Objet :
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[Articol nou] la création d’une âme à
infuser dans l’embryon pour qu’il soit celui d’un homme et non d’un animal,
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De :
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La voix de Dieu Magazine -
(donotreply@wordpress.com)
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À :
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Olivia Marcov ;
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Date :
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Dimanche 20 décembre 2015 22h40
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Articol nou pe "La voix de
Dieu" Magazine -
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la création d’une âme à infuser dans l’embryon pour
qu’il soit celui d’un homme et non d’un animal,
Jésus : (...) Pour eux, les
Limbes pendant des siècles et des siècles jusqu'à la fin du monde. Pour ceux
qui auront cru au Dieu vrai et n'auront pas su être héroïquement saints, le
long Purgatoire; et pour certains, il pourra se terminer à la fin du monde.
Mais après l'expiation et
l'attente, les bons, quelle que soit leur provenance, seront tous à la droite
de Dieu; les mauvais, quelle que soit leur provenance, à la gauche et puis dans
l'Enfer horrible, alors que le Sauveur entrera avec les bons dans le Royaume
éternel. (...)
Extrait des visions de Maria Valtorta "l'Evangile tel qu'il m'a été révélé" - Tome 6 - chapitre 136 -
Page 367-368.
Jésus : (...) Quand sur une couche s'accomplit une conception, elle se forme par
le même acte, qu'elle arrive sur un lit d'or ou sur la litière d'une étable. Et
la créature qui se forme dans un sein royal n'est pas différente de celle qui
se forme dans le sein d'une mendiante. La conception, la formation d'un nouvel
être est la même en tous les points de la Terre quelle que soit la religion des
habitants. Toutes les créatures naissent comme sont nés du sein d'Eve Abel et
Caïn.
Et à l'égalité
de la conception, formation et manière de naître des enfants d'un homme et
d'une femme sur la Terre, correspond une autre égalité dans le Ciel: la création d'une âme à infuser
dans l'embryon pour qu'il soit celui d'un homme et non d'un animal, et qu'elle
l'accompagne du moment qu'elle est créée jusqu'à la mort, et qu'elle survive en
attendant la résurrection générale pour s'unir alors de nouveau au corps
ressuscité et avoir avec lui la récompense ou le châtiment. La récompense ou le
châtiment selon les actions accomplies pendant la vie terrestre.
En effet ne vous imaginez
pas que la Charité puisse être injuste, que seulement parce que beaucoup
n'auront pas appartenu à Israël ou au Christ, tout en pratiquant la vertu dans
la religion qu'ils suivent, convaincus que c'est la vraie, ils doivent rester
éternellement sans récompense.
Après la fin du monde, il ne
survivra pas d'autre vertu que la Charité, c'est-à-dire l'Union avec le
Créateur de toutes les créatures qui auront vécu avec justice. Il n'y aura pas autant de Ciels: un pour Israël, un pour
les chrétiens, un pour les catholiques, un pour les gentils, un pour les
païens. Il n'y aura pas autant de Ciels, mais un seut Ciel, et de même une
seule récompense: Dieu, le Créateur qui se réunit à ses créatures qui auront
vécu dans la justice, dans lesquelles, à cause de la beauté des esprits et des
corps des saints, il s'admirera Lui-Même avec sa joie de Père et de Dieu. Il y
aura un seul Seigneur, pas un Seigneur pour Israël, un pour le Catholicisme, un
pour chacune des autres religions.
Maintenant je vous révèle
une grande vérité. Souvenez-vous-en. Transmettez-la à vos successeurs.
N'attendez pas toujours que l'Esprit Saint éclaire à nouveau les vérités, après
des années ou des siècles d'obscurité. Ecoutez.
Vous direz peut-être:
"Mais alors quelle justice y a-t-il à appartenir à la religion sainte si à
la fin du monde nous sommes traités de la même manière que les gentils?"
Je vous réponds: la même justice qu'il y a, et c'est la vraie justice, pour
ceux qui, tout en appartenant à la religion sainte, ne seront pas bienheureux
parce qu'ils n'auront pas vécu en saints. Un païen vertueux, pour la seule
raison qu'il aura pratiqué une vertu authentique, convaincu que sa religion
était bonne, aura le Ciel à la fin. Mais quand? A la fin du monde, quand des
quatre séjours des trépassés deux seulement subsisteront: à savoir le Paradis
et l'Enfer. Car la Justice, à ce moment-là, ne pourra que conserver et donner
les deux royaumes éternels à ceux qui de l'arbre du libre arbitre auront choisi
les bons fruits ou voulu les fruits mauvais.
Mais quelle attente avant
qu'un païen vertueux arrive à cette récompense!... Vous n'y pensez pas? Et
cette attente, spécialement du moment où la Rédemption avec tous les prodiges
consécutifs se sera produite et où l'Evangile sera annoncé au monde, sera la
purification des âmes qui auront vécu en justes dans d'autres religions mais
n'auront pas pu entrer dans la vraie Foi ayant connu son existence et la preuve
de sa réalité. Pour eux, les Limbes pendant des siècles et des siècles jusqu'à
la fin du monde. Pour ceux qui auront cru au Dieu vrai et n'auront pas su être
héroïquement saints, le long Purgatoire; et pour certains, il pourra se
terminer à la fin du monde.
Mais après l'expiation et
l'attente, les bons, quelle que soit leur provenance, seront tous à la droite
de Dieu; les mauvais, quelle que soit leur provenance, à la gauche et puis dans
l'Enfer horrible, alors que le Sauveur entrera avec les bons dans le Royaume
éternel.
«Seigneur, pardonne-moi si
je ne te comprends pas. Ce que tu dis est très difficile... au moins pour
moi... Tu dis toujours que tu es le Sauveur et que tu rachèteras ceux qui
croient en Toi. Et alors ceux qui ne croient pas, ou parce qu'ils ne t'ont pas
connu ayant vécu auparavant, ou bien parce que - le monde est si grand! - ils
n'ont pas eu connaissance de Toi, comment peuvent-ils être sauvés? demande
Barthélemy.
«Je te l'ai dit: à cause de
leur vie de justes, de leurs œuvres bonnes, de leur foi qu'ils croient vraie.
Barthélemy : «Mais ils n'ont pas eu recours au
Sauveur...
«Mais le Sauveur souffrira pour
eux, pour eux aussi. Tu n'imagines pas, Barthélemy, quelle étendue de valeur
auront mes mérites d'Homme-Dieu?»
«Mon Seigneur, ils sont
toujours inférieurs à ceux de Dieu, à ceux que tu as par conséquent depuis
toujours.
«Juste et pas juste ta réponse.
Les mérites de Dieu sont infinis, dis-tu. Tout est infini en Dieu. Mais
Dieu n'a pas de mérites, en ce sens qu'Il n'a pas
mérité. Il a des attributs, des vertus qui Lui sont propres. Lui est Celui qui est:
la Perfection, l'Infini, le Tout Puissant. Mais pour mériter
il faut accomplir, avec effort, quelque chose qui est au-dessus de notre
nature. Ce n'est pas un mérite de manger, par exemple. Mais cela peut devenir
un mérite de manger avec parcimonie, en faisant de vrais sacrifices pour donner
aux pauvres ce que nous épargnons. Ce n'est pas un mérite de rester silencieux,
mais cela le devient quand on reste silencieux en ne répliquant pas à une offense,
et caetera.
Maintenant tu comprends que
Dieu ne peut se forcer Lui-même, étant Parfait, Infini. Mais l'Homme-Dieu peut
se forcer Lui-même en humiliant l'infinie Nature divine jusqu'aux limites
humaines, en triomphant de la nature humaine qui en Lui n'est pas absente ou
métaphorique mais réelle, avec tous ses sens et ses sentiments, avec ses
possibilités de souffrance et de mort, avec sa volonté libre.
Personne n'aime la mort,
surtout si elle est douloureuse, prématurée et imméritée. Personne ne l'aime,
et pourtant tout homme doit mourir. Aussi on devrait regarder la mort avec le
même calme dont on voit finir tout ce qui a vie. Eh bien, je force :non
Humanité à aimer la mort. Non seulement cela. Moi, j'ai choisi la vie pour
pouvoir avoir la mort. Pour l'Humanité. En effet, en qualité d'Homme-Dieu,
j'acquiers ces mérites qu'en restant Dieu je ne pouvais acquérir. Et avec eux,
qui sont infinis, sous la forme où je les acquiers, à cause de la Nature divine
unie à l'humaine, à cause des vertus de Charité et d'Obéissance par lesquelles
je me suis mis en condition de les mériter, à cause de la Force, de la Justice,
de la Tempérance, de la Prudence, de toutes les vertus que j'ai mises dans mon
cœur pour qu'il soit bien accueilli de Dieu, mon Père, j'aurai une puissance
infinie non seulement comme Dieu, mais comme l'Homme qui s'immole pour tous,
c'est-à-dire qui atteint l'extrême limite de la Charité.
C'est le sacrifice qui donne le
mérite. Plus grand est le sacrifice et plus grand est le mérite. A sacrifice
complet, mérite complet. A sacrifice parfait, mérite parfait. Et il peut servir
selon la sainte volonté de la victime, à laquelle le Père dit: "Qu'il en
soit comme tu veux!" parce qu'elle l'a aimé sans mesure et qu'elle a aimé
le prochain sans mesure.
Voici, c'est Moi qui vous le
dis. Le plus pauvre des hommes peut être le plus riche et faire du bien à une
quantité innombrable de frères s'il sait aimer jusqu'au sacrifice. Moi, je vous
le dis: même si vous n'avez plus une bouchée de pain, un calice d'eau, un lambeau
de vêtement, vous pouvez toujours faire du bien. Comment? En priant et en
souffrant pour les frères. Faire du bien à qui? A
tous. (...)
lavoixdedieu | decembrie 20, 2015 la 8:40 pm |
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