Notre-Dame
d’Aiguebelle, la boisson tonifiante des moines cisterciens aux 52 plantes, l’
Alexion. La Chartreuse Verte.
-
ca urmare a documentarelor
pe care le-am vizionat ieri seara ! –
Ieri seara, tarziu, adica se facuse noapte, i-am povestit
tatalui meu despre bautura tonica si tonifianta preparata de calugarii
cistercieni de la manastirea Notre-Dame
d’Aiguebelle ( din Franta ), alcatuita din 52 de plantes.
Iar astazi am cautat pe internet, deoarece tata, spre
surprinderea mea ( el este intotdeauna inchis in el si extrem de rezervat ) m-a
intrebat “Cat costã ?”, cu privire la
aceasta bautura din 52 de plante, care, este foarte bine sa se consume iarna
cand organismul are nevoie de vitamine si intarire.
Astazi i-am aratat lui tata faptul ca am gasit pe internet
bautura cu pricina.
De asemenea, ieri seara am vizionat alte doua
documentare- cu totul, toate cele trei filme documentare, erau fiecare de cate
26 de minute ! – dintre care unul despre un lichior de culoare verde, preparata
dupa o reteta veche si secreta, scrisa pe un pergament, datata din 1605, a unui
Maresal, d’Estree. Calugarii numiti “chartreux”, de la manastirea Chartreuse
pregatesc in secret acest lichior de 55 sau ( pana in ) 55,2 grade, a carui faima s-a dus pana
departe, astfel lichiorul a fost mentionat in romanele unor scriitori, in
filme, sau chiar in benzi desenate, si o formatie rock canta despre culoarea
verde a acestui lichior, numit « La
Chartreuse Verte ».
Lichiorul contine 130 de plante, dar mai mult de atat nu
se cunoaste despre el, si modul de preparare, proportiile, cantitatile
plantelor, felul in care sunt amestecate, si tot ce tine de pregatirea
lichiorului – sunt pastrate in mare, mare secret, pana astazi.
La Paris o zi pe an este dedicata in intregime
iubitorilor acestui lichior si colectionarilor de lichioruri mai mult sau mai
putin asemanatoare.
Doi tineri, un baiat si o fata, erau veniti din Rusia sa
deguste acest lichior, intr-o astfel de zi la Paris, iar tanarul spunea ca el
cunoaste existenta acestui lichior din familia sa.
Mai jos am
strans la un loc cateva date, culese pe internet, despre “Alexion” mai intai, bautura
tonica a calugarilor cistercieni, din 52 de plantes, care nu contine alcool si
nici conservanti, si separat Istoria lichiorului verde La Chartreuse Verte si a
ordinului calugarilor numiti “chartreux”.
*******
http://www.boutiques-theophile.com/details_-nbsp-alexion-boisson-aux-52-plantes,4048.html
Depuis
des siècles, les moines ont su
utiliser les dons offert par la nature ; aujourd’hui, les Trappistes d'Aiguebelle préparent l’Alexion, une boisson sans
alcool ni conservateurs, fortifiante et reconstituante, à base de 52 plantes. Riche en
vitamines et en sels minéraux, l’Alexion est
spécialement recommandée dans les moments de fatigue ; elle favorise un bon
rétablissement en période de convalescence et permet aussi de soutenir un
surcroît d’efforts.
A prendre à jeun, à raison d’un demi-verre,
le matin et le midi 1//2 heure avant les repas pendant 2 à 3 semaines.
à partir de :
11,80 €
Alexion
Boisson aux 52 plantes
16-SDC436
16-SDC436
75 cl
3760011590019
6 bouteilles
67,50 €
Alexion
Boisson aux 52 plantes
16-SDC430
16-SDC430
Depuis
des siècles, les moines ont su utiliser les dons offert par la nature ;
aujourd’hui, ils préparent l’Alexion, une boisson sans alcool ni conservateurs,
fortifiante et reconstituante, à base de 52 plantes. Riche en vitamines et en
sels minéraux, l’Alexion est spécialement recommandée dans les moments de
fatigue ; elle favorise un bon rétablissement en période de convalescence
et permet aussi de soutenir un surcroît d’efforts.
A
prendre à jeun, à raison d’un demi-verre, le matin et le midi 1//2 heure avant
les repas pendant 2 à 3 semaines.
75 cl
3760011590019
1 bouteilles
11,80 €
Alexion
Boisson aux 52 plantes
16-SDC432
16-SDC432
75 cl
3760011590019
2 bouteilles
22,90 €
Alexion
Boisson aux 52 plantes
16-SDC433
16-SDC433
75 cl
3760011590019
3 bouteilles
34,50 €
***
La chartreuse verte :
https://www.chartreuse.fr/
https://www.chartreuse.fr/histoire/histoire-des-liqueurs/
HISTOIRE
DES LIQUEURS
Le Maréchal d’Estrées
En 1605, le maréchal d’Estrées remet
aux moines de la Chartreuse de Vauvert, à Paris, un manuscrit révélant la
formule d’un « élixir » (contenant la quasi-totalité des plantes
médicinales de l’époque), dont nul ne sait l’origine.
A cette époque, en effet, seuls les moines et les apothicaires possèdent les connaissances nécessaires au travail des plantes.
A cette époque, en effet, seuls les moines et les apothicaires possèdent les connaissances nécessaires au travail des plantes.
En
1611, le Cardinal de Richelieu remercie avec chaleur le Révérend Père de la
Chartreuse de Paris ;
celui-ci lui avait envoyé un bézoard l’ayant soulagé d’une « fâcheuse
maladie ».
(bézoard
: pierre
trouvée dans l’appareil digestif de certains animaux, à laquelle on attribuait
des vertus médicinales).
Trop complexe, la recette de cet élixir – surnommé « Elixir de longue vie » –
semble n’avoir été que partiellement utilisée pendant plusieurs décennies à
Paris.
En 1737, le Monastère de la Grande-Chartreuse (proche de la ville de Grenoble) décide d’en faire une étude exhaustive. L’apothicaire de la Grande-Chartreuse, Frère Jérôme Maubec, est chargé de cette tâche. Il parvient à fixer définitivement la formule de ce qui devient l’Elixir Végétal de la Grande-Chartreuse.
En 1737, le Monastère de la Grande-Chartreuse (proche de la ville de Grenoble) décide d’en faire une étude exhaustive. L’apothicaire de la Grande-Chartreuse, Frère Jérôme Maubec, est chargé de cette tâche. Il parvient à fixer définitivement la formule de ce qui devient l’Elixir Végétal de la Grande-Chartreuse.
Sur les marchés
La commercialisation de l’Elixir est alors très limitée :
c’est Frère Charles qui, à dos de mulet, va le vendre sur les marchés de
Grenoble et de Chambéry.Toujours fabriqué selon les mêmes indications, cet
« Elixir de longue vie » est connu aujourd’hui sous le nom de
« Elixir Végétal de la Grande-Chartreuse ». Il titre 69°.La
Chartreuse Verte, 55° dite « Liqueur de santé », est mise au point en
1764. Son succès est immédiat, mais limité à la région dauphinoise.
La Révolution française de 1789 disperse les moines. En 1793, par mesure de prudence, on fait exécuter une copie du précieux manuscrit que garde le seul religieux autorisé à rester au Monastère, un autre chartreux conservant toujours sur lui l’original.
Arrêté puis envoyé à Bordeaux, ce dernier trouve le moyen de faire passer hors de sa cellule le document à un de ses amis Dom Basile Nantas.
La Révolution française de 1789 disperse les moines. En 1793, par mesure de prudence, on fait exécuter une copie du précieux manuscrit que garde le seul religieux autorisé à rester au Monastère, un autre chartreux conservant toujours sur lui l’original.
Arrêté puis envoyé à Bordeaux, ce dernier trouve le moyen de faire passer hors de sa cellule le document à un de ses amis Dom Basile Nantas.
Une commission des remèdes secrets
Convaincu que l’Ordre ne se rétablirait jamais en France,
incapable lui-même de faire usage du secret, il vend la recette à un pharmacien
de Grenoble, Monsieur Liotard. Celui-ci ne produira jamais l’Elixir.
En 1810, l’Empereur Napoléon Ier décidant que les « remèdes secrets » doivent être soumis au ministre de l’Intérieur pour être examinés afin d’être exploités par l’Etat, Monsieur Liotard adresse le manuscrit au ministère; on le lui retourne avec la mention « Refusé », car étant déjà connu, l’Elixir ne pouvait plus être considéré comme « secret » !
A la mort de Monsieur Liotard, les documents reviennent au Monastère de la Grande-Chartreuse que les moines ont regagné en 1816.
En 1838, une nouvelle liqueur voit le jour : la « Mélisse », dont le nom deviendra Chartreuse Blanche en 1840. Elle sera produite de 1838 à 1880 et de nouveau de 1886 à 1900.
Et en 1838, la formule de la Chartreuse Verte sera adaptée pour produire une liqueur plus douce et moins alcoolisée, la « Chartreuse Jaune », rapidement surnommée « la Reine des Liqueurs ». En 1903, les chartreux sont expulsés de France. Ils emportent leur secret et implantent une distillerie à Tarragone en Espagne pour la fabrication de la liqueur. Liqueur qu’ils fabriqueront également à Marseille dés 1921 et jusqu’en 1929, sous le nom de « Tarragone ».
En 1810, l’Empereur Napoléon Ier décidant que les « remèdes secrets » doivent être soumis au ministre de l’Intérieur pour être examinés afin d’être exploités par l’Etat, Monsieur Liotard adresse le manuscrit au ministère; on le lui retourne avec la mention « Refusé », car étant déjà connu, l’Elixir ne pouvait plus être considéré comme « secret » !
A la mort de Monsieur Liotard, les documents reviennent au Monastère de la Grande-Chartreuse que les moines ont regagné en 1816.
En 1838, une nouvelle liqueur voit le jour : la « Mélisse », dont le nom deviendra Chartreuse Blanche en 1840. Elle sera produite de 1838 à 1880 et de nouveau de 1886 à 1900.
Et en 1838, la formule de la Chartreuse Verte sera adaptée pour produire une liqueur plus douce et moins alcoolisée, la « Chartreuse Jaune », rapidement surnommée « la Reine des Liqueurs ». En 1903, les chartreux sont expulsés de France. Ils emportent leur secret et implantent une distillerie à Tarragone en Espagne pour la fabrication de la liqueur. Liqueur qu’ils fabriqueront également à Marseille dés 1921 et jusqu’en 1929, sous le nom de « Tarragone ».
Les Drames
Pendant cette même période, l’Etat français vend leur
marque à un groupe de liquoristes qui créent la « Compagnie Fermière de la
Grande Chartreuse ». Cette société, dont la production n’a rien à voir
avec la vraie Chartreuse, cesse ses activités en 1929.
Les moines retrouvent alors l’usage de l’appellation Chartreuse; ils reprennent la distillation en France, dans leur ancienne distillerie de Fourvoirie, proche du Monastère de la Grande Chartreuse.Ces bâtiments sont détruits en 1935 par un éboulement de terrain. La fabrication est alors transférée à VOIRON, où elle est toujours réalisée, après le travail de sélection des plantes effectué à l’intérieur même du Monastère.
Les moines retrouvent alors l’usage de l’appellation Chartreuse; ils reprennent la distillation en France, dans leur ancienne distillerie de Fourvoirie, proche du Monastère de la Grande Chartreuse.Ces bâtiments sont détruits en 1935 par un éboulement de terrain. La fabrication est alors transférée à VOIRON, où elle est toujours réalisée, après le travail de sélection des plantes effectué à l’intérieur même du Monastère.
C’est la société CHARTREUSE DIFFUSION (Voiron)
qui, depuis 1970, est chargée du conditionnement, de la
publicité et de la vente des produits élaborés par deux chartreux.
Investis de cette mission par leur Ordre, deux moines travaillent dans le plus grand secret et sont seuls à connaître les détails de la production. Aujourd’hui comme hier, la formule reste un mystère que les méthodes modernes d’investigation n’ont pu percer.
Investis de cette mission par leur Ordre, deux moines travaillent dans le plus grand secret et sont seuls à connaître les détails de la production. Aujourd’hui comme hier, la formule reste un mystère que les méthodes modernes d’investigation n’ont pu percer.
Une si longue histoire…
- - Un manuscrit donné en 1605,
- - Un élixir
mis définitivement au point en 1737,
- - La
« Verte », élaborée en 1764, – la « Jaune » en 1838,
- - la liqueur
de Mélisse de 1838 à 1840 qui devient
- - La
Chartreuse Blanche de 1840 à 1880 puis de 1886 à 1900.
- - Mais aussi
la Chartreuse faite à Tarragone de 1904 à 1989, surnommée » La
Tarragone « …et les « Verte » et » Jaune »
faites à Marseille de1921 à 1929 appelées » Tarragone »…
- - La
« V.E.P. » (Vieillissement Exceptionnellement Prolongé) en1963,
- - La
« Liqueur des Jeux Olympiques » en 1968,
- - La « 9ème Centenaire » en 1984,
- -
« L’Episcopale du 3ème millénaire » en 2000,
- - La 1605
célébrant le 400ème anniversaire de la remise de la recette (2005)
- - Enfin, en
2008, la « Meilleurs Ouvriers de France Sommeliers ».
Toutes ces liqueurs, basées sur le
manuscrit de 1605 du Maréchal d’Estrées, ont été élaborées par les Pères
Chartreux; leur commercialisation permet à leur communauté de survivre et de continuer
à prier dans le silence et la solitude, selon l’inspiration de Saint Bruno.
***
https://www.chartreuse.fr/histoire/histoire-de-lordre-des-chartreux/
HISTOIRE
DE L’ORDRE DESCHARTREUX
Fondé en 1084,
l’Ordre des chartreux est l’un des très anciens ordres
monastiques de la chrétienté.
C’est Bruno, né à Cologne vers 1030, qui est à son origine.
C’est Bruno, né à Cologne vers 1030, qui est à son origine.
Professeur très estimé puis recteur de l’école-cathédrale de Reims,
à laquelle il donna une renommée européenne, il est au sommet de cette
célébrité, quand il décide de suivre ce qu’il considère comme sa véritable
vocation: quitter le monde et les honneurs afin de vivre pour Dieu seul et
« embrasser la vie monastique. »
Avec six amis
et après plusieurs essais qui ne le satisfont pas, il vient à Grenoble, attiré par
la réputation du jeune évêque Hugues. Or celui-ci a vu en songe Dieu qui
construisait pour sa gloire une demeure au cœur d’une montagne appelée
« Chartreuse », lieu si peu habité qu’il est surnommé « le
désert »; sept étoiles lui en indiquaient le chemin.Voyant en l’arrivée de
Bruno et de ses six amis la réponse de la Providence à ce rêve mystérieux,
c’est là qu’il conduit ses visiteurs.
Nous sommes en juin 1084 et Bruno reconnaît dans cet
endroit solitaire le lieu qu’il recherche.
Des cellules de bois sont rapidement construites,
une galerie les reliant à une chapelle et à quelques bâtiments destinés à la vie communautaire,
car, pense Bruno, il est nécessaire d’associer à la rigueur d’une vie solitaire
un élément important de vie fraternelle et donc communautaire. C’est cette
association qui fera la principale originalité de l’Ordre des chartreux, qui
naît ainsi.
Au bout de six ans de vie en Chartreuse, rattrapé par sa
renommée Bruno est appelé par le Pape
Urbain II, l’un de ses anciens élèves de Reims, pour l’appuyer de ses
conseils.
Le Pape ne le retient pas longtemps à la cour pontificale
et, conscient de la vocation profonde de Bruno, lui accorde de créer un nouvel
ermitage de silence et de solitude en Calabre,
où il se retire et meurt quelques années plus tard, le 6 octobre 1101.
Aucune règle de l’ordre n’est alors écrite : on suit les
« coutumes »
que Bruno et ses amis ont simplement instaurées. C’est Guigues, cinquième prieur de l’ordre,
qui entreprend de les rédiger vers 1125.
En effet, d’autres ermitages de chartreux ont été fondés et il est nécessaire de fixer par écrit le fruit des inspirations de Bruno.Actuellement l’ensemble des 24 monastères qui font rayonner l’intuition de Saint Bruno, observent les statuts de l’Ordre cartusien promulgués en 1989 après la mise au point demandée par le Concile Vatican II d’abord, par la promulgation du nouveau Code de Droit Canonique ensuite, de manière à préserver l’idéal de Bruno dans le monde d’aujourd’hui.
Tout en donnant de nombreux détails concrets sur la manière dont se déroule la vie du moine, ces statuts communiquent l’esprit qui est à la base de la vie solitaire: le silence de la cellule, la prière continuelle, le travail humble et pauvre, mais également la vie fraternelle, la prière liturgique en commun, l’obéissance au supérieur de la maison (le prieur) aussi bien qu’au chapitre général où sont prises les décisions intéressant la vie de l’Ordre.
En effet, d’autres ermitages de chartreux ont été fondés et il est nécessaire de fixer par écrit le fruit des inspirations de Bruno.Actuellement l’ensemble des 24 monastères qui font rayonner l’intuition de Saint Bruno, observent les statuts de l’Ordre cartusien promulgués en 1989 après la mise au point demandée par le Concile Vatican II d’abord, par la promulgation du nouveau Code de Droit Canonique ensuite, de manière à préserver l’idéal de Bruno dans le monde d’aujourd’hui.
Tout en donnant de nombreux détails concrets sur la manière dont se déroule la vie du moine, ces statuts communiquent l’esprit qui est à la base de la vie solitaire: le silence de la cellule, la prière continuelle, le travail humble et pauvre, mais également la vie fraternelle, la prière liturgique en commun, l’obéissance au supérieur de la maison (le prieur) aussi bien qu’au chapitre général où sont prises les décisions intéressant la vie de l’Ordre.
Un ordre de contemplatifs
qui consacrent toute leur existence à Dieu seul. Leur
vocation se développe sous deux formes :
- - Les pères sont prêtres, c’est-à-dire qu’ils ont reçu le sacerdoce. Ils
vivent la plupart du temps dans le silence de leur maisonnette appelée
« cellule ».
- - Les frères,
outre leur vie contemplative, exécutent les travaux nécessaires à la vie
du monastère.
Ce sont là les deux modes de vie très complémentaires du chartreux, sous le signe de la commune recherche de Dieu, dans un cadre de vie très solitaire.
La solitude du chartreux n’est ni une démission ni un
abandon, mais le choix d’un espace de liberté, où s’exprime pleinement le don
de soi en faveur de l’humanité, et où s’élève en permanence une prière
universelle.
Ainsi dans notre monde moderne, fait de constants
changements, l’Ordre des chartreux affirme, sans cesse depuis les premiers pas
de Bruno dans les montagnes de
Chartreuse, une quête universelle, un idéal de vérité et de plénitude
intérieure. La quête de l’homme tout entier, de l’homme de tous les temps.
***
http://www.artisanatmonastique.com/chartreuse-verte-55-35-cl.htm
La Chartreuse
Verte (55% Vol. alcool) est produite en France par les pères chartreux
depuis 1764 selon unerecette tradionnelle demeurée secrète et
connue par seulement deux moines. Plus de 130 plantes et herbes,
macérées dans un alcool de raisin puis distillées, composent sa recette. Aucun
additif ni colorant artificel n'entre dans sa composition.
Puissante et unique, la chartreuse verte est la seule
liqueure verte naturelle jusque dans sa couleur (chlorophylle).
Se déguste de préférence glacée, en digestif et en
cocktail.
L'abus d'alcool est dangereux pour la
santé. Vente interdite aux - de 18 ans.
http://www.artisanatmonastique.com/chartreuse-verte-55-70-cl.htm
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