Si
vous connaissiez saint Joseph!, 2 mars 2016, Magazine La Voix de Dieu
Objet :
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[Articol nou] Si vous connaissiez
saint Joseph!
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De :
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La voix de Dieu Magazine -
(donotreply@wordpress.com)
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À :
|
Olivia Marcov ;
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Date :
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Mercredi 2 mars 2016 21h37
|
Articol nou pe blogul "La
voix de Dieu" Magazine -
Si vous connaissiez saint Joseph!
Domenico
De 1945 à 1971, le Seigneur
Jésus a confié d’importantes révélations à Domenico, père de famille romain que
les Editions du Parvis ont édités sous le titre: Je suis votre Dieu –
Ecoutez-Moi!
Ici, Jésus évoque son comportement avec Joseph, son père nourricier.
Joseph lui-même participait à nos
peines et, d’autre part, pour lui aussi je devais agir pour le former dans la
sagesse et le faire grandir dans l’amour. En vrai gardien placé par Dieu entre
Marie et moi, Joseph suivait nos raisonnements, avait pour nous les plus
délicates attentions. Il m’a été cher sur la terre et je vous assure que
maintenant dans le ciel il m’est très cher et je l’ai établi en grande dignité
et très grand honneur. Mon père nourricier,
en effet, a conservé et sublimé le pouvoir qui lui fut donné sur moi et sur ma
Mère. Il me donna du pain sur la terre,
je lui donne une immense gloire dans le ciel. Et Marie le loue souvent comme le
chef-d’œuvre de ma bonté. Ô hommes aveugles! Si vous saviez la grandeur de
Joseph, comme vous vous souviendriez davantage de lui!
Si vous connaissiez Joseph, vous seriez heureux d’expérimenter sa
protection.
Mais malheureusement vous ne le mettez pas à contribution et en cela vous ne me
ressemblez pas, car je voulus avoir besoin de ses soins et de sa protection. Je
sais bien que la grandeur de ma Mère vous a rendus aveugles ou presque pour les
grandeurs de Joseph. Cependant, tous deux me furent très affectionnés et je
les choisis tous deux pour moi et pour vous. Que de fois, je laissai à ma Mère
le soin de la maison pour aider celui qui représentait mon Père sur la terre!
Que de soupirs très ardents et que de marques d’affection de cet élu Joseph
envers le Fils de Marie!
Quand il s’agit de m’enseigner à
travailler, Joseph ne se décidait pas à me donner les premières instructions.
Je lisais dans son âme tous les sentiments d’humilité qui l’empêchaient de me
préparer au travail. Etant donné qu’il se sentait poussé à m’enseigner son
métier, une fois, il s’en ouvrit à Marie et lui manifesta ses sentiments
d’humilité. La Vierge Mère fut pleine de compassion pour Joseph et, mue par un
esprit prophétique, elle lui répondit: «N’aie aucune crainte, Joseph, cet
Enfant doit travailler avec toi, car toi-même tu apprendras de lui beaucoup
plus que tu ne lui enseigneras.» Ainsi fut-il, ainsi je fis. Dans les débuts,
encore timide, Joseph m’utilisait pour de petites choses, puis il me plaça à
côté de lui et je devins son passionné collaborateur. Tandis que je rabotais,
sciais, tapais, je travaillais inlassablement son âme qui, en vérité, répondait
promptement.
Voici un exemple de nos conversations. Joseph, en une certaine occasion, avait du mal à terminer un travail duquel dépendait ce peu de pain qui était nécessaire pour nous trois. Moi, contrairement à mon habitude, je ne le précédai pas au travail: j’attendais ses instructions, mais il m’en donnait peu. Finalement, le travail fut accompli et Joseph, fatigué à cause de la tension et aussi de la peine physique, m’interrogea: «Fils, je te vois changé. Est-ce que mon travail ne te plaît plus?» Je lui répondis: «Il est juste que je t’aide, père, mais cette fois j’ai voulu te faire éprouver ce que tous les hommes devront éprouver, c’est-à-dire de se sentir seuls après avoir reçu tant d’aide de ma part. Et je voudrais que tous accomplissent leur travail, leurs affaires, avec la patience que tu as exercée en cette occasion, et que personne ne laisse ses bonnes entreprises en attente, pour le motif que je ne me rends pas présent. Cher père (et je caressai son front en sueur), tu me connais suffisamment et le privilège que tu as de m’avoir près de toi est garant de mon affection pour toi. Je te dis qu’il me plaît de t’aider, mais je veux exercer beaucoup ton esprit, c’est pourquoi je m’étais un peu retiré.» Alors, deux grosses larmes coulèrent sur le beau visage de Joseph. Je les lui essuyai et je le baisai sur le front.
Mais lui, plus ému qu’auparavant, s’agenouilla à mes pieds et me dit: «Fils, je ne méritais pas l’honneur que tu m’as fait et comment pourrai-je mériter d’être près de toi dans le ciel? Ta Mère, oui, elle est digne. Moi, tu vois, je suis misérable et lent à comprendre.»
Après cette période, je vécus plus à l’écart, car mon Père du ciel m’appelait dans la solitude.
La dernière période de sa vie, Joseph la passa sereinement. Cependant, à la limite des cinquante ans, il tomba sérieusement malade. Ses mains ne pouvaient plus serrer les objets. Une épaule (la gauche) était raidie et douloureuse. L’arthritisme l’avait pris et les soins qui lui furent prodigués ne servirent à rien. Moi, je l’aimais affectueusement et ma Mère aussi. Mais mon Père du ciel l’appelait, aussi tout fut inutile. Ce que je pouvais faire pour lui, c’était d’alléger son mal quand il devenait plus aigu, mais je ne le faisais pas toujours. De sorte que le cœur, longuement éprouvé, ne résista pas et au bout de huit mois, Joseph parvint à sa fin terrestre.
En fait, il était prêt à mourir, en ce sens que son âme avait mûri les fruits que j’avais voulus pour lui. Il n’en manquait qu’un et il devait le mûrir dans l’acte même de sa mort. Mon cher Joseph, après tant de fatigues, de soucis, d’anxiétés et autres, méritait certainement que son trépas advînt avec le réconfort de ma présence. Qui en douterait? Mais il n’advint pas ainsi. Il expira entre les bras de Marie, seule, tandis que j’étais allé prier pour lui. Cela ne vous plaît-il pas qu’il en fut ainsi? Et pourtant, il plut à mon Père et à moi aussi que des choses que vous croyez vraisemblables soient effectivement arrivées de façon différente!
Voici un exemple de nos conversations. Joseph, en une certaine occasion, avait du mal à terminer un travail duquel dépendait ce peu de pain qui était nécessaire pour nous trois. Moi, contrairement à mon habitude, je ne le précédai pas au travail: j’attendais ses instructions, mais il m’en donnait peu. Finalement, le travail fut accompli et Joseph, fatigué à cause de la tension et aussi de la peine physique, m’interrogea: «Fils, je te vois changé. Est-ce que mon travail ne te plaît plus?» Je lui répondis: «Il est juste que je t’aide, père, mais cette fois j’ai voulu te faire éprouver ce que tous les hommes devront éprouver, c’est-à-dire de se sentir seuls après avoir reçu tant d’aide de ma part. Et je voudrais que tous accomplissent leur travail, leurs affaires, avec la patience que tu as exercée en cette occasion, et que personne ne laisse ses bonnes entreprises en attente, pour le motif que je ne me rends pas présent. Cher père (et je caressai son front en sueur), tu me connais suffisamment et le privilège que tu as de m’avoir près de toi est garant de mon affection pour toi. Je te dis qu’il me plaît de t’aider, mais je veux exercer beaucoup ton esprit, c’est pourquoi je m’étais un peu retiré.» Alors, deux grosses larmes coulèrent sur le beau visage de Joseph. Je les lui essuyai et je le baisai sur le front.
Mais lui, plus ému qu’auparavant, s’agenouilla à mes pieds et me dit: «Fils, je ne méritais pas l’honneur que tu m’as fait et comment pourrai-je mériter d’être près de toi dans le ciel? Ta Mère, oui, elle est digne. Moi, tu vois, je suis misérable et lent à comprendre.»
Après cette période, je vécus plus à l’écart, car mon Père du ciel m’appelait dans la solitude.
La dernière période de sa vie, Joseph la passa sereinement. Cependant, à la limite des cinquante ans, il tomba sérieusement malade. Ses mains ne pouvaient plus serrer les objets. Une épaule (la gauche) était raidie et douloureuse. L’arthritisme l’avait pris et les soins qui lui furent prodigués ne servirent à rien. Moi, je l’aimais affectueusement et ma Mère aussi. Mais mon Père du ciel l’appelait, aussi tout fut inutile. Ce que je pouvais faire pour lui, c’était d’alléger son mal quand il devenait plus aigu, mais je ne le faisais pas toujours. De sorte que le cœur, longuement éprouvé, ne résista pas et au bout de huit mois, Joseph parvint à sa fin terrestre.
En fait, il était prêt à mourir, en ce sens que son âme avait mûri les fruits que j’avais voulus pour lui. Il n’en manquait qu’un et il devait le mûrir dans l’acte même de sa mort. Mon cher Joseph, après tant de fatigues, de soucis, d’anxiétés et autres, méritait certainement que son trépas advînt avec le réconfort de ma présence. Qui en douterait? Mais il n’advint pas ainsi. Il expira entre les bras de Marie, seule, tandis que j’étais allé prier pour lui. Cela ne vous plaît-il pas qu’il en fut ainsi? Et pourtant, il plut à mon Père et à moi aussi que des choses que vous croyez vraisemblables soient effectivement arrivées de façon différente!
Du reste, Joseph reste le patron de la bonne mort, parce qu’à la sienne, il
fut consolé par Marie qui me représentait également.
Mais surtout, il est le patron des moribonds, parce que, en mourant, il
fit son plus grand sacrifice en acceptant pleinement la volonté divine qui me
tenait physiquement éloigné de lui. Oh, combien fut précieuse l’acceptation de Joseph à
l’article de la mort!
C’est précisément parce qu’il accepta d’être séparé de moi, lui qui
m’aimait tant, qu’il a reçu le pouvoir de me ramener ces moribonds qui
l’invoquent, confiants dans son aide. Vous devez savoir que je donne à mes
saints le pouvoir d’intervenir de façon bénéfique pour les choses dans
lesquelles ils furent durement éprouvés.
Par conséquent, ma Mère et moi, nous avons pris nos dispositions pour la sépulture dans un endroit qui se trouve à l’est de Nazareth, non loin de la colline où il y a maintenant un édifice dédié à saint Joseph. Son corps n’est plus sur la terre, mais vit déjà au Ciel, où je l’introduisis après ma Résurrection. En effet, il reprit son corps alors que je me présentai aux limbes et il resta avec moi, heureux et glorieux, jusqu’au jour où je montai au ciel en même temps que tous les autres qui étaient en attente de moi dans les limbes.
Par conséquent, ma Mère et moi, nous avons pris nos dispositions pour la sépulture dans un endroit qui se trouve à l’est de Nazareth, non loin de la colline où il y a maintenant un édifice dédié à saint Joseph. Son corps n’est plus sur la terre, mais vit déjà au Ciel, où je l’introduisis après ma Résurrection. En effet, il reprit son corps alors que je me présentai aux limbes et il resta avec moi, heureux et glorieux, jusqu’au jour où je montai au ciel en même temps que tous les autres qui étaient en attente de moi dans les limbes.
«Je suis votre
Dieu», tome 1
Photo: Icône saint Joseph à l’Enfant,
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