Quand
la lumière devient supportable pour mes yeux, je vois Marie avec son Fils
nouveau-né dans ses bras, La Voix de Dieu 23 decembrie 2015, Maria Valtorta
http://vincent.detarle.perso.sfr.fr/catho/valtorta.htm
Le Cardinal Ratzinger (Benoît XVI)
(ancien Préfet de la Congrégation pour la Doctrine de la Foi) encouragait la lecture des livres de Maria Valtorta »
(ancien Préfet de la Congrégation pour la Doctrine de la Foi) encouragait la lecture des livres de Maria Valtorta »
http://vincent.detarle.perso.sfr.fr/catho/valtorta.htm
Objet :
|
[Articol nou] Quand la lumière devient
supportable pour mes yeux, je vois Marie avec son Fils nouveau-né dans ses
bras
|
De :
|
La voix de Dieu Magazine -
(donotreply@wordpress.com)
|
À :
|
Olivia Marcov ;
|
Date :
|
Mercredi 23 décembre 2015 10h55
|
Articol nou pe "La
voix de Dieu" Magazine -
Quand la lumière devient supportable
pour mes yeux, je vois Marie avec son Fils nouveau-né dans ses bras
Quand la
lumière devient supportable pour mes yeux, je vois Marie avec son Fils
nouveau-né dans ses bras
(...) Marie lève la tête
comme pour un appel du ciel et elle s'agenouille de nouveau. Oh ! comme c'est
beau ici !
Elle lève sa tête qui semble
resplendir de la lumière blanche de la lune, et elle est transfigurée par un
sourire qui n'est pas humain. Que voit-elle ? Qu'entend-elle ?
Qu'éprouve-t-elle ? Il n'y a qu'elle qui pourrait dire ce qu'elle vit,
entendit, éprouva à l'heure fulgurante de sa Maternité.
Je me rends seulement compte
qu'autour d'elle la lumière croit, croit, croit. On dirait qu'elle descend du
Ciel, qu'elle émane des pauvres choses qui l'environnent, qu'elle émane d'elle
surtout.
Son vêtement, d'azur foncé,
a à présent la couleur d'un bleu d'une douceur céleste de myosotis, les mains
et le visage semblent devenir azurés comme s'ils étaient sous le feu d'un
immense et clair saphir. Cette couleur me rappelle, bien que plus légère, celle
que je découvre dans la vision du saint Paradis et aussi celle de la vision de
l'arrivée des Mages. Elle se diffuse surtout toujours plus sur les choses, les
revêt, les purifie, leur communique sa splendeur.
La lumière se dégage
toujours plus du corps de Marie, absorbe celle de la lune, on dirait qu'elle
attire en elle tout ce qui peut arriver du ciel. Désormais, c'est elle qui est
la Dépositaire de la Lumière, celle qui doit donner cette Lumière au monde. Et
cette radieuse, irrésistible, incommensurable, éternelle, divine Lumière qui va
être donnée au monde, s'annonce avec une aube, une diane, un éveil de la
lumière, un chœur d'atomes lumineux qui grandit, s'étale comme une marée qui
monte, monte en immenses volutes d'encens, qui descend comme un torrent, qui se
déploie comme un voile...
La voûte, couverte de
fissures, de toiles d'araignées, de décombres en saillie qui semblent
miraculeusement équilibrées, noire, fumeuse, repoussante, semble la voûte d'une
salle royale. Chaque pierre est un bloc d'argent, chaque fissure une clarté
opaline, chaque toile d'araignée un baldaquin broché d'argent et de diamants.
Un gros lézard, engourdi entre deux blocs de pierre, semble un collier
d'émeraude oublié là, par une reine; une grappe de chauve-souris engourdies
émettent une précieuse clarté d'onyx. Le foin qui pend de la mangeoire la plus
haute n'est plus de l'herbe : ce sont des fils et des fils d'argent pur qui
tremblent dans l'air avec la grâce d'une chevelure flottante.
La mangeoire inférieure, en
bois grossier, est devenue un bloc d'argent bruni. Les murs sont couverts d'un
brocart où la blancheur de la soie disparaît sous une broderie de perles en
relief. Et le sol... qu'est-ce maintenant le sol ? Un cristal illuminé par une
lumière blanche. Les saillies semblent des roses lumineuses jetées sur le sol
en signe d'hommage; et les trous, des coupes précieuses, d'où se dégagent des
arômes et des parfums.
Et la lumière croît de plus
en plus. L'œil ne peut la supporter. En elle, comme absorbée par un voile de
lumière incandescente, disparaît la Vierge... et en émerge la Mère.
Oui, quand la lumière
devient supportable pour mes yeux, je vois Marie avec son Fils nouveau-né dans
ses bras.
Un petit Bébé rose et
grassouillet qui s'agite et se débat avec ses mains grosses comme un bouton de
rose et des petits pieds qui iraient bien dans le cœur d'une rose; qui vagit
d'une voix tremblotante exactement comme celle d'un petit agneau qui vient de
naître, ouvrant la bouche, rouge comme une petite fraise de bois, montrant sa
petite langue qui bat contre son palais couleur de rose; qui remue sa petite
tête si blonde qu'on la croirait sans cheveux, une petite tête ronde que la
Maman soutient dans le creux de l'une de ses mains pendant qu'elle regarde son
Bébé et l'adore, pleurant et riant tout ensemble et qu'elle s'incline pour y
déposer un baiser, non pas sur la tête innocente, mais sur le milieu de la
poitrine sous lequel se trouve le petit cœur, qui bat, qui bat pour nous... là
où un jour sera la blessure. Elle la panse d'avance, cette blessure, sa Maman,
avec son pur baiser d'Immaculée.
Le bœuf éveillé par la
clarté se dresse avec un grand bruit de sabots et il mugit. L'âne relève la
tête et brait. C'est la lumière qui les réveille, mais j'aime penser qu'ils ont
voulu saluer leur Créateur pour eux-mêmes et pour tous les animaux.
Joseph aussi, qui comme
extasié priait avec autant d'intensité qu'il s'était abstrait de tout ce qui
l'entourait, se secoue et entre ses doigts dont il se couvre le visage, il voit
filtrer la lumière étrange. Il découvre le visage, lève la tête, se retourne.
Le bœuf debout, lui cache Marie, mais elle l'appelle : "Joseph,
viens."
Joseph accourt et devant le
spectacle s'arrête comme foudroyé de révérence, il va tomber à genoux là où il
se trouve. Mais Marie insiste : "Viens, Joseph." Elle appuie la main
gauche sur le foin et tenant de la main droite l'Enfant qu'Elle serre sur son
cœur, elle se lève et se dirige vers Joseph qui marche hésitant, pris entre le
désir d'avancer et la peur d'être irrespectueux.
Au pied de la couche les
deux époux se rencontrent et se regardent en pleurant de bonheur.
"Viens" dit Marie
"offrons Jésus au Père."
Pendant que Joseph
s'agenouille, elle, debout, entre les deux poutres qui soutiennent la voûte,
élève sa Créature entre ses bras et dit :
"Me voici. C'est pour
Lui, ô Dieu, que je te dis cette parole. Me voici pour faire ta volonté. Et
avec Lui, moi, Marie et Joseph mon époux. Voici tes serviteurs, Seigneur. Que
soit accomplie par nous, à toute heure et en toute occasion, ta volonté pour ta
gloire et ton amour."
Puis Marie se penche et dit :
"Prends, Joseph" et Elle offre l'Enfant. (...)
lavoixdedieu | decembrie 23, 2015 la 8:55 am | Categories: Uncategorized | URL:http://wp.me/p3PRAU-1fj
Niciun comentariu:
Trimiteți un comentariu