zèle plus ardent pour la conversion et le salut des pauvres pécheurs. Ô Jésus miséricordieux, par les mérites de Votre sueur de sang, pardonnez à ceux qui Vous ont offensé, accordez-leur la grâce du repentir et ne les abandonnez pas dans les filets de l'adversaire : Cœur de Jésus, broyé à cause de nos péchés, faites miséricorde à tous les pécheurs ! Accordez, ô Jésus, à ceux qui invoquent les mérites infinies de Votre Sainte Agonie et de Votre ardente prière de Gethsémani, de Vous aimer toujours davantage et de bénéficier pleinement des grâces que Vous avez obtenues en Votre Bienheureuse Passion, pour qu'ils Vous rendent amour pour amour sur cette terre, et Vous glorifient ensuite éternellement dans le Ciel. Ainsi soit-il.
Ô Jésus, triomphez de la dureté de mon cœur et donnez-moi d'entrer dans le mystère de Votre Sainte Agonie de Gethsémani. Touchez mon âme, pour qu'elle comprenne les excès de Votre Amour pour les pauvres pécheurs, et accordez-moi la grâce d'une véritable compassion pour m'unir le plus possible à Vous-même ! Ô Jésus béni, qui avez supporté cette nuit-là le poids de tous nospéchés, et qui avez payé pour eux une rançon surabondante, faites-moi le très grand don d'une parfaite contrition pour mes nombreux péchés qui Vous firent suer du sang. Ô Jésus accablé de tristesse à la vue de nos péchés, par tous Vos soupirs et Vos larmes de cette sainte nuit, je Vous prie de me donner la grâce d'une vraie pénitence, inspirée par un amour plus fervent. Ô Jésus, mon Sauveur, par les mérites de Votre très dur combat de Gethsémani, accordez-moi de remporter une victoire complète et définitive sur les tentations, et particulièrement sur celles qui m'entraînent le plus. Ô Jésus obéissant, au nom de ces incommensurables et indicibles luttes mortelles que Vous avez soutenues en cette nuit d'angoisse, éclairez mon intelligence pour que je reconnaisse et que j'accomplisse comme Vous la sainte volonté du Père ! Ô Jésus si humble, par les mérites de Vos angoisses si amères, préservez mon cœur de toute forme de découragement, pour que je mène avec Vous un combat plus assidu et plus persévérant. Ô Jésus, qui avez éprouvé l'abandon et la trahison de Vos proches, inspirez-moi les élans et la pratique d'une authentique réparation d'amour et un zèle plus ardent pour la conversion et le salut des pauvres pécheurs. Ô Jésus miséricordieux, par les mérites de Votre sueur de sang, pardonnez à ceux qui Vous ont offensé, accordez-leur la grâce du repentir et ne les abandonnez pas dans les filets de l'adversaire : Cœur de Jésus, broyé à cause de nos péchés, faites miséricorde à tous les pécheurs ! Accordez, ô Jésus, à ceux qui invoquent les mérites infinies de Votre Sainte Agonie et de Votre ardente prière de Gethsémani, de Vous aimer toujours davantage et de bénéficier pleinement des grâces que Vous avez obtenues en Votre Bienheureuse Passion, pour qu'ils Vous rendent amour pour amour sur cette terre, et Vous glorifient ensuite éternellement dans le Ciel. Ainsi soit-il.
*
PRIÈRE POUR LA VISITE AU TRÈS SAINT
SACREMENT
Jésus, mon Seigneur, qui par affection pour les hommes, demeurez nuit et jour dans ce Sacrement, plein de miséricorde et d'amour, attendant, appelant et accueillant tous ceux qui viennent vous visiter, je vous crois présent au très saint Sacrement de l'autel; je vous y adore de l'abîme de mon néant; je vous remercie de toutes les grâces que vous m'avez faites, et spécialement de vous être donné vous-même à moi dans ce Sacrement, de m'avoir donné pour avocate Marie, votre très sainte Mère, et de m'avoir appelé à vous visiter dans cette église. Je salue aujourd'hui votre Coeur très aimant, et j'ai l'intention de le saluer pour trois fins : premièrement, pour vous remercier de ce don insigne; secondement, pour compenser les injures que vous avez reçues de tous vos ennemis dans ce Sacrement; et troisièmement, par cette visite, j'ai l'intention de vous adorer dans tous les lieux de la terre où vous êtes le moins honoré et le plus abandonné en votre Sacrement. Mon Jésus, je vous aime de tout mon coeur. Je me repens d'avoir tant de fois par le passé déplu à votre bonté infinie. Je me propose, moyennant votre sainte grâce, de ne plus vous offenser à l'avenir; et pour le présent, tout misérable que je suis, je me consacre entièrement à vous. Je renonce à ma volonté, à mes affections, à mes désirs, à tout ce qui m'appartient, et je vous le donne. Désormais, faites de moi et de ce qui est à moi tout ce qu'il vous plaira. Je ne vous demande et ne veux que votre saint amour, la persévérance finale et l'accomplissement parfait de votre volonté. Je vous recommande les âmes du purgatoire, et en particulier les plus dévotes au très saint Sacrement et à la très sainte Vierge. Je vous recommande aussi tous les pauvres pécheurs. J'unis enfin, ô Sauveur bien-aimé, toutes mes affections, aux affections de votre Coeur très aimant et, ainsi , unies, je les offre à votre Père Éternel, et je le prie en votre nom de daigner les accepter et de les exaucer pour l'amour de vous.
Jésus, mon Seigneur, qui par affection pour les hommes, demeurez nuit et jour dans ce Sacrement, plein de miséricorde et d'amour, attendant, appelant et accueillant tous ceux qui viennent vous visiter, je vous crois présent au très saint Sacrement de l'autel; je vous y adore de l'abîme de mon néant; je vous remercie de toutes les grâces que vous m'avez faites, et spécialement de vous être donné vous-même à moi dans ce Sacrement, de m'avoir donné pour avocate Marie, votre très sainte Mère, et de m'avoir appelé à vous visiter dans cette église. Je salue aujourd'hui votre Coeur très aimant, et j'ai l'intention de le saluer pour trois fins : premièrement, pour vous remercier de ce don insigne; secondement, pour compenser les injures que vous avez reçues de tous vos ennemis dans ce Sacrement; et troisièmement, par cette visite, j'ai l'intention de vous adorer dans tous les lieux de la terre où vous êtes le moins honoré et le plus abandonné en votre Sacrement. Mon Jésus, je vous aime de tout mon coeur. Je me repens d'avoir tant de fois par le passé déplu à votre bonté infinie. Je me propose, moyennant votre sainte grâce, de ne plus vous offenser à l'avenir; et pour le présent, tout misérable que je suis, je me consacre entièrement à vous. Je renonce à ma volonté, à mes affections, à mes désirs, à tout ce qui m'appartient, et je vous le donne. Désormais, faites de moi et de ce qui est à moi tout ce qu'il vous plaira. Je ne vous demande et ne veux que votre saint amour, la persévérance finale et l'accomplissement parfait de votre volonté. Je vous recommande les âmes du purgatoire, et en particulier les plus dévotes au très saint Sacrement et à la très sainte Vierge. Je vous recommande aussi tous les pauvres pécheurs. J'unis enfin, ô Sauveur bien-aimé, toutes mes affections, aux affections de votre Coeur très aimant et, ainsi , unies, je les offre à votre Père Éternel, et je le prie en votre nom de daigner les accepter et de les exaucer pour l'amour de vous.
*
Doux Coeur de Marie, soyez mon salut.
O Marie conçue sans péché, priez pour nous qui avons recours à vous.
O Marie, secours des chrétiens, priez pour moi.
Cœur Sacré de Marie, soyez le salut de mon âme.
Marie, notre espérance, ayez pitié de nous !
O Marie conçue sans péché, priez pour nous qui avons recours à vous.
O Marie, secours des chrétiens, priez pour moi.
Cœur Sacré de Marie, soyez le salut de mon âme.
Marie, notre espérance, ayez pitié de nous !
*
Qu'à jamais soit loué, béni, aimé, adoré, glorifié le
très Saint, très Sacré, très Adorable, très Inconnu, très Inexprimable Nom de
Dieu, au ciel, sur la terre et dans les enfers, par toutes les créatures
sorties des mains de Dieu et par Notre-Seigneur Jésus-Christ au très Saint
Sacrement de l'autel. Ainsi soit-il.
(200 jours d'indulgence) - Louis-Joseph, Archevêque de Tours
(200 jours d'indulgence) - Louis-Joseph, Archevêque de Tours
*
Si le prêtre comprenait ce que c'est que la Messe, il
mourrait. On ne saura qu'au Ciel ce qu'est la Messe.
Saint Jean-Marie Vianney
Saint Jean-Marie Vianney
*
Il est au milieu de nous au Saint Sacrement. Quelle
consolation d’être dans la maison où Jésus-Christ habite ! Mais ne dirait-on
point que nous ignorons notre bonheur ? Allons-nous à lui dans nos besoins ? Le
consultons-nous dans nos desseins ? Lui portons-nous nos petits chagrins, au
lieu de prendre conseil de nos amis, de nous plaindre, de murmurer ? …
Saint Claude La Colombière, Journal Spirituel, 107.
Saint Claude La Colombière, Journal Spirituel, 107.
*
Notre-Dame de Lourdes, santé des Infirmes, Vous qui
guérissez les corps afin de mieux guérir les âmes, montrez-Vous encore
favorable à nos désirs ardents. Soyez l’espoir pour nos chers malades, que leur
confiance en Vous soit couronnée de succès. Vierge miséricordieuse, dont le Nom
seul évoque de merveilleuses guérisons, montrez-nous encore Votre espoir.
Intercédez pour nous et pour les êtres qui nous sont chers, ô Notre-Dame de
Lourdes.
Bénie soit la sainte et Immaculée Conception de la Bienheureuse Vierge Marie, Mère de Dieu !
Bénie soit la sainte et Immaculée Conception de la Bienheureuse Vierge Marie, Mère de Dieu !
*
"Seigneur, montrez Votre Face et nous serons
sauvés!"
(En baisant l'image de la Sainte Face, 60 jours d'indulgence, pour les membres de l'Archiconfrérie Réparatrice). S. S. Léon XIII.
(En baisant l'image de la Sainte Face, 60 jours d'indulgence, pour les membres de l'Archiconfrérie Réparatrice). S. S. Léon XIII.
*
Prière à la Sainte Face de Thérèse
de l’Enfant Jésus
Ô Jésus, qui dans votre cruelle Passion êtes devenu
’’l’opprobre des hommes et l’homme de douleurs’’,
je vénère votre divin visage,
sur lequel brillaient la beauté et la douceur de la divinité,
maintenant devenu pour moi
comme le visage d’un ’’lépreux’’ !
Mais sous ses traits défigurés,
je reconnais votre amour infini
et je me consume du désir de vous aimer
et de vous faire aimer de tous les hommes.
Les larmes qui coulèrent si abondamment de vos yeux
m’apparaissent comme des perles précieuses
que j’aime à recueillir,
afin d’acheter avec leur valeur infinie
les âmes des pauvres pêcheurs.
Ô Jésus, dont le visage est la seule beauté
qui ravit mon coeur,
j’accepte de ne pas voir ici-bas,
la douceur de votre regard,
de ne pas sentir l’inexprimable baiser
de votre bouche sainte ;
mais je vous supplie d’imprimer en moi
votre divine resemblance,
de m’embraser de votre amour,
afin qu’il me consume rapidement
et que j’arrive bientôt à voir
votre glorieux visage dans le Ciel.
Amen.
Ô Jésus, qui dans votre cruelle Passion êtes devenu
’’l’opprobre des hommes et l’homme de douleurs’’,
je vénère votre divin visage,
sur lequel brillaient la beauté et la douceur de la divinité,
maintenant devenu pour moi
comme le visage d’un ’’lépreux’’ !
Mais sous ses traits défigurés,
je reconnais votre amour infini
et je me consume du désir de vous aimer
et de vous faire aimer de tous les hommes.
Les larmes qui coulèrent si abondamment de vos yeux
m’apparaissent comme des perles précieuses
que j’aime à recueillir,
afin d’acheter avec leur valeur infinie
les âmes des pauvres pêcheurs.
Ô Jésus, dont le visage est la seule beauté
qui ravit mon coeur,
j’accepte de ne pas voir ici-bas,
la douceur de votre regard,
de ne pas sentir l’inexprimable baiser
de votre bouche sainte ;
mais je vous supplie d’imprimer en moi
votre divine resemblance,
de m’embraser de votre amour,
afin qu’il me consume rapidement
et que j’arrive bientôt à voir
votre glorieux visage dans le Ciel.
Amen.
*
Père Éternel, je vous offre les
infinies satisfactions que Jésus a faites à votre justice pour les pécheurs sur
l'arbre de la croix, et je vous prie de rendre efficace le mérite de son Sang
précieux, à toutes les âmes criminelles à qui le péché a donné la mort; et que
ressuscitant à la grâce, elles vous glorifient éternellement. Père Éternel, je
vous offre les ardeurs du divin Coeur de Jésus pour satisfaire
à la tiédeur et lâcheté de votre peuple choisi, en vous demandant que par
l'ardent amour qui lui a fait souffrir la mort, il vous plaise de réchauffer
leurs coeurs tièdes à votre service et de les embraser de votre amour, afin que
vous en soyez aimé éternellement. Père Éternel, je vous offre la soumission de
Jésus à votre volonté, vous demandant par ses mérites la consommation de toutes
vos grâces et l'accomplissement de toutes vos saintes volontés. Dieu soit béni
! (Ste. Marguerite-Marie Alacoque)
*
(Paroles de Notre-Dame, le 13 juillet 1917, à Fatima) :
« Sacrifiez-vous pour les pécheurs, et dites souvent à Jésus, spécialement lorsque vous ferez un sacrifice :
« Ô Jésus, c'est par amour pour vous, pour la conversion des pécheurs, et en réparation des péchés commis contre le Coeur Immaculé de Marie. »
« Sacrifiez-vous pour les pécheurs, et dites souvent à Jésus, spécialement lorsque vous ferez un sacrifice :
« Ô Jésus, c'est par amour pour vous, pour la conversion des pécheurs, et en réparation des péchés commis contre le Coeur Immaculé de Marie. »
*
Acte de réparation envers les
blasphèmes
Jésus ! A la vue des blasphémateurs du nom sacré de Dieu, nous vous prions de vouloir bien faire de nouveau avec nous la prière que vous adressâtes à votre divin Père après l'institution de la divine Eucharistie : Mon Père, glorifiez votre nom ! Alors, ô Jésus, il vint du ciel une voix qui prononça ces mots : Je l'ai déjà glorifié, et je le glorifierai encore.
Que cette voix retentisse encore sur la terre, nous vous en conjurons par vos plaies sacrées et par votre adorable Face. Quant à nous, oubliant en ce moment nos propres intérêts pour défendre la gloire du nom de votre Père, nous nous arrêtons aux trois premières demandes de la prière que vous nous avez enseignée et nous disons de tout notre cœur en union avec vous, ô Jésus : Notre Père qui êtes aux cieux, que votre nom soit sanctifié; que votre règne arrive; que votre volonté soit faite sur la terre comme au ciel. Ainsi soit-il.
Jésus ! A la vue des blasphémateurs du nom sacré de Dieu, nous vous prions de vouloir bien faire de nouveau avec nous la prière que vous adressâtes à votre divin Père après l'institution de la divine Eucharistie : Mon Père, glorifiez votre nom ! Alors, ô Jésus, il vint du ciel une voix qui prononça ces mots : Je l'ai déjà glorifié, et je le glorifierai encore.
Que cette voix retentisse encore sur la terre, nous vous en conjurons par vos plaies sacrées et par votre adorable Face. Quant à nous, oubliant en ce moment nos propres intérêts pour défendre la gloire du nom de votre Père, nous nous arrêtons aux trois premières demandes de la prière que vous nous avez enseignée et nous disons de tout notre cœur en union avec vous, ô Jésus : Notre Père qui êtes aux cieux, que votre nom soit sanctifié; que votre règne arrive; que votre volonté soit faite sur la terre comme au ciel. Ainsi soit-il.
*
Prière pour demander l'avènement du
Règne du Sacré-Coeur
Au nom du Sacré-Cœur de Jésus et par l'intercession de Marie Immaculée, très humblement prosternés devant Votre Majesté, ô Dieu Tout-Puissant, nous Vous supplions de bien vouloir envoyer Saint Michel pour qu'il nous secoure dans notre détresse.
Daignez Vous souvenir, Seigneur, que dans les circonstances douloureuses de notre histoire, Vousen avez fait l'instrument de vos miséricordes à notre égard. Nous ne saurions l'oublier. C'est pourquoi nous Vous conjurons de conserver à notre patrie, coupable mais si malheureuse, la protection dont Vous l'avez jadis entourée par le ministère de cet Archange vainqueur.
C'est à vous que nous avons recours, ô Marie Immaculée, notre douce Médiatrice, qui êtes la Reine du Ciel et de la terre. Nous vous en supplions très humblement, daignez encore intercéder pour nous. Demandez à Dieu qu'Il envoie Saint Michel et ses Anges pour écarter tous les obstacles qui s'opposent au règne du Sacré-Cœur dans nos âmes, dans nos familles et dans la France entière.
Et vous, ô Saint Michel, prince des milices célestes, venez à nous. Nous vous appelons de tous nos vœux ! Vous êtes l'Ange gardien de l'Eglise et de la France, c'est vous qui avez inspiré et soutenu Jeanne d'Arc dans sa mission libératrice. Venez encore à notre secours et sauvez-nous ! Dieu vous a confié les âmes qui, rachetées par le Sauveur, doivent être admises au bonheur du Ciel. Accomplissez donc sur nous la mission sublime dont le Seigneur vous a chargé. Nous plaçons tous nos intérêts spirituels, nos âmes, nos familles, nos paroisses, la France entière, sous votre puissante protection. Nous en avons la ferme espérance, vous ne laisserez pas mourir le peuple qui vous a été confié !
Combattez avec nous contre l'enfer déchaîné, et par la vertu divine dont vous êtes revêtu, après avoir donné la victoire à l'Eglise ici-bas, conduisez nos âmes à l'éternelle Patrie. Ainsi soit-il.
Composée par Martin Drexler (1902), cette prière a reçu l'imprimatur du Cardinal Richard, Archevêque de Paris. La Sainte Vierge avait déclaré au voyant, qu'avec les prières de Léon XIII après la messe, ces supplications obtiendraient le triomphe de l'Eglise et le salut de la France. « Je suis toute miséricorde, lui dit-elle. Je veux sauver la France, mais il faut prier Saint Michel. Si on ne le prie pas, il n'interviendra pas ».
Au nom du Sacré-Cœur de Jésus et par l'intercession de Marie Immaculée, très humblement prosternés devant Votre Majesté, ô Dieu Tout-Puissant, nous Vous supplions de bien vouloir envoyer Saint Michel pour qu'il nous secoure dans notre détresse.
Daignez Vous souvenir, Seigneur, que dans les circonstances douloureuses de notre histoire, Vousen avez fait l'instrument de vos miséricordes à notre égard. Nous ne saurions l'oublier. C'est pourquoi nous Vous conjurons de conserver à notre patrie, coupable mais si malheureuse, la protection dont Vous l'avez jadis entourée par le ministère de cet Archange vainqueur.
C'est à vous que nous avons recours, ô Marie Immaculée, notre douce Médiatrice, qui êtes la Reine du Ciel et de la terre. Nous vous en supplions très humblement, daignez encore intercéder pour nous. Demandez à Dieu qu'Il envoie Saint Michel et ses Anges pour écarter tous les obstacles qui s'opposent au règne du Sacré-Cœur dans nos âmes, dans nos familles et dans la France entière.
Et vous, ô Saint Michel, prince des milices célestes, venez à nous. Nous vous appelons de tous nos vœux ! Vous êtes l'Ange gardien de l'Eglise et de la France, c'est vous qui avez inspiré et soutenu Jeanne d'Arc dans sa mission libératrice. Venez encore à notre secours et sauvez-nous ! Dieu vous a confié les âmes qui, rachetées par le Sauveur, doivent être admises au bonheur du Ciel. Accomplissez donc sur nous la mission sublime dont le Seigneur vous a chargé. Nous plaçons tous nos intérêts spirituels, nos âmes, nos familles, nos paroisses, la France entière, sous votre puissante protection. Nous en avons la ferme espérance, vous ne laisserez pas mourir le peuple qui vous a été confié !
Combattez avec nous contre l'enfer déchaîné, et par la vertu divine dont vous êtes revêtu, après avoir donné la victoire à l'Eglise ici-bas, conduisez nos âmes à l'éternelle Patrie. Ainsi soit-il.
Composée par Martin Drexler (1902), cette prière a reçu l'imprimatur du Cardinal Richard, Archevêque de Paris. La Sainte Vierge avait déclaré au voyant, qu'avec les prières de Léon XIII après la messe, ces supplications obtiendraient le triomphe de l'Eglise et le salut de la France. « Je suis toute miséricorde, lui dit-elle. Je veux sauver la France, mais il faut prier Saint Michel. Si on ne le prie pas, il n'interviendra pas ».
*
Oraison pour la bénédiction du
Saint-Sacrement
Seigneur Dieu, dans cet admirable sacrement,
Vous nous as laissé le mémorial de votre Passion :
accordez-nous de vénérer d’un si grand amour
le mystère de votre Corps et de votre Sang,
que nous puissions recueillir sans cesse le fruit de votre Rédemption.
Vous qui vivez et régnez, avec le Père et le Saint-Esprit,
pour les siècles des siècles. Amen.
Seigneur Dieu, dans cet admirable sacrement,
Vous nous as laissé le mémorial de votre Passion :
accordez-nous de vénérer d’un si grand amour
le mystère de votre Corps et de votre Sang,
que nous puissions recueillir sans cesse le fruit de votre Rédemption.
Vous qui vivez et régnez, avec le Père et le Saint-Esprit,
pour les siècles des siècles. Amen.
*
Ce n'est pas seulement en mémoire de sa mort que Jésus
institua l'Eucharistie ; non, c'est pour rester tout entier avec nous, tout
entier et pour toujours.
Sainte Angèle de Foligno (1248-1309), Visions et Instructions, ch. 67.
Sainte Angèle de Foligno (1248-1309), Visions et Instructions, ch. 67.
*
Quel spectacle, que des rois
reconnaissent pour leur Dieu et Sauveur un enfant couché dans une crèche entre
deux vils animaux
Extrait du sermon du Saint curé d’Ars Sur les Rois Mages ÉPIPHANIE
Oh ! que la foi est quelque chose de précieux ! Non seulement cet état de pauvreté ne les rebute pas ; mais ils n'en sont encore que plus touchés et édifiés. Leurs yeux semblaient ne plus pouvoir se rassasier de considérer le Sauveur du monde, le Roi du ciel et de la terre, le Maître de tout l'univers, dans cet état. Les délices dont leurs cœurs furent inondés furent tellement abondantes, qu'ils donnèrent à leur Dieu tout ce qu'ils avaient, et tout ce qu'ils pouvaient lui donner. Dès ce moment, ils consacrent à Dieu leurs personnes, ne voulant pas être maîtres, même de leurs personnes. Non contents de cette offrande, ils offrent encore tout leur royaume. Suivant la coutume des Orientaux, qui n'approchaient jamais les grands princes sans faire des présents, ils offrent à Jésus les plus riches productions de leur pays, c'est-à-dire : de l'or, de l'encens et de la myrrhe ; et, par ces présents, ils exprimaient parfaitement les idées qu'ils avaient conçues du Sauveur, reconnaissant sa divinité, sa souveraineté et son humanité. Sa divinité, par l'encens qui n'est dû qu'à Dieu seul ; son humanité, par la myrrhe qui sert à embaumer les corps ; sa souveraineté, par l'or qui est le tribut ordinaire dont on se sert pour payer les souverains. Mais cette offrande exprimait bien mieux encore les sentiments de leur cœur : leur ardente charité était manifestée par l'or qui en est le symbole ; leur tendre dévotion état figurée par l'encens ; les sacrifices qu'ils faisaient à Dieu d'un cœur mortifié, étaient représentés par la myrrhe.Quelle vertu,dans ces trois Orientaux ! Dieu, en voyant la disposition de leurs cœurs, ne devait-il pas dire dès lors ce qu'il dit dans la suite des temps : qu'il n'avait point vu de “ foi plus vive en tout Israël ! ” En effet, les Juifs avaient le Messie au milieu d'eux, et ils n'y faisaient point attention ; les Mages, quoique fort éloignés ; venaient le chercher et le reconnaître pour leur Dieu. Les Juifs, dans la suite, le traitent comme le plus criminel que la terre eût jamais porté, et finissent par le crucifier dans le temps même qu'il donnait des preuves si évidentes de sa divinité ; tandis que les Mages le voient couché sur la paille, réduit à la plus vile condition, se jettent à ses pieds pour l'adorer, et le reconnaissent pour leur Dieu, leur Sauveur et leur libérateur. Oh ! que la foi est quelque chose de précieux ! Si nous avions le bonheur de bien le comprendre, quel soin n'aurions-nous pas de la conserver en nous !
Extrait du sermon du Saint curé d’Ars Sur les Rois Mages ÉPIPHANIE
Oh ! que la foi est quelque chose de précieux ! Non seulement cet état de pauvreté ne les rebute pas ; mais ils n'en sont encore que plus touchés et édifiés. Leurs yeux semblaient ne plus pouvoir se rassasier de considérer le Sauveur du monde, le Roi du ciel et de la terre, le Maître de tout l'univers, dans cet état. Les délices dont leurs cœurs furent inondés furent tellement abondantes, qu'ils donnèrent à leur Dieu tout ce qu'ils avaient, et tout ce qu'ils pouvaient lui donner. Dès ce moment, ils consacrent à Dieu leurs personnes, ne voulant pas être maîtres, même de leurs personnes. Non contents de cette offrande, ils offrent encore tout leur royaume. Suivant la coutume des Orientaux, qui n'approchaient jamais les grands princes sans faire des présents, ils offrent à Jésus les plus riches productions de leur pays, c'est-à-dire : de l'or, de l'encens et de la myrrhe ; et, par ces présents, ils exprimaient parfaitement les idées qu'ils avaient conçues du Sauveur, reconnaissant sa divinité, sa souveraineté et son humanité. Sa divinité, par l'encens qui n'est dû qu'à Dieu seul ; son humanité, par la myrrhe qui sert à embaumer les corps ; sa souveraineté, par l'or qui est le tribut ordinaire dont on se sert pour payer les souverains. Mais cette offrande exprimait bien mieux encore les sentiments de leur cœur : leur ardente charité était manifestée par l'or qui en est le symbole ; leur tendre dévotion état figurée par l'encens ; les sacrifices qu'ils faisaient à Dieu d'un cœur mortifié, étaient représentés par la myrrhe.Quelle vertu,dans ces trois Orientaux ! Dieu, en voyant la disposition de leurs cœurs, ne devait-il pas dire dès lors ce qu'il dit dans la suite des temps : qu'il n'avait point vu de “ foi plus vive en tout Israël ! ” En effet, les Juifs avaient le Messie au milieu d'eux, et ils n'y faisaient point attention ; les Mages, quoique fort éloignés ; venaient le chercher et le reconnaître pour leur Dieu. Les Juifs, dans la suite, le traitent comme le plus criminel que la terre eût jamais porté, et finissent par le crucifier dans le temps même qu'il donnait des preuves si évidentes de sa divinité ; tandis que les Mages le voient couché sur la paille, réduit à la plus vile condition, se jettent à ses pieds pour l'adorer, et le reconnaissent pour leur Dieu, leur Sauveur et leur libérateur. Oh ! que la foi est quelque chose de précieux ! Si nous avions le bonheur de bien le comprendre, quel soin n'aurions-nous pas de la conserver en nous !
*
Ne manquons pas d'adorer le très
saint Sacrement qui est la principale et la plus grande dévotion, celle que
tous les chrétiens doivent avoir. Acquittez-vous-en donc avec plus de soin et
de fidélité que jamais, avec une nouvelle ferveur, ardeur et amour pour
Jésus-Christ dans ce précieux mystère.
Soyez fidèles à demeurer en la présence de Dieu sans vous mettre en peine de ne pouvoir rien faire… N'ayez point de répugnance d'être en la présence de Dieu sans rien faire, puisqu'Il ne veut rien de vous que le silence et l'anéantissement, vous ferez toujours beaucoup lorsque vous vous laisserez et abandonnerez sans réserve à sa toute-puissance. Soyez fidèles en ce point, ne vous affligez pas de vos distractions, laissez-les passer et demeurez humblement aux pieds de Jésus.
Catherine de Bar (1614-1698), Adorer et adhérer, Ed. du Cerf, 1994, pp. 61 & 97.
(fondatrice des Bénédictines du Saint-Sacrement)
Soyez fidèles à demeurer en la présence de Dieu sans vous mettre en peine de ne pouvoir rien faire… N'ayez point de répugnance d'être en la présence de Dieu sans rien faire, puisqu'Il ne veut rien de vous que le silence et l'anéantissement, vous ferez toujours beaucoup lorsque vous vous laisserez et abandonnerez sans réserve à sa toute-puissance. Soyez fidèles en ce point, ne vous affligez pas de vos distractions, laissez-les passer et demeurez humblement aux pieds de Jésus.
Catherine de Bar (1614-1698), Adorer et adhérer, Ed. du Cerf, 1994, pp. 61 & 97.
(fondatrice des Bénédictines du Saint-Sacrement)
*
Invocation "Mon Jésus Miséricordieux " 100
jours d'indulgence (a dire souvent )
*
Saint Dominique faisait de grandes
pénitences pour offrir à Dieu la réparation des offenses faites par les
hérétiques.
La Très Sainte Vierge Marie lui apparut, accompagnée de trois princesses de la Cour céleste, et Elle lui délivra les paroles suivantes : “ Mon fils Dominique, ne vous étonnez pas de ne pas réussir en vos prédications ! Car vous labourez un sol qui n’a pas été labouré par la pluie ! Sachez que lorsque Dieu voulut renouveler le monde, Il envoya d’abord la pluie de la salutation angélique et c’est ainsi que le monde fut racheté. Exhortez donc les hommes, dans vos sermons, à réciter Mon Psautier et vous en recueillerez beaucoup de fruits pour les âmes. Cette prière est pour vous une arme contre les ennemis visibles et invisibles, c’est le signe de Mon Amour pour les chrétiens. ”
La Très Sainte Vierge Marie lui apparut, accompagnée de trois princesses de la Cour céleste, et Elle lui délivra les paroles suivantes : “ Mon fils Dominique, ne vous étonnez pas de ne pas réussir en vos prédications ! Car vous labourez un sol qui n’a pas été labouré par la pluie ! Sachez que lorsque Dieu voulut renouveler le monde, Il envoya d’abord la pluie de la salutation angélique et c’est ainsi que le monde fut racheté. Exhortez donc les hommes, dans vos sermons, à réciter Mon Psautier et vous en recueillerez beaucoup de fruits pour les âmes. Cette prière est pour vous une arme contre les ennemis visibles et invisibles, c’est le signe de Mon Amour pour les chrétiens. ”
*
Prière pour la
conversion des francs-maçons
Seigneur Jésus-Christ, qui vous plaisez à faire éclater votre toute-puissance principalement en pardonnant aux pécheurs, vous qui avez dit:"Priez pour ceux qui vous persécutent et vous calomnient", nous implorons la clémence de votre Cœur Sacré pour des âmes créées à l'image de Dieu, qui ont été misérablement trompées par les séductions de la franc-maçonnerie et se précipitent dans la voie de la perte éternelle.
Ne permettez pas, nous vous en conjurons, que l’Église, votre sainte Epouse, soit opprimée, mais apaisé par l'intercession de la Bienheureuse Vierge Merie, votre Mère, et par les prières des justes, daignez vous souvenir de votre miséricorde infinie.
Oubliez leur perversité , et faites que revenant à Vous, ils consolent l’Église par des actes de pénitence et obtiennent la gloire éternelle , auprès de Vous qui vivez et régnez dans les siècles des siècles.Amen.
Imprimatur:cardinal RICHARD, archevêque de Paris, 2 juillet 1896.
Paris, 1er mai 1934,V.DUPIN,vicaire général.
Indulgence de 100 jours, Léon XIII, 11 août 1898.
Cette prière se trouvait au secrétariat de l'Association Réparatrice dont le but était de réparer par l'offrande de Messes et de Communions, les outrages commis envers la Très Sainte Trinité par les Sociétés secrètes et d'obtenir la conversion de leurs membres.
L'Association Réparatrice était située 8 rue Joseph Bara, 75006Paris .
Seigneur Jésus-Christ, qui vous plaisez à faire éclater votre toute-puissance principalement en pardonnant aux pécheurs, vous qui avez dit:"Priez pour ceux qui vous persécutent et vous calomnient", nous implorons la clémence de votre Cœur Sacré pour des âmes créées à l'image de Dieu, qui ont été misérablement trompées par les séductions de la franc-maçonnerie et se précipitent dans la voie de la perte éternelle.
Ne permettez pas, nous vous en conjurons, que l’Église, votre sainte Epouse, soit opprimée, mais apaisé par l'intercession de la Bienheureuse Vierge Merie, votre Mère, et par les prières des justes, daignez vous souvenir de votre miséricorde infinie.
Oubliez leur perversité , et faites que revenant à Vous, ils consolent l’Église par des actes de pénitence et obtiennent la gloire éternelle , auprès de Vous qui vivez et régnez dans les siècles des siècles.Amen.
Imprimatur:cardinal RICHARD, archevêque de Paris, 2 juillet 1896.
Paris, 1er mai 1934,V.DUPIN,vicaire général.
Indulgence de 100 jours, Léon XIII, 11 août 1898.
Cette prière se trouvait au secrétariat de l'Association Réparatrice dont le but était de réparer par l'offrande de Messes et de Communions, les outrages commis envers la Très Sainte Trinité par les Sociétés secrètes et d'obtenir la conversion de leurs membres.
L'Association Réparatrice était située 8 rue Joseph Bara, 75006
*
ACTE DE REMERCIEMENT
Mon Dieu,
je vous remercie de tous les biens
que j'ai reçus de vous,
principalement de m'avoir créé,
racheté par votre Fils
et fait enfant de votre Église.
Mon Dieu,
je vous remercie de tous les biens
que j'ai reçus de vous,
principalement de m'avoir créé,
racheté par votre Fils
et fait enfant de votre Église.
*
LOUANGE POUR TOUTES LES HEURES
de saint François d'Assise
1 Saint, trois fois saint, le Seigneur Dieu tout puissant,
celui qui est, qui était et qui reviendra.
Louange et gloire à jamais !
2 Tu es digne, Seigneur notre Dieu,
de recevoir honneur, louange et gloire,
et d'être proclamé béni.
Louange et gloire à jamais !
3 Digne est l'Agneau qui a été immolé,
d'être appelé Dieu fort, sage et puissant,
de recevoir honneur et gloire,
et d'être proclamé béni.
Louange et gloire à jamais !
4 Bénissons le Père et le Fils, avec le Saint-Esprit.
Louange et gloire à jamais !
5 Toutes les oeuvres du Seigneur, bénissez le Seigneur.
Louange et gloire à jamais !
6 Chantez les louanges de notre Dieu, vous tous ses serviteurs,
et vous qui craignez Dieu, petits et grands.
Louange et gloire à jamais !
7 Loué soit le Dieu de gloire par le ciel et par la terre.
Louange et gloire à jamais !
8 Par toute créature au ciel, sur terre, sous terre,
et par la mer et tout ce qu'elle renferme.
Louange et gloire à jamais !
9 Gloire au Père et au Fils et au Saint-Esprit.
Louange et gloire à jamais !
10 Comme il était au commencement, maintenant et toujours,
dans les siècles des siècles. Amen.
Louange et gloire à jamais !
PRIONS
Tout-puissant, très saint, très haut et souverain Dieu,
souverain bien, bien universel, bien total,
toi qui seul es bon,
puissions-nous te rendre toute louange, toute gloire,
toute grâce, tout honneur et toute bénédiction ;
puissions-nous toujours rapporter à toi seul tous les biens !
Amen.
de saint François d'Assise
1 Saint, trois fois saint, le Seigneur Dieu tout puissant,
celui qui est, qui était et qui reviendra.
Louange et gloire à jamais !
2 Tu es digne, Seigneur notre Dieu,
de recevoir honneur, louange et gloire,
et d'être proclamé béni.
Louange et gloire à jamais !
3 Digne est l'Agneau qui a été immolé,
d'être appelé Dieu fort, sage et puissant,
de recevoir honneur et gloire,
et d'être proclamé béni.
Louange et gloire à jamais !
4 Bénissons le Père et le Fils, avec le Saint-Esprit.
Louange et gloire à jamais !
5 Toutes les oeuvres du Seigneur, bénissez le Seigneur.
Louange et gloire à jamais !
6 Chantez les louanges de notre Dieu, vous tous ses serviteurs,
et vous qui craignez Dieu, petits et grands.
Louange et gloire à jamais !
7 Loué soit le Dieu de gloire par le ciel et par la terre.
Louange et gloire à jamais !
8 Par toute créature au ciel, sur terre, sous terre,
et par la mer et tout ce qu'elle renferme.
Louange et gloire à jamais !
9 Gloire au Père et au Fils et au Saint-Esprit.
Louange et gloire à jamais !
10 Comme il était au commencement, maintenant et toujours,
dans les siècles des siècles. Amen.
Louange et gloire à jamais !
PRIONS
Tout-puissant, très saint, très haut et souverain Dieu,
souverain bien, bien universel, bien total,
toi qui seul es bon,
puissions-nous te rendre toute louange, toute gloire,
toute grâce, tout honneur et toute bénédiction ;
puissions-nous toujours rapporter à toi seul tous les biens !
Amen.
*
REMERCIER DIEU.
par saint Léonard de Port-Maurice
Notre troisième dette envers Dieu est celle de la reconnaissance, pour les immenses bienfaits dont il nous a comblés. Réunissez toutes les faveurs, toutes les libéralités, toutes les grâces que vous avez reçues de lui: bienfaits selon la nature et selon la grâce, bienfaits du corps et bienfaits de l’âme, vos sens, vos facultés, votre santé, votre vie; et puis la vie même de Jésus son divin Fils et la mort qu’il a souffert pour nous: toutes ces choses augmentent outre mesure notre dette envers Dieu.
Comment pourrons-nous donc le remercier dignement? Nous voyons que la loi de la reconnaissance est observée par les bêtes féroces, qui deviennent quelquefois dociles envers leurs bienfaiteurs.
par saint Léonard de Port-Maurice
Notre troisième dette envers Dieu est celle de la reconnaissance, pour les immenses bienfaits dont il nous a comblés. Réunissez toutes les faveurs, toutes les libéralités, toutes les grâces que vous avez reçues de lui: bienfaits selon la nature et selon la grâce, bienfaits du corps et bienfaits de l’âme, vos sens, vos facultés, votre santé, votre vie; et puis la vie même de Jésus son divin Fils et la mort qu’il a souffert pour nous: toutes ces choses augmentent outre mesure notre dette envers Dieu.
Comment pourrons-nous donc le remercier dignement? Nous voyons que la loi de la reconnaissance est observée par les bêtes féroces, qui deviennent quelquefois dociles envers leurs bienfaiteurs.
*
ABANDON DE L’ÂME À LA TRÈS SAINTE
VIERGE
O Sainte Marie ma souveraine,
aujourd'hui, chaque jour
et à l'heure de ma mort,
je mets mon corps et mon âme
sous votre bénite protection,
et votre spéciale sauvegarde.
Je me jette dans le sein
de votre miséricorde,
je place en vous toute mon espérance
et ma consolation,
je remets entre vos mains mes peines
et mes misères,
ma vie et ses derniers instants,
afin que par votre très sainte intercession
et part vos mérites,
toutes mes actions soient faites
et dirigées selon votre volonté
et celle de votre Fils.
Ainsi soit-il.
O Sainte Marie ma souveraine,
aujourd'hui, chaque jour
et à l'heure de ma mort,
je mets mon corps et mon âme
sous votre bénite protection,
et votre spéciale sauvegarde.
Je me jette dans le sein
de votre miséricorde,
je place en vous toute mon espérance
et ma consolation,
je remets entre vos mains mes peines
et mes misères,
ma vie et ses derniers instants,
afin que par votre très sainte intercession
et part vos mérites,
toutes mes actions soient faites
et dirigées selon votre volonté
et celle de votre Fils.
Ainsi soit-il.
*
O Dieu trois fois Saint!
je vous adore,
je vous aime,
je vous bénis
par le Sacré-cœur de Jésus
au Très Saint Sacrement de l'autel,
et je vous offre,
par les mains bénies
de l'Immaculée Vierge Marie,
toutes les Saintes Hosties
qui sont sur nos autels
et dans nos tabernacles,
en sacrifice d'expiation,
de réparation et d'amende honorable,
pour tous les sacrilèges,
les profanations,
les impiétés,
les blasphèmes et les crimes
qui vous outragent par tout l'univers.
je vous adore,
je vous aime,
je vous bénis
par le Sacré-cœur de Jésus
au Très Saint Sacrement de l'autel,
et je vous offre,
par les mains bénies
de l'Immaculée Vierge Marie,
toutes les Saintes Hosties
qui sont sur nos autels
et dans nos tabernacles,
en sacrifice d'expiation,
de réparation et d'amende honorable,
pour tous les sacrilèges,
les profanations,
les impiétés,
les blasphèmes et les crimes
qui vous outragent par tout l'univers.
*
Quel malheur que nous ayons au milieu de nous un trésor
immense et inépuisable, et que, faute de le connaître, nous vivions dans
l'indigence ; que nous ayons en notre pouvoir un remède à toutes sortes de
maux, un arbre de vie qui peut nous communiquer non seulement la santé, mais
l'immortalité même et que cependant nous soyons accablés d'infirmités, que nous
vivions d'une vie languissante, que nous mourions tous les jours de la plus
funeste de toutes les morts. La messe est ce remède universel, cet arbre de
vie, ce riche trésor.
Saint Claude La Colombière, Réflexions chrétiennes, 13 : "De la messe", in Ecrits spirituels, DDB-Bellarmin, 1982.
Saint Claude La Colombière, Réflexions chrétiennes, 13 : "De la messe", in Ecrits spirituels, DDB-Bellarmin, 1982.
*
Gloire et louange, amour et reconnaissance soient à
jamais rendus à Jésus au saint sacrement de l’autel, au Père et au Saint-Esprit
dans tous les siècles des siècles, Amen.
*
Disposition pour recevoir la Sainte
Communion
Extrait sermons du Saint curé d’Ars
Lorsque nous allons à la sainte Table, si nous voulons recevoir Jésus-Christ avec de bonnes dispositions, il faut que notre conscience ne nous reproche rien ; il faut que nous soyons convaincus que nous avons mis tout le temps qu'il fallait pour nous examiner, afin de bien connaître nos péchés ; il faut que notre conscience ne nous reproche rien sur l'accusation que nous avons faite de nos péchés et que nous soyons dans une véritable résolution de faire, avec la grâce de Dieu, tout ce qui dépend de nous pour ne pas retomber ; il faut que nous ayons un grand désir d'accomplir, autant bien que nous pouvons, la pénitence que l'on nous a donnée. Pour bien nous pénétrer de la grandeur de l'action que nous allons faire, il faut, en commençant, regarder la sainte Table comme le tribunal de Jésus-Christ, où nous serons jugés. Si nous avons eu le malheur de ne pas bien accuser nos péchés, d'en avoir détourné ou déguisé quelques-uns ; soyons bien persuadés que ce n'est pas Jésus-Christ que nous allons loger, mais le démon. Oh ! quelle horreur de placer Jésus-Christ même aux pieds du démon !...
Extrait sermons du Saint curé d’Ars
Lorsque nous allons à la sainte Table, si nous voulons recevoir Jésus-Christ avec de bonnes dispositions, il faut que notre conscience ne nous reproche rien ; il faut que nous soyons convaincus que nous avons mis tout le temps qu'il fallait pour nous examiner, afin de bien connaître nos péchés ; il faut que notre conscience ne nous reproche rien sur l'accusation que nous avons faite de nos péchés et que nous soyons dans une véritable résolution de faire, avec la grâce de Dieu, tout ce qui dépend de nous pour ne pas retomber ; il faut que nous ayons un grand désir d'accomplir, autant bien que nous pouvons, la pénitence que l'on nous a donnée. Pour bien nous pénétrer de la grandeur de l'action que nous allons faire, il faut, en commençant, regarder la sainte Table comme le tribunal de Jésus-Christ, où nous serons jugés. Si nous avons eu le malheur de ne pas bien accuser nos péchés, d'en avoir détourné ou déguisé quelques-uns ; soyons bien persuadés que ce n'est pas Jésus-Christ que nous allons loger, mais le démon. Oh ! quelle horreur de placer Jésus-Christ même aux pieds du démon !...
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Source :
https://www.facebook.com/Pour-la-réparation-des-blasphèmes-et-la-conversion-des-blasphémateurs-249815191895815/?pnref=story
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