Comment
les péchés capitaux sont punis dans l’enfer inférieur, La Voix de Dieu 6 mars
2016-03-08
Objet :
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[Articol nou] Comment les péchés
capitaux sont punis dans l’enfer inférieur.
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De :
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La voix de Dieu Magazine -
(donotreply@wordpress.com)
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À :
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Olivia Marcov ;
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Date :
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Dimanche 6 mars 2016 21h57
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Articol nou pe blogul "La voix de
Dieu" Magazine -
Comment
les péchés capitaux sont punis dans l’enfer inférieur.
Comment
les péchés capitaux sont punis dans l’enfer inférieur.
1° Tourments des orgueilleux.
La bienheureuse aperçut une vaste prison dont les
habitants étaient fort nombreux, et on lui dit que c'étaient les superbes. Cette prison était divisée en plusieurs pièces, où les victimes étaient
classées selon les diverses espèces de ce péché. Les ambitieux étaient ceux que les démons
paraissaient mépriser davantage. Autant ces misérables avaient
été affamés des honneurs pendant leur vie, autant ils étaient rassasiés
d'opprobres et de confusion. En punissant ceux-ci, ils n'oubliaient pourtant pas les
autres. Chaque famille d'orgueilleux, si je puis parler ainsi, avait sa peine
propre et particulière ; mais il y avait un châtiment horrible qui leur était
commun à tous.Au milieu de cette prison spéciale était posé un lion énorme
d'airain rougi par le feu. Sa gueule était levée en l'air etlargement ouverte,
et ses mâchoires, en guise de dents, étaient armées d'un grand nombre de
rasoirs affilés. Son ventre était un repaire de serpents et d'autres bêtes
venimeuses, et l'ouverture postérieure était comme l'entrée du corps de
cemonstre, garnie de lames brûlantes et horriblement acérées. Or, les démons
chargés de tourmenter ces tristes victimes, les lançaient en l'air de manière à
les faire retomber dans la gueule du lion. Toutes tranchées et presque divisées
par les rasoirs, elles passaient par la gorge de ce monstre et tombaient dans
ses larges entrailles, au milieu des reptiles qui fourmillaient dans ce lieu
infect, et exerçaient sur elles leur rage infernale. Elles gravitaient ensuite
vers la partie postérieure où des démons les saisissaient avec des pinces
ardentes, et les tiraient violemment à eux, à travers les rasoirsdont
l'ouverture était bordée, et ce jeu cruel les bourreaux le recommençaient sans
cesse. Ces âmes, irritées et enragées par d'aussi horribles tourments,
hurlaient d'une manière affreuse et proféraient des blasphèmes effroyables. «Hurlez, leurdisaient les esprits infernaux
; hurlez, superbes maudits, qui fîtes si longtemps la guerre au Créateur sur la
terre. Vous avez bien raison de vous désespérer, car vos malheurs ne finiront
jamais».
2° Tourments des réprouvés qui furent sujets
à la colère.
Françoise
remarqua qu'ils étaient punis selon leurs divers degrés de culpabilité ; mais voici une peine qui
leur était commune. Il y avait dans leur prison un serpent d'airain, que le feu
de l'enfer maintenait continuellement embrasé. Sa poi-trine était large, son
cou élevé comme une colonne et sa gueule béante. Dans cette horrible gueule
étaient plantés enforme de croissant de longues et fortes aiguilles, dont les
pointes étaient dirigées vers la gorge de l'animal. Or, les démons, prenant ces
âmes dont nous parlons les lançaient par cette ouverture dans le corps du
monstre ; puis ils les en re-tiraient avec des tenailles ardentes toutes
déchirées par les pointes qu'elles rencontraient à leur sortie. Or, elles
souf-fraient continuellement ce supplice, qui les réduisait à un affreux
désespoir, et leur arrachait les plus effroyables blas-phèmes.
3° Tourments des avares
La bienheureuse vit ensuite les avares dans une fosse remplie de gros
serpents qui avaient des bras. Chacun de ces hideux reptiles s'attachait à un
de ces coupables, que la justice divine leur avait abandonnés. Il lui frappait
la bouche de sa queue, lui déchirait le cœur avec les dents, et l'étreignait
dans ses bras, de manière à l'étouffer, si cela eût été possible ; mais d'autres
démons venaient les arracher à leurs affreux embrassements, avec des tenailles
de fer, qui les déchiraient d'une manière horrible, et allaient les plonger
dans une seconde fosse remplie d'or et d'argent liquéfiés, les accablant de
leurs dérisions et de leurs sarcasmes.
4° Tourments des envieux.
Chacun de ces malheureux était couvert d'un
manteau de flammes, avait un ver venimeux qui lui rongeait le cœur, pénétrait dans sa poitrine,
et, remontant par la gorge se présentait à la bouche, qu'il forçait à ouvrir
convulsivement ; mais un démon l'empêchait de sortir, en serrant avec la main
le cou de la victime, ce qui lui causait d'insupportables étouffe-ments ; et
tandis qu'il l'étouffait ainsi d'une main, il tenait de l'autre une épée dont
il lui perçait le cœur. Un second démon venait ensuite, qui lui arrachait le
cœur de la poitrine, le trempait dans des immondices, et le lui remettait, pour
l'arracher de nouveau, et ainsi sans fin ; et ces traitements barbares étaient
accompagnés de dérisions et de reproches, qui réduisaient ces infortunés à la
rage et au désespoir
5° Tourments des paresseux.
Françoise les vit assis au milieu d'un grand feu, les bras croisés, et la tête inclinée sur les genoux. Leurs sièges étaient de
pierres ; ces pierres étaient cannelées profondément, et leurs cavités remplies
de charbons embrasés : les bancs eux-mêmes étaient tout rouges et la flamme qui
sortait du brasier s'attachait à ces tristes victimes, et les couvraitcomme un
vêtement. Or, les démons, les prenant avec des pinces ardentes, les
renversaient violemment sur ces lits affreux, et les y traînaient en les
tournant et les retournant en toutes manières ; c'était pour les
punir d'avoir perdu le temps.A côté de chacune d'elles était un démon qui, avec un
coutelas, lui fendait la poitrine, et y versait. de l'huile bouillante, et cela
pour les punir d'avoir trop présumé de la miséricorde de Dieu. Il mettait
encore des vers dans leurs plaies, en punition des mauvaises pensées auxquelles
leur oisiveté laissait le champ libre.
6° Tourments des gourmands.
Françoise put contempler aussi les châtiments de la gourmandise. Chaque malheureux, réprouvé pour ce vice avait un démon qui le prenait
par la tête et le traînait sur des charbons ardents, tandis qu'un autre démon,
debout sur lui, le foulait aux pieds avec violence. Ils lui liaient ensuite les
pieds et les mains, et le précipitaient dans une chaudière pleinede poix fondue
; puis, le retirant de là, ils le jetaient dans une autre remplie d'une eau
presque réduite en glace. Ils lui versaient aussi du vin brûlant dans la
bouche, pour le punir des coupables excès qu'il en avait fait pendant la vie.
Pendant ce temps-là, ses bourreaux lui disaient d'un ton ironique : «La peine des gourmands, dans cette demeure, est le superflu chaud et
froid. Voici donc où vous ont conduit vos intempérances, lui disaient d'autres
esprits infernaux. Désormais vous aurez pour nourriture des serpents, et du feu
pour breuvage. »
7° Tourments des luxurieux.
Françoise cherchait des yeux les esclaves de
cette passion honteuse ; on les lui montra. Ils étaient liés à des poteaux de
fer embrasé, et les bourreaux, avec leurs langues ardentes, léchaient toutes
les parties de leurs corps, ce qui les faisait souffrir horriblement. D'autres
démons, avec des tenailles, déchiraient leurs chairs par lambeaux, en punition
de labonne chère qu'ils faisaient dans le monde, ce qui servait à alimenter
toujours davantage leur funeste passion. Sous leurs poteaux étaient des grils
ardents et armés de pointes de fer, auprès desquels étaient couchés d'horribles
serpents. Les démons, attirant brusquement leurs victimes, les faisaient tomber
à la renverse sur ces lits affreux, et les serpents se jetant sur eux, les
mordaient avec une rage inconcevable. Ce supplice était particulier aux adultères.
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