Méditation
quotidienne: La présentation de Jésus au Temple, 29 decembrie 2015-12-29
Objet :
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Méditation quotidienne: La présentation de Jésus au Temple
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De :
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mq_catholiq@medit.catholique.org
(mq_catholiq@medit.catholique.org)
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À :
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Olivia Marcov ;
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Date :
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Mardi 29 décembre 2015 6h46
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La présentation de Jésus au Temple
1ère lecture, 1
Jn 2, 3-11
Mes bien-aimés, voici
comment nous pouvons savoir que nous le connaissons : c'est en gardant ses
commandements. Celui qui dit : « Je le connais », et qui ne garde pas ses
commandements, est un menteur : la vérité n'est pas en lui. Mais en celui qui
garde fidèlement sa parole, l'amour de Dieu atteint vraiment la perfection :
voilà comment nous reconnaissons que nous sommes en lui. Celui qui déclare
demeurer en lui doit marcher lui-même dans la voie où lui, Jésus, a marché. Mes
bien aimés, ce que je vous écris n'est pas un commandement nouveau, mais un
commandement ancien que vous aviez dès le début. Ce commandement ancien, c'est
la parole que vous avez entendue. Et pourtant, ce commandement que je vous
écris est nouveau, il l'est vraiment en Jésus et en vous, puisque les ténèbres
sont en train de disparaître, et que déjà brille la vraie lumière. Celui qui
déclare être dans la lumière et qui a de la haine contre son frère est encore
maintenant dans les ténèbres. Celui qui aime son frère demeure dans la lumière,
et il n'y a pour lui aucune occasion de chute. Mais celui qui a de la haine
contre son frère est dans les ténèbres : il marche dans les ténèbres sans
savoir où il va, parce que les ténèbres l'ont rendu aveugle.
Psaume, Ps 95 (96), 1-2a, 2b-3, 5b-6
Chantez au Seigneur un chant
nouveau, chantez au Seigneur, terre entière, chantez au Seigneur et bénissez
son nom ! De jour en jour, proclamez son salut, racontez à tous les peuples sa
gloire, à toutes les nations ses merveilles ! Lui, le Seigneur, a fait les
cieux : devant lui, splendeur et majesté, dans son sanctuaire, puissance et
beauté.
Evangile selon
St Luc, chapitre 2, 22-35
Quand fut accompli le temps prescrit par la loi
de Moïse pour la purification, les parents de Jésus l’amenèrent à Jérusalem
pour le présenter au Seigneur, selon ce qui est écrit dans la Loi : Tout
premier-né de sexe masculin sera consacré au Seigneur.
Ils venaient aussi offrir le sacrifice prescrit par la loi du Seigneur : un couple de tourterelles ou deux petites colombes.
Or, il y avait à Jérusalem un homme appelé Syméon. C’était un homme juste et religieux, qui attendait la Consolation d’Israël, et l’Esprit Saint était sur lui.
Il avait reçu de l’Esprit Saint l’annonce qu’il ne verrait pas la mort avant d’avoir vu le Christ, le Messie du Seigneur.
Sous l’action de l’Esprit, Syméon vint au Temple. Au moment où les parents présentaient l’enfant Jésus pour se conformer au rite de la Loi qui le concernait, Syméon reçut l’enfant dans ses bras, et il bénit Dieu en disant : « Maintenant, ô Maître souverain, tu peux laisser ton serviteur s’en aller en paix, selon ta parole.
Car mes yeux ont vu le salut que tu préparais à la face des peuples : lumière qui se révèle aux nations et donne gloire à ton peuple Israël. »
Le père et la mère de l’enfant s’étonnaient de ce qui était dit de lui.
Syméon les bénit, puis il dit à Marie sa mère : « Voici que cet enfant provoquera la chute et le relèvement de beaucoup en Israël. Il sera un signe de contradiction ? et toi, ton âme sera traversée d’un glaive ? : ainsi seront dévoilées les pensées qui viennent du cœur d’un grand nombre. »
Ils venaient aussi offrir le sacrifice prescrit par la loi du Seigneur : un couple de tourterelles ou deux petites colombes.
Or, il y avait à Jérusalem un homme appelé Syméon. C’était un homme juste et religieux, qui attendait la Consolation d’Israël, et l’Esprit Saint était sur lui.
Il avait reçu de l’Esprit Saint l’annonce qu’il ne verrait pas la mort avant d’avoir vu le Christ, le Messie du Seigneur.
Sous l’action de l’Esprit, Syméon vint au Temple. Au moment où les parents présentaient l’enfant Jésus pour se conformer au rite de la Loi qui le concernait, Syméon reçut l’enfant dans ses bras, et il bénit Dieu en disant : « Maintenant, ô Maître souverain, tu peux laisser ton serviteur s’en aller en paix, selon ta parole.
Car mes yeux ont vu le salut que tu préparais à la face des peuples : lumière qui se révèle aux nations et donne gloire à ton peuple Israël. »
Le père et la mère de l’enfant s’étonnaient de ce qui était dit de lui.
Syméon les bénit, puis il dit à Marie sa mère : « Voici que cet enfant provoquera la chute et le relèvement de beaucoup en Israël. Il sera un signe de contradiction ? et toi, ton âme sera traversée d’un glaive ? : ainsi seront dévoilées les pensées qui viennent du cœur d’un grand nombre. »
Prières
Prière d'introduction
Me voici en ta présence, Seigneur. Je viens vers toi, aujourd’hui, pour te contempler et pour t’écouter.
Me voici en ta présence, Seigneur. Je viens vers toi, aujourd’hui, pour te contempler et pour t’écouter.
Demande
Jésus, tu es la lumière qui éclaire les nations. La lumière permet de voir. Je veux te voir, Seigneur. Sois la lumière de ma propre vie.
Jésus, tu es la lumière qui éclaire les nations. La lumière permet de voir. Je veux te voir, Seigneur. Sois la lumière de ma propre vie.
Points de
réflexion
1. Le vieux prophète Siméon est la figure de l’attente
d’Israël. Israël attend son Messie et, avec lui, l’accomplissement de toutes
les promesses divines. Siméon a eu l’immense grâce d’accueillir Jésus, le
Messie, dans ses bras, là dans le Temple de Jérusalem. Quelle immense joie
n’a-t-il pas ressentie pour lui-même et pour son peuple ? Cela
représentait tant. On peut facilement imaginer que les larmes lui montaient aux
yeux devant un tel événement. Mais combien de temps avait-t-il attendu avant
que cela ne se réalise ? À la manière de Siméon, nous sommes, nous aussi,
toujours dans l’attente de Dieu, dans l’attente de ses dons, de ses
prévenances. Son exemple nous invite à demeurer dans une attitude d’attente ou
de veille, sans perdre patience ou courage. Dieu vient et ne nous oublie pas.
2. Tout en tenant l’enfant dans ses bras, Siméon adresse
sa prière à Dieu : « Maintenant, Souverain Maître, tu peux,
selon ta parole, laisser ton serviteur s’en aller en paix ; car mes yeux
ont vu ton salut ». Avec la célébration de la fête de la Nativité
de notre Seigneur - il y a quelques jours à peine -, nous pouvons dire
nous aussi que « nous avons vu le salut ». Avec les yeux de la foi,
nous avons reconnu que Jésus est Seigneur. Nous avons reconnu que Jésus nous
libère de tout ce qui nous enchaîne, notamment de notre propre péché. Nous
savons désormais que le mal n’aura jamais le dernier mot. Nous aussi, nous
sommes prêts à « mourir en paix », puisque nous savons en qui nous
avons mis notre espérance et que cette espérance ne déçoit pas (Cf. Rm 5, 5).
3. Marie, la Mère de l’Enfant-Messie est celle qui entend
ces paroles si mystérieuses et fortes concernant son Fils : « Vois !
Cet enfant doit amener la chute et le relèvement d’un grand nombre en
Israël ; il doit être un signe en butte à la contradiction ».
Oui, Jésus est la pierre d’angle du royaume de Dieu. Il est le Messie. Il est
celui qui nous révèle le vrai visage de Dieu. Le Dieu-fait-homme est la réponse
à toutes les aspirations humaines. Mais le monde sait-il le reconnaître et
l’accueillir ? Prions pour les hommes et les femmes qui n’ont encore
jamais rencontré Jésus.
Dialogue
avec le Christ
Jésus, tu m’as fait la grâce d’avoir la foi et de t’avoir reconnu comme mon Seigneur et mon Dieu. Je te confie aujourd’hui tous mes proches, spécialement ceux qui avancent sur le chemin de la vie loin de toi ou sans toi. Révèle-toi à eux, au plus profond de leur cœur.
Jésus, tu m’as fait la grâce d’avoir la foi et de t’avoir reconnu comme mon Seigneur et mon Dieu. Je te confie aujourd’hui tous mes proches, spécialement ceux qui avancent sur le chemin de la vie loin de toi ou sans toi. Révèle-toi à eux, au plus profond de leur cœur.
Résolution
Avec la même attitude d’attente et de patience que Siméon, je prierai aujourd’hui un « Notre Père » à l’attention de mes proches qui n’ont pas la foi.
Avec la même attitude d’attente et de patience que Siméon, je prierai aujourd’hui un « Notre Père » à l’attention de mes proches qui n’ont pas la foi.
Cette
méditation a été écrite par Emanuelle Pastore, consacrée de Regnum Christi
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