( la ) plumasserie = 1. prelucrare a penelor
de ornament ; 2. comert de pene de ornamentale ;
( le ) plumassier
= 1. lucrator care prelucreaza pene de ornament ; 2. negustor de pene
ornamentale.
Le plumage =
1. penaj ; 2. FIG. : exterior, aparenta; imbracaminte.
Le plumage =
plumes d’un oiseau = penele unei pasari ;
Le plumard :
Pop. = lit = pat ;
La plume = pana ;
Le plumeau =
petite balayette garnie de plumes qu’on utilise pour l’époussetage = mãturicã
cu/de pene utilizata pentru a sterge praful (sau cu care se sterge
praful ; obiectul acela ca un pamatuf din pene cu coada lunga, cu care se
stergea praful de pe tablouri, cadre, bibelouri, ...altadata )
Tot de la cuvantul « plume » vine si
cuvantul :
Le plumitif =
FAM. : écrivain médiocre = scriitor mediocru ;
La plumaison =
jumulirea ( de pene ) ;
Plumer = 1. a
jumuli ; 2.Fig. Fam. : a jefui, a prada, a excroca
Le plumeur /
la plumeuse = persoana care
jumuleste pasari.
Locutiuni ( expresii ) cu «plume » :
« prendre la
plume » = « a lua pana », inseamna : a
scrie ;
Fam. : « Voler
dans les plumes de quelqu’un » = l’attaquer vivement, adica « A
zbura in penele cuiva » , inseamna : a ataca puternic o
persoana ; a te infige in cineva ; o expresie gen : « Vezi
ca acum ma infig in tine, de-ti merg fulgii ! »
Le plumet =
bouquet de plumes ornemental :
buchet de pene ornamental ;
Le plumet =
pana la palarie ( probabil buchet din pene, la palarie ), panas ;
Le plumier =
boîte allongée servant à ranger les plumes, les crayons, etc. : adica,
cutie alungita care serveste la pastrarea penelor [ de scris ! ],
creioanelor, etc. = cu alte cuvinte,
Plumier = penar.
In Dictionarul francez-roman, Ed.Stiintifica, Bucuresti,
1967 :
Le plumitif =
1.Jur. registru de grefier ; 2. Fam. Birocrat, scrib,
scarta-scarta ;
la plumule =
fulg(ul), puf ;
plumé/e = adj. =
1. jumulit/ã ; 2. Fig.Fam. inselat, excrocat, jumulit ;
le plumeau =
1.pamatuf de pene mari ; 2. saltea de fulgi, de puf ;
plumeux / plumeuse =
adj. : referitor la pene, de pene. 2. acoperit/ã cu pene.
*****
Pe wikipedia acum :
Ce inseamna plumasserie ?
Plumasserie
Un atelier de plumassier, xviiie siècle
La plumasserie est l’activité qui concerne la
préparation de plumes d’oiseaux et leur utilisation dans la
confection d’objets ou d’ornements souvent vestimentaires.
Sommaire
Aux origines : l’art plumaire[modifier | modifier le code]
Article principal : Art plumaire.
Dans sa forme traditionnelle,
la plumasserie est sans doute
aussi ancienne que les sociétés humaines. L’art plumaire est un art sacré pratiqué par des groupes sociaux grâce
à l’utilisation des plumes d’espèces différentes d’oiseaux.
À teneur symbolique, il est principalement établi en Amérique latine, chez les peuplesAmérindiens lors de grands événements, de
pratiques rituelles et de cérémonies1comme
les Kayapos ou les Rikbaktsas au Brésil2.
La technique peut se réaliser par le collage et la ligature des plumes pour en
faire des masques, des coiffes, parures ou bien en des ornements corporels
(lèvres, oreilles, narines, etc.)3.
D’un art sacré à un métier d’art[modifier | modifier le code]
À l'époque de Charlemagne les élégants se paraient de plumes de paon et de flamants.
Au xiiie siècle,
les prélats et les grands seigneurs portaient des
chapeaux ornés, peut-être même formés, de plumes de paon. La consommation de
ces plumes était assez grande pour faire vivre une corporation,
celle des chapeliers de paon qui, vers 1268, présenta ses statuts à
l'homologation du prévôt de Paris4.
Les chapeliers de paon prirent vers
le xve siècle le nom
de plumassiers. Leurs
premiers statuts, octroyés au mois d'août 1577, furent révisés et renouvelés en
juillet 1599 et en juillet 1659. Ils y qualifient les maîtres de plumassiers -
panachers - bouquetiers enjoliveurs, et ils sont précédés d'assez étrangesconsidérants.
L'apprentissage durait six ans, suivis de quatre ans de compagnonnage. Les
maîtres pouvaient engager un second apprenti dès que l'enfant avait terminé sa
quatrième année de service.
Aux termes de leurs statuts, les plumassiers avaient le droit de confectionner « toutes sortes d'habillemens de tête », panaches, chapeaux et bonnets de mascarades, bouquets pour églises, toques, aigrettes, guirlandes pour carrousels, ballets et courses de bagues ; ils pouvaient teindre toutes espèces de plumes en toutes couleurs, les enrichir et enjoliver d'or et d'argent vrai ou faux. Ils employaient surtout les plumes d'autruche, de héron, de coq, d'oie, de vautour, de paon et de geai4.
Le nombre des maîtres plumassiers, dans Paris, était de 25 à la fin du xviiie siècle. Ils avaient pour patronsaint Georges, dont ils célébraient la fête le 23 avril à l'église Saint-Denis-de-la-Chartre4.
Aux termes de leurs statuts, les plumassiers avaient le droit de confectionner « toutes sortes d'habillemens de tête », panaches, chapeaux et bonnets de mascarades, bouquets pour églises, toques, aigrettes, guirlandes pour carrousels, ballets et courses de bagues ; ils pouvaient teindre toutes espèces de plumes en toutes couleurs, les enrichir et enjoliver d'or et d'argent vrai ou faux. Ils employaient surtout les plumes d'autruche, de héron, de coq, d'oie, de vautour, de paon et de geai4.
Le nombre des maîtres plumassiers, dans Paris, était de 25 à la fin du xviiie siècle. Ils avaient pour patronsaint Georges, dont ils célébraient la fête le 23 avril à l'église Saint-Denis-de-la-Chartre4.
Au début du xive siècle, on
voit apparaître les plumes d'autruche, qui rehaussèrent les
coiffures d'apparat. Quand Louis XII entra
à Gênes,
en avril 1507, il portait un casque
couronné d'une forêt de plumes droites, d'où émergeait un panache retombant.
Une plume blanche garnissait le bonnet de velours noir à la mode sous François Ier4.
Le Petit
Journal : une ferme
d’'autruches à Madagascar en 1909.
Différents ouvrages
du plumassier-panachier xviiie siècle.
Types de plumes. Larousse pour tous, 1907-1910
Nogent sur Marne,
manufacture de plumes, la sortie des ouvrières, vers 1900. Cette usine
employait des femmes italiennes, originaires de la région de Plaisance et
venues à Nogent avec leurs maris.
Chapeau à plumes. / Palarii cu pene
Sous Louis XIV et jusqu'à la Révolution, les plumes figurèrent dans la
parure des femmes et même des hommes. Elles devinrent, en particulier à la fin
duxviiie siècle,
l'objet d'une véritable passion.
Sous Louis XVI, les coiffures devinrent tellement extravagantes que labaronne d'Oberkirch indique dans ses mémoires : « les femmes de petite taille avoient le menton à moitié chemin des pieds ». MmeCampan indique quant à elle : «les coiffures parvinrent à un tel degré de hauteur, par l'échafaudage des gazes, des fleurs et des plumes, que les femmes ne trouvoient plus de voitures assez élevées pour s'y placer, et qu'on leur voyoit souvent pencher la tête ou la placer à la portière. D'autres prirent le parti de s'agenouiller, pour ménager d'une manière plus certaine encore le ridicule édifice dont elles étoient surchargées ». Lecomte de Vaublanc n'est pas moins sévère : « J'ai vu une dame qui, non seulement était à genoux dans sa voiture, mais encore passoit la tête par la portière. J'étois assis auprès d'elle. Quand une femme ainsi panachée dansoit dans un bal, elle étoit contrainte à une attention continuelle de se baisser lorsqu'elle passoit sous les lustres, ce qui lui donnoit la plus mauvaise grâce que l'on puisse imaginer »4.
Sous Louis XVI, les coiffures devinrent tellement extravagantes que labaronne d'Oberkirch indique dans ses mémoires : « les femmes de petite taille avoient le menton à moitié chemin des pieds ». MmeCampan indique quant à elle : «les coiffures parvinrent à un tel degré de hauteur, par l'échafaudage des gazes, des fleurs et des plumes, que les femmes ne trouvoient plus de voitures assez élevées pour s'y placer, et qu'on leur voyoit souvent pencher la tête ou la placer à la portière. D'autres prirent le parti de s'agenouiller, pour ménager d'une manière plus certaine encore le ridicule édifice dont elles étoient surchargées ». Lecomte de Vaublanc n'est pas moins sévère : « J'ai vu une dame qui, non seulement était à genoux dans sa voiture, mais encore passoit la tête par la portière. J'étois assis auprès d'elle. Quand une femme ainsi panachée dansoit dans un bal, elle étoit contrainte à une attention continuelle de se baisser lorsqu'elle passoit sous les lustres, ce qui lui donnoit la plus mauvaise grâce que l'on puisse imaginer »4.
Dans les civilisations occidentales, cette
activité s’est peu à peu développée au point d’acquérir, en particulier au xixe siècle, un
statut commercial et industriel.
Elle touche donc à des domaines aussi variés que l’ethnographie,
l’art, la mode, le commerce ou laconservation de la nature.
Au xixe siècle, de
nouvelles variétés de plumes sont introduites, les plumes seront alors séparées
en deux catégories; la « plume d’autruche »
et toutes les autres variétés, la « plume de fantaisie ».
Les plumes d'autruche arrivaient presque toutes d'Alger, mais il y avait également des élevages de troupeaux de ces animaux à Tunis, Alexandrie et Madagascar. Le commerce en était concentré àLivourne, qui faisait des expéditions dans toute l'Europe.
Les plumes de héron noir ou de héron fin étaient beaucoup plus rares et beaucoup plus chères que celles de l'autruche. L'Allemagne et la Turquie les fournissaient4.
Les plumes d'autruche arrivaient presque toutes d'Alger, mais il y avait également des élevages de troupeaux de ces animaux à Tunis, Alexandrie et Madagascar. Le commerce en était concentré àLivourne, qui faisait des expéditions dans toute l'Europe.
Les plumes de héron noir ou de héron fin étaient beaucoup plus rares et beaucoup plus chères que celles de l'autruche. L'Allemagne et la Turquie les fournissaient4.
La mode utilise
l’usage de plumes comme pour le panache – faisceau de plumes – qui était
également un ornement militaire, ou pour le bouquet de plumes qui orne la
chevelure des femmes5.
Elles servaient également à décorer certains meubles comme les dais ou encore les impériales de lits.
L’industrie plumassière au xixe siècle[modifier | modifier le code]
Cette industrie florissante au xixe siècle a entraîné la chasse intensive de
certains oiseaux provoquant le déclin ou la disparition de certaines espèces.
Des associations de protection des animaux comme laSociété royale pour la protection des
oiseaux ou la Ligue pour la protection des oiseaux ont été créés pour lutter contre ce
phénomène6.
Les paradisiers,
les aigrettes et les grèbes huppés ont été l’enjeu de luttes importantes
aux xixe et xxe siècles.
En 1910, il se vendit au marché de Londres 1 470 kilogrammes de plumes ce
qui représentait la chasse de 290 000 aigrettes. Début xxie siècle, la
chasse aux oiseaux pour leurs plumes menace encore certaines espèces comme l’ibis rouge6.
En 1865, un chroniqueur proteste « La mode
qui, jusqu’ici, s’était montrée sous le dehors d’une capricieuse déesse,
ambitionne décidément le titre de divinité cruelle… Ne s’avise-t-elle pas de
coller aux chapeaux des femmes la tête, voire le corps des innocents oiseaux du
ciel ! Si les dames enfiévrées d’innovations s’étaient bornées à s’attifer
d’animaux nuisibles, je n’élèverais pas la voix, et je prodiguerais même les
encouragements à celles que je croiserais dans ma route, le chef accidenté de
punaises ou le front paré de hannetons. Je fonderais en outre un prix annuel au
profit de la modiste qui aurait le plus fréquemment employé le serpent à
sonnettes dans la confection de ses marchandises. Mais quand je vois immoler
sur les autels de l’élégance les gracieuses fauvettes et les rossignols
mélodieux, je me fâche tout rouge et je demande que l’autorité s’oppose à ce
carnage de passereaux »7.
Il fut accompagné dans sa démarche par d’autres protecteurs de la nature et par
la société Audubon fondée aux États-Unis, qui sera très
active et ne baissera pas les bras devant l’augmentation de la demande de
plumes provenant d’espèces de plus en plus menacées.
C’est en vers 1890 que l’industrie de la
plume connaît son plus vif succès. À Paris on comptait près de huit-cents
maisons qui employaient six à sept mille personnes. La quantité de travail
était telle que les plumassiers ne s’occupaient que d’une catégorie de plume à
la fois ; l’un s’occupant de la plume d’autruche blanche, l’autre de la
noire, d’autres de la teindre de couleurs vives.
La plume fut l’accessoire en vogue du
vêtement féminin jusqu’aux années 1960. La seconde moitié duxxe siècle voit la fin de l‘utilisation des
plumes dans la mode.
Le déclin de la plumasserie[modifier | modifier le code]
Le port du chapeau tombe en désuétude dans
les années 1960,
entraînant la disparition des maisons des plumassiers. Le nombre de maisons de
plumassiers françaises a chuté, passant de plus de trois-cents dans les années
1900 à une cinquantaine en 1960.
Plumes et haute couture[modifier | modifier le code]
Étole de plumes en 1868. Peinture deWilliam Hunt
Les costumiers de l’opéra,
en particulier dans des productions d’œuvres de l’époque baroque et d’opéra-ballet,
les créateurs derevues des
cabarets parisiens comme le Lido,
les Folies Bergèreou
le Moulin Rouge et les maisons de haute couture française
font toujours appel aux plumassiers pour leurs collections.
Les derniers artisans ayant pignon sur rue
en France sont laMaison Lemarié, créée en 1880 par Palmyre Coyette et
rachetée par la maison de couture Chanel en 1996 pour en préserver le
savoir-faire, la Maison
Février, fondée en 1929 qui réalise essentiellement de costumes des cabarets parisiens, la Maison Légeron, un atelier créé en 18808,
qui fournit des maisons de haute couture et Marcy à Béthisy-Saint-Pierre pour la confection haut de gamme et le
music-hall. À Troyes,
la maison La Paletteest
spécialisée dans la teinture de plumes et l’ennoblissement textile.
Les plumes qu’utilisent les plumassiers
contemporains sont celles d’espèces comestibles (coq, faisan, autruche, pintade…)
non protégées. Ces entreprises disposent parfois de quelques stocks anciens
précieux comme des plumes de héron,
de paon, d’oiseau de
paradis, etc.
Avenir de la plumasserie[modifier | modifier le code]
La profession de plumassière est en voie de
disparition. Il existe un cursus scolaire pour cette profession : le Certificat d’aptitude professionnelle de plumassière qui se prépare en deux
années après laclasse de troisième au sein du lycée des métiers de la
mode de Paris, le Lycée
professionnel Octave Feuillet dans le XVIe arrondissement9.
Ce métier manuel demande une grande
dextérité manuelle et de la concentration. L’enseignement dispensé permet
d’acquérir la maîtrise les techniques de base : collage, montage, et
assemblage des plumes à partir de documents techniques ou de croquis. Le métier
s’apprend aussi sur le tas, on se forme au contact de professionnels et par
l’héritage du savoir-faire10.
En France, le métier de plumassière a été
reconnu comme éligible à la distinction de maître d’art.
Nelly Saunier a été élue maître d’art plumassière en 2008.
Traitement des plumes[modifier | modifier le code]
Johann Hamza (1850-1927), Die Putzmacherinnen, Les plumassières. Huile sur
toile, 1902,
Wien Museum Karlsplatz.
Wien Museum Karlsplatz.
La préparation des plumes se déroule en
plusieurs étapes :
·
Réception des plumes
·
Dégraissage par plusieurs passages dans de
l’eau savonneuse
·
Lavage à l’eau claire
·
Teinte (éventuelle)
·
Blanchissement afin d’enlever le surplus de teinture.
·
Mise en craie
·
Lavages successifs
·
Mise au bleu
·
En soufrage des plumes.
·
Dressage à la vapeur pour écarter les
franges
·
Examen de la largeur des plumes
·
Frisage des plumes, s’il y en a besoin
·
Assortiment en fonction de la teinte et de
la taille désirée
Notes et références[modifier | modifier le code]
4.
Dictionnaire
historique des arts, métiers et professions exercés dans Paris depuis le
treizième siècle par Alfred Franklin page 575 et suivantes [archive]
5.
« Essais
historiques sur les modes et la toilette française » [archive], volume II, Henri de Villiers, 1824
6.
Henri Jenn, « La plumasserie », L'OiseauMag, no 103, été 2011
7. Florence Müller et
Lydia Kamitsis, Les chapeaux : une histoire de tête, p. 68
Bibliographie[modifier | modifier le code]
·
Anne Monjaret, « Plume et mode à la
Belle Époque : les plumassiers parisiens face à la question
animale », Techniques
& Culture, 50 - 2008/1. Lire en
ligne : [archive]
·
Florence Müller et
Lydia Kamitsis, Les
chapeaux : une histoire de tête, Paris,
Syros Alternatives,coll. « Dans le droit fil », mai 1993,
120 p. (ISBN 2 86738 872 4)
Voir aussi[modifier | modifier le code]
Sur les autres projets Wikimedia :
·
Vêtement de
plume, sur Wikimedia Commons
·
Accessoire de
plume, sur Wikimedia Commons
·
plumasserie, sur le Wiktionnaire
Reportages vidéo[modifier | modifier le code]
Deux
reportages sur les derniers artisans exerçant encore le métier de plumassier en
France :
·
Nelly Saunier, maître d’art plumassière. Reportage réalisé et
présenté par Viviane Blassel. Voir en ligne sur le site TV5 Monde, durée 13 min.[3] [archive]
·
Bruno Legeron, fleuriste plumassier.
Reportage réalisé et présenté par Viviane Blassel. Voir en ligne sur le site TV5 Monde, durée 13 min. [4] [archive]
Articles connexes[modifier | modifier le code]
·
Modiste
·
Plume
Sursa:
https://fr.wikipedia.org/wiki/Plumasserie ( deschideti
articolul, click pe link pentru a vedea fotografiile ! )
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