05/02/2017 – 08h45 Larwick (Breizh-Info.com) – Les vikings sont de retour! Le festival « Up Helly Aa » ,organisé chaque dernier mardi de janvier depuis plus de 30 ans, attire de plus en plus d’adeptes . En effet, des milliers de personnes se sont retrouvées dans les rues de Larwick, mardi 31 janvier 2017, afin de poursuivre cette tradition. A l’origine, les habitants des îles Shetland, situés entre l’Ecosse et la Norvège, entendaient créer un contrepoids culturel aux festivités de Noël et du Nouvel an.
Le festival « Up Helly Aa » est l’une des fêtes du feu les plus spectaculaires au monde. Et l’engouement est tel que la clôture du festival, a même été diffusée en direct sur Internet. A l’image du Puy du Fou, du Muséoparc d’Alésia en Bourgogne ou encore du festival interceltique de Lorient mais aussi du succès de la marche de sainte Geneviève à Paris, la tendance en Europe est bel et bien de renouer avec nos patries charnelles.
Les Shetland sont des îles britanniques situées en Écosse. Elles forment un archipel subarctique, au nord des Orcades, au sud-est des îles Féroé et à l’ouest de la Norvège, entre l’océan Atlantique à l’ouest et la mer du Nord à l’est. Ces îles constituent l’une des 32 Council Areas de l’Écosse, l’une des circonscriptions électorales du parlement écossais, ainsi qu’une régions de lieutenance d’Écosse et un ancien comté et une ancienne région d’Écosse (du 15 mai 1975 au 31 mars 1996 ), avec le statut particulier de région insulaire.
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05/02/2017 – 08h15 Nantes (Breizh-Info.com) – Politique et économie ne font pas bon ménage, en voilà encore une illustration. Inauguré en octobre 2014 comme fleuron du nouveau Malakoff réaménagé et, selon la mairie, « apaisé », l’Intermarché de la place Rosa Parks est menacé de fermeture d’ici le début de l’été. Près de 25 salariés risquent de rester sur le carreau, ainsi que l’aménagement commercial à venir du quartier.
Avec ses 1650 m², il est bien trop gros pour l’usage qu’en font les gens du quartier, qui y font leurs courses de dépannage. Pour les grosses courses, ils préfèrent toujours les centres commerciaux de périphérie ou le Carrefour Beaulieu, assez proche. Selon nos informations, à ce manque de rentabilité s’ajoute aussi une insécurité endémique – et fort logique, puisqu’elle bénéficie depuis des années d’une impunité presque totale, même quand les délinquants en viennent à se tirer dessus.
Par ailleurs, l’Intermarché devait être la « locomotive » de l’aménagement commercial de la place, où devaient s’implanter prochainement un épicier, un boucher et un coiffeur. Ces projets risquent fort d’être remis en cause, et la place devenir un espace vide et bétonné. A l’image d’un quartier livré à la guerre des gangs et où (une fois de plus) la très coûteuse modernisation architecturale n’a soigné que les façades, et non les profondes blessures sociales. Les façades, ça se voit, et ça peut faire un bilan électoral. Pour le reste, 3 km à peine – séparent la mairie centrale de Nantes de Malakoff. Deux mondes.
L.B.G
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Les éditions Eyrolles publient un ouvrage fort sympathique et instructif, à quelques mois de l’élection présidentielle : « les présidents, de 1870 à nos jours », par Raphaël Piastra.
De Thiers à Hollande, ce livre propose un panorama chronologique et illustré des présidents de la République française. Chacun d’eux fait l’objet d’un article détaillé qui décrit son parcours, sa sensibilité politique, ses projets et ses réalisations. Des anecdotes illustrent l’exposé de façon vivante. La reproduction des portraits officiels contribue à rendre attrayant cet ouvrage. Synthèse de référence, il insiste sur l’évolution de la Constitution et sur celle du rôle de président, plus ou moins présent et populaire.
A la veille de l’élection de notre 25ème président, depuis 1870 et l’avènement de la Troisième République, il s’agit d’une galerie pédagogique et critique des présidents de la République
Patrice de Mac-Mahon, le militaire, Jules Grévy, Marie-François Sadi Carnot, premier grand diplômé à l’Élysée, Jean Casimir-Perrier -président « intérimaire »-.
Émile Loubet, héraut de la république radicale, Armand Fallières, le « patriarche de la République », Raymond Poincaré,Alexandre Millerand, le populaire Gaston Doumergue, Paul Doumer, Albert Lebrun -dernier président d’une république agonisante-.
René Coty, Georges Pompidou, l’héritier classique, Valéry Giscard d’Estaing, le libéral avancé, Jacques Chirac, l’héritier moderne…
Près de cent-cinquante ans de présidence, le temps de trois républiques, et un même titre pour des fonctions fort inégales et des titulaires plus ou moins présents, populaires, légitimes. Quelle commune mesure, en effet, entre Paul Deschanel -et sa présidence d’égarement- et Charles de Gaulle, le fondateur, Félix Faure, le « président-soleil », et François Mitterrand, l’homme du changement, Vincent Auriol, l’arbitre, et Nicolas Sarkozy, à la présidence si atypique ?
Un livre qui permet à chacun d’entretenir, ou d’enrichir sa culture générale, et de la transmettre autour de soi. Il est en effet fondamental de comprendre d’où viennent les institutions et ceux qui les dirigent, et pourquoi nous en sommes là aujourd’hui.
Raphaël Piastra est docteur en droit public de l’université Paris l-Panthéon-Sorbonne, maître de conférences à l’université d’Auvergne, habilité à diriger des recherches
Les Présidents, de 1870 à nos jours – Raphaël Piastra – 10€
Photo : DR [cc] Breizh-info.com, 2017 Dépêches libres de copie et diffusion sous réserve de mention de la source d’origine
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05/02/2017 – 04h15 Ancenis (Breizh-Info.com) – Suite à la découverte le 17 janvier dernier d’un cygne mort près d’Ancenis, sur le territoire de la commune nouvelle de Vair-sur-Loire (issue de la fusion d’Anetz et de Saint-Herblon), la préfecture a annoncé le 24 janvier la mise en place d’une zone de contrôle temporaire et demandé aux propriétaires particuliers de volailles de les confiner. Cette zone de contrôle est levée.
En l’absence de propagation du virus H5N8 aux élevages, le dispositif est levé. Cependant comme partout en France, les élevages professionnels restent dans l’obligation de confiner leurs volailles, canards et autres oies ou pintades.
Des mesures décriées par les éleveurs : « l’Etat fait tout pour nous empêcher de travailler. Nous sommes écrasés de normes, de charges et d’impôts, et en plus il y a ça. Il faut savoir que les canards sont porteurs sains du virus, que les poules en revanche en meurent d’elles-mêmes très rapidement, mais qu’elles ne le transmettent pas à l’homme. Il n’y a que si elles le transmettent à un cochon, et que si ensuite le virus mute chez le cochon, qu’il peut être potentiellement dangereux pour les humains. Cela fait quand même beaucoup de si… », s’exclame une éleveuse de poules du centre de la Loire-Atlantique.
Qu’à cela ne tienne, plus d’un million de canards et d’oies ont déjà été abattus au nom du principe de précaution, et la liste des communes concernées – 361 à ce jour – ne cesse de s’étendre, en pure perte car le virus progresse aussi dans les élevages du Sud-Ouest.
Louis-Benoît Greffe
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04/02/2017 – 18h15 Saint-Herblain (Breizh-Info.com) – Pour les cars départementaux, les entreprises de transport et même les opérateurs de transport en commun urbains, les siphonnages de carburants sont une plaie contre laquelle, hélas, les réponses pénales sont bien souvent insuffisantes, les voleurs étant discrets, rapides et nocturnes. Ces vols peuvent aller jusqu’àperturber durablement certaines dessertes, comme la ligne Lila 71 (Nantes-Bouvron-Blain) en 2014.
Cependant, parfois des voleurs se font prendre sur le fait. Mardi 31 janvier, un riverain signale à la police un vol de carburant en cours sur un bus garé devant la caserne de pompiers de Saint-Herblain. Un lieu où même la nuit, il y a du passage.
Arrivée sur place, la BAC voit un homme au niveau du réservoir, en train de remplir un bidon, pendant qu’un autre amène un second récipient depuis un véhicule garé auprès. Elle interpelle les deux hommes, âgés de 27 et de 41 ans, qui affirment avoir volé pour remplir leur réservoir de voiture, presque vide. Selon nos informations, les deux interpellés sont défavorablement connus de la justice. Ils devraient être mis en cause pour vol en réunion.
L.B.G
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04/02/2017 – 13h15 Budapest (Breizh-Info.com Via Visegrad Post ) – Hongrie, Budapest – La Hongrie et la Russie sont forcées de travailler ensemble dans un «environnement international difficile», du fait que les politiques anti-russes sont devenues populaires en Europe occidentale, a déclaré le premier ministre hongrois Viktor Orbán lors d’une conférence de presse conjointe avec le président russe Vladimir Poutine à Budapest le jeudi 2 février.
Orbán : La Hongrie et la Russie sont obligées de coopérer dans un « environnement international difficile »
En ce qui concerne les sanctions de l’Union européenne contre la Russie, M. Orbán a déclaré que la Hongrie avait subi 6,5 milliards de dollars de pertes en raison des sanctions. Viktor Orbán a déclaré qu’il était erroné de transférer des conflits de nature non économique au domaine de l’économie, arguant que de tels problèmes ne peuvent être résolus par des moyens économiques.
Il a déclaré que la coopération entre la Hongrie et la Russie était méritait d’être « chérie ».
Orbán : Les entreprises hongroises de l’industrie de l’eau obtiennent des débouchés en Russie
Après les entreprises agricoles hongroises, les entreprises de l’industrie de l’eau auront également la possibilité d’investir et de se développer en Russie dans la mesure où elles sont compétitives, a déclaré le Premier ministre Viktor Orbán.
M. Orbán a déclaré que cela représentait une percée en terme de commerce extérieur. «Grâce aux efforts déployés ces dernières années, et des risques ont également été pris, nous avons réussi à sauver et protéger les relations russo-hongroises autant que possible et nous avons une bonne position de départ pour le moment à venir où le monde retournera à la logique de la coopération, et l’économie hongroise pourra démarrer avec de bonnes bases sur le marché russe », a-t-il dit.
Poutine : l’expansion de la centrale de Paks au premier rang des négociations
L’expansion de la centrale nucléaire de Paks avec deux nouveaux réacteurs a été l’un des principaux thèmes des pourparlers avec le premier ministre Viktor Orbán, a déclaré le président russe Vladimir Poutine.
Vladimir Poutine a déclaré lors de la conférence de presse conjointe après son entretien avec Viktor Orbán que la coopération économique était une question prioritaire et la construction de deux nouveaux blocs à Paks a été à l’ordre du jour. Le projet d’investissement de 12 milliards d’euros permettra de créer 10.000 nouveaux emplois, a-t-il ajouté.
Le président russe a ensuite déclaré que les moyens de renforcer les échanges commerciaux et les investissements mutuels ont également été discutés.
La Hongrie et la Russie entameront des négociations sur l’approvisionnement en gaz après 2021
La Hongrie et la Russie devraient entamer des pourparlers sur l’extension des accords de fourniture de gaz entre les deux pays au-delà de 2021, a déclaré le premier ministre Orbán.
Viktor Orbán a déclaré que la plupart des obstacles à la coopération nucléaire entre les deux pays ont été supprimés, en ce qui concerne la modernisation de la seule centrale nucléaire hongroise de Paks, qui est financée par un prêt de la Russie. Il a insisté pour que les accords bilatéraux sur le projet soient conformes aux règles de l’Union européenne.
L’UE va bientôt prendre une décision sur la seule question restée en suspens, concernant les aides d’État, dans le cadre du projet, a-t-il dit. Les travaux préparatoires sur la mise à niveau devraient démarrer plus tard cette année, avec la mise en œuvre effective du projet prévue pour commencer l’année prochaine, a déclaré le premier ministre.
M. Poutine a souligné l’engagement de son pays à fournir du gaz à la Hongrie avec «100 pour cent de fiabilité».
Le chef du Kremlin a expliqué ensuite que l’arrêt de la livraison de gaz via l’Ukraine n’est pas une décision d’ordre politique. Si l’itinéraire est fiable et il est logique de l’utiliser, et la Russie fournira alors son gaz via l’Ukraine, a-t-il dit. La Hongrie dispose de moyens techniques pour recevoir du gaz via le gazoduc Nord Stream 2 via l’Autriche ou la Slovaquie, a noté également Vladimir Poutine.
Orbán : des relations équilibrées avec la Russie sont une condition nécessaire pour la paix en Europe
Le premier ministre Viktor Orbán a déclaré qu’il voyait une opportunité de développer des relations équilibrées et stables entre l’Union européenne et la Russie, ce qui, a-t-il développé, était une condition préalable à la paix en Europe. « Il y a dans l’air » une transformation majeure du monde, a déclaré M. Orbán.
Cette transformation créera de meilleures conditions pour la coopération euro-russe, y compris pour la coopération hongro-russe, par rapport à « ce qui a été vécu ces dernières années », a-t-il rajouté.
M. Orbán a déclaré qu’une Ukraine prospère et stable serait dans l’intérêt de la Hongrie, et que le point de départ pour cela est la paix. Une paix qui devrait selon le premier ministre hongrois se mettre en place conformément aux accords de Minsk, qui, a-t-il dit, comprennent des éléments d’une importance vitale pour les Hongrois vivant en Ukraine.
Poutine: la Hongrie est un partenaire stable
La Hongrie est un partenaire fiable, stable et solvable, a déclaré le président russe Vladimir Poutine lors de la conférence de presse. « Il est de notre intérêt de coopérer », a déclaré Poutine. «Nous trouverons un moyen de mettre en œuvre les approvisionnements en gaz. Je voudrais dépolitiser les questions purement économiques. »
« Je tiens à souligner que nous n’excluons aucune voix [d’approvisionnement en gaz] », a-t-il ajouté, ajoutant que même la Bulgarie peut entrer en jeu après avoir cédé à la pression de la Commission européenne. « Si elle reconsidère sa position, nous pourrions renégocier la question. Mais je voudrais des assurances que les entreprises russes ne vont pas subir des pertes à cause de décisions inconsidérées. »
M. Poutine a souligné l’importance du dialogue, aussi bien avec Bruxelles que bilatéralement. Le président russe a déclaré que, au cours des trois dernières années, le chiffre d’affaires du commerce bilatéral avait diminué de moitié et que les investissements avaient également diminué. Pour promouvoir les investissements et le commerce, les deux pays vont intensifier la coopération dans le secteur de l’énergie, a-t-il fait savoir.
M. Poutine a déclaré que la Russie attribuait une grande importance à l’expansion de la centrale nucléaire de Paks. L’investissement de 12 milliards d’euros couvrant la construction des deux nouveaux réacteurs de l’usine créera 10.000 nouveaux emplois en Hongrie, a-t-il dit.
En ce qui concerne les accords de fourniture de pétrole et de gaz naturel entre les deux pays, M. Poutine a souligné que la Hongrie obtient la plus grande partie de son gaz et de son pétrole de Russie. La Hongrie sert également de pays de transit pour la livraison à d’autres pays, a-t-il souligné. Le président a ajouté que la société hongroise de pétrole et de gaz MOL prévoit de stimuler la production dans ses champs en Russie.
M. Poutine a déclaré également que la Hongrie et la Russie avaient accepté de renforcer la coopération dans les zones industrielles à forte intensité technologique.
Il a été mentionné un contrat de trains pour le métro de Budapest et que des partenaires commerciaux russes et hongrois avaient lancé des offres conjointes pour fournir des wagons de chemin de fer à des pays tiers. M. Poutine a également noté la présence d’entreprises hongroises dans les industries pharmaceutiques et agricoles de Russie.
Il a salué la coopération bilatérale dans les domaines de la culture, de la science et de l’éducation, notant que de plus en plus de Hongrois étaient intéressés d’apprendre le russe.
Sur un autre sujet, M. Poutine a déclaré que Viktor Orbán et lui étaient d’accord sur la nécessité de renforcer la coopération dans la lutte contre le terrorisme international. « Nous convenons de la nécessité d’unifier nos efforts », a déclaré M. Poutine.
Il a ajouté qu’il avait informé M. Orbán de la position de la Russie à propos de la situation dans l’est et le sud-est de l’Ukraine, ainsi que des événements au Moyen-Orient. M. Poutine a exprimé son espérance de voir la résolution des problèmes au Moyen-Orient contribuer à l’assouplissement de la crise migratoire en Europe. « Nous travaillons avec nos partenaires hongrois dans les domaines susmentionnés », a déclaré M. Poutine.
Le président russe a accusé Kiev pour la récente escalade des combats dans l’est de l’Ukraine. Il a soutenu que le gouvernement ukrainien cherchait à se présenter comme une victime de la récente flambée de violence afin de gagner le soutien financier de l’Ouest. M. Poutine a également insisté sur le fait que les politiques économiques et sociales du pays avaient échoué. Le gouvernement ukrainien, a-t-il ajouté, essayait d’utiliser le conflit comme un moyen de faire taire son opposition.
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