Tr : chaîne de
prière Prions pour les chrétiens persécutés (hozana.org) 17-27 JUIN 2016, Jeudi
le 17 juin 2016
JOUR
6 : mercredi 22 juin 2016
Prions
pour les chrétiens pakistanais discriminés
et persécutés dans leur pays
Objet :
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Tr : chaîne de prière Prions pour les chrétiens persécutés (hozana.org)
17-27 JUIN 2016
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De :
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Olivia Marcov (...@yahoo.fr)
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À :
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Cc :
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Date :
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Jeudi 16 juin 2016 14h07
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olivia
Le Jeudi 16 juin 2016 14h03, Olivia Marcov <...> a
écrit :
chaîne de prière Prions pour les chrétiens persécutés
(hozana.org) 17-27 JUIN 2016
Basilique Notre-Dame du
Perpétuel Secours vous propose de réciter la prière suivante :
Neuvaine à Notre Dame du Perpétuel Secours
Premier jour :
O Mère du Perpétuel Secours, que j'aime à venir prier au pied de votre image miraculeuse ! Elle éveille en moi les sentiments de la confiance la plus vive et la plus filiale. Vous tenez entre vos bras Jésus, mon Sauveur et mon Dieu. Il est le Tout-Puissant, le Maître absolu de la vie et de la mort, le Dispensateur souverain de tout bien et de toute grâce. Et vous êtes sa Mère ! vous avez donc tout droit pour le prier et tout droit pour en être exaucée. Il a d'ailleurs souvent prouvé, à nous autres pécheurs, qu'il ne savait et ne voulait rien vous refuser.
Je m'adresse donc à votre toute-puissante intercession, ô Mère de Jésus, et vous supplie de m'accorder pendant cette neuvaine la grâce … [désigner ici l'intention de la neuvaine].
Je viens vous prier avec une confiance totale, persuadé que vous ne cessez jamais vous-même de prier pour vos enfants, et donc aussi pour moi.
Notre Père, Je vous salue Marie, Souvenez-vous.
Deuxième jour :
O Mère du Perpétuel Secours, en cet enfant Jésus encore tout faible que vous serrez contre votre cœur, vous ne voyez pas seulement le Fils de Dieu, votre Fils, mais aussi tous les hommes devenus, par la volonté de Dieu et par votre acceptation à Nazareth et au Golgotha, vos véritables enfants. Vous n'oubliez pas la parole de votre Fils au Calvaire qui, considérant son disciple Jean et nous tous en lui, vous a dit : « Voici ton fils ! » (Jn 19, 26).
O ma Mère, avec cette simplicité d'un fils malheureux, je viens vous dire combien je souffre et suis tenté de désespérer. Cependant, je sais que je suis votre enfant et que vous écoutez toutes nos prières. O ma Mère, vous connaissez ma demande : exauce-la pour la plus grande gloire de votre Fils, mon Seigneur !
Notre Père, Je vous salue Marie, Souvenez-vous.
Troisième jour :
O Mère du Perpétuel Secours, j'aime à contempler votre image bénie. Elle me parle ave éloquence de toutes vos grandeurs. A droite, j'y vois l'archange Gabriel, le divin Ambassadeur qui vous salua du titre absolument unique de « Pleine de grâce ». A gauche, j'y vois l'archange Michel dont la présence nous rappelle que vous commandez à toutes les milices célestes. En votre main droite, vous tenez les mains du Roi des rois. Tout cela me rappelle que vous êtes la Femme bénie entre toutes les femmes, le plus bel ornement de l'univers, la créature jugée seule digne de devenir la Mère du Verbe incarné. Vous êtes l'Immaculée, la Toute-Sainte, le chef-d'œuvre du Très-Haut. Vous êtes la Reine de la terre et des cieux, le grand honneur de notre humanité.
O Mère admirable, loin de m'effrayer, votre incomparable grandeur ne fait qu'augmenter ma confiance : si Dieu, dans sa bonté, vous a faite si sainte et si puissante, c'est pour notre salut, et si vous vous réjouissez de vos privilèges, c'est qu'ils vous permettent de mieux nous secourir. O Mère incomparable, accordez-moi la grâce que je sollicite de votre maternelle tendresse.
Notre Père, Je vous salue Marie, Souvenez-vous.
Quatrième jour :
O Mère du Perpétuel Secours, votre maternel regard réconforte nos cœurs inquiets et blessés. Vous nous apparaissez comme la Tige sacrée sur laquelle s'épanouit la Fleur de toute pureté et de toute vertu, votre Jésus, notre Dieu. Nous L'offrant ainsi par vos mains maternelles, nos cœurs s'ouvrent plus largement à sa venue et à ses desseins sur nous. Sur votre front brille une étoile radieuse. N'êtes-vous pas, en effet, « L'Etoile du matin » qui nous annonce le jour du salut et de la rédemption ? N'êtes-vous pas celle qui nous rappelez la promesse évangélique du jour sans déclin et de l'éternité bienheureuse ? N'êtes-vous pas aussi « L'Etoile de la mer » qui fait rayonner l'espoir au sein des plus noires tempêtes ?
O Mère très aimable, comme vous nous rendez léger le fardeau du devoir, et doux le joug de Jésus-Christ ! Aussi, votre souvenir me met de la joie au cœur et l'évocation de votre nom ramène de la paix dans mon âme inquiète. Laissez-moi vous redire toujours : O Mère si digne d'être aimée, je vous aime ! Par vous et avec vous, j'aime votre divin Fils ! O sainte Mère d'espérance, exaucez-moi !
Notre Père, Je vous salue Marie, Souvenez-vous.
Cinquième jour :
O Mère du Perpétuel Secours, je trouve en votre sainte image un autre motif d'espérer en votre bonté. Vous vous y montrez aussi la Mère des douleurs. Celui que vous étreignez dans vos bras, c'est Jésus, crucifié dans son cœur avant de l'être dans sa chair. Déjà lui sont représentés les instruments de la passion et vous souffrez avec lui à cette vue prophétique.
Comme vous, ô Marie, je compatis aux souffrances de votre Fils et, comme lui, je compatis aux vôtres. Ma compassion est d'autant plus vive que ce sont nos péchés qui, en clouant Jésus à la croix, ont torturé votre âme si aimante. Aujourd'hui, c'est au nom de vos douleurs que je vous prie. Donnez-moi la contrition de tous mes péchés et le courage de les éviter désormais. Daignez aussi agréer favorablement la requête que je vous adresse dans cette neuvaine.
Notre Père, Je vous salue Marie, Souvenez-vous.
Sixième jour :
O Mère du Perpétuel Secours, parce que vous êtes bonne et que vous êtes notre Mère, la souffrance vous a faite compatissante à nos peines. Cette compassion à notre égard, je la vois dans vos yeux empreints d'une pitié attendrie. Ils se fixent moins sur votre divin Fils que sur vos pauvres enfants de la terre. Qu'il est doux à l'âme accablée de rencontrer un cœur ami qui sache compatir ! mais quand ce cœur est celui d'une mère, et d'une mère telle que vous, c'est l'une des plus grandes consolations de la vie.
A vos pieds, je viens donc reprendre courage, ô Mère compatissante ! Je suis sûr que vous n'abandonnerez pas votre enfant. Ecoutez le cri de ma misère. Dites à mon âme la parole qui console et accordez-moi la faveur que j'implore de votre bonté.
Notre Père, Je vous salue Marie, Souvenez-vous.
Septième jour :
O Mère du Perpétuel Secours, vous êtes la Médiatrice de toute grâce. Oui, vous êtes la trésorière du Bon Dieu qui veut que toute grâce passe par vos mains avant de nous être donnée. Votre image me rappelle que vous êtes la Mère de Jésus, la Mère des douleurs, et que vous êtes ma Mère. Mère de Jésus, vous êtes si intimement unie au Cœur de votre Fils. Mère des douleurs, vos souffrances, unies à celles de Jésus, ont coopéré à notre salut. Mère des hommes, vous avez accepté de nous venir en aide.
Oui, je le sais, une âme fidèle à vous invoquer est sûre de votre protection et une âme protégée par vous ne peut se perdre. C'est donc avec assurance que j'ai recours à vous. Obtenez-moi, à votre ressemblance, la fidélité dans le service des intérêts de Dieu. Obtenez-moi aussi la faveur que, durant cette neuvaine, je sollicite de votre maternelle tendresse.
Notre Père, Je vous salue Marie, Souvenez-vous.
Huitième jour :
O Mère du Perpétuel Secours, un sentiment de crainte me serre parfois le cœur. En effet, lorsque je songe à ma misère, je me trouve audacieux d'oser m'adresser à vous et d'implorer vos faveurs. Cependant, votre douce image semble me dire : « Confiance, mon enfant ! Ne suis-je pas la Mère de la miséricorde qui cherche, non des mérites à récompenser, mais des maux à guérir ? Mon titre de Mère du Perpétuel Secours ne proclame-t-il pas que Dieu m'envoie vers vous pour vous soulager en son Nom de toutes vos misères ? »
C'est donc à votre clémence que je fais appel aujourd'hui, ô Marie. Ma confiance repose toute entière sur votre indulgente et compatissante bonté. A vous de me protéger, de me secourir, de me consoler de la manière que vous savez le mieux ;
Notre Père, Je vous salue Marie, Souvenez-vous.
Neuvième jour :
O Mère du Perpétuel Secours, me voici arrivé au terme de cette neuvaine où, chaque jour, je suis venu me prosterner à vos pieds. Aujourd'hui plus que jamais, ma supplication monte vers vous, ardente et confiante. Je ne puis en douter, vous avez entendu le cri de ma prière : vous m'accorderez ce que je sollicite, ou une grâce plus précieuse encore. Par votre Fils crucifié pour nous, par vos douleurs unies aux siennes, par votre amour miséricordieux, par votre titre de Mère du Perpétuel secours, exaucez-moi si telle est la volonté de Dieu !
O ma Mère, ma confiance est si grande que, dès à présent, je vous dis merci ! Merci pour les grâces du passé ; merci pour celles que j'attends de votre inépuisable amour ! O Mère secourable, comme Jésus vous a donnée à nous, maintenant donnez-nous Jésus pour toujours, car c'est Lui la Grâce des grâces ! Amen.
Notre Père, Je vous salue Marie, Souvenez-vous.
O Mère du Perpétuel Secours, que j'aime à venir prier au pied de votre image miraculeuse ! Elle éveille en moi les sentiments de la confiance la plus vive et la plus filiale. Vous tenez entre vos bras Jésus, mon Sauveur et mon Dieu. Il est le Tout-Puissant, le Maître absolu de la vie et de la mort, le Dispensateur souverain de tout bien et de toute grâce. Et vous êtes sa Mère ! vous avez donc tout droit pour le prier et tout droit pour en être exaucée. Il a d'ailleurs souvent prouvé, à nous autres pécheurs, qu'il ne savait et ne voulait rien vous refuser.
Je m'adresse donc à votre toute-puissante intercession, ô Mère de Jésus, et vous supplie de m'accorder pendant cette neuvaine la grâce … [désigner ici l'intention de la neuvaine].
Je viens vous prier avec une confiance totale, persuadé que vous ne cessez jamais vous-même de prier pour vos enfants, et donc aussi pour moi.
Notre Père, Je vous salue Marie, Souvenez-vous.
Deuxième jour :
O Mère du Perpétuel Secours, en cet enfant Jésus encore tout faible que vous serrez contre votre cœur, vous ne voyez pas seulement le Fils de Dieu, votre Fils, mais aussi tous les hommes devenus, par la volonté de Dieu et par votre acceptation à Nazareth et au Golgotha, vos véritables enfants. Vous n'oubliez pas la parole de votre Fils au Calvaire qui, considérant son disciple Jean et nous tous en lui, vous a dit : « Voici ton fils ! » (Jn 19, 26).
O ma Mère, avec cette simplicité d'un fils malheureux, je viens vous dire combien je souffre et suis tenté de désespérer. Cependant, je sais que je suis votre enfant et que vous écoutez toutes nos prières. O ma Mère, vous connaissez ma demande : exauce-la pour la plus grande gloire de votre Fils, mon Seigneur !
Notre Père, Je vous salue Marie, Souvenez-vous.
Troisième jour :
O Mère du Perpétuel Secours, j'aime à contempler votre image bénie. Elle me parle ave éloquence de toutes vos grandeurs. A droite, j'y vois l'archange Gabriel, le divin Ambassadeur qui vous salua du titre absolument unique de « Pleine de grâce ». A gauche, j'y vois l'archange Michel dont la présence nous rappelle que vous commandez à toutes les milices célestes. En votre main droite, vous tenez les mains du Roi des rois. Tout cela me rappelle que vous êtes la Femme bénie entre toutes les femmes, le plus bel ornement de l'univers, la créature jugée seule digne de devenir la Mère du Verbe incarné. Vous êtes l'Immaculée, la Toute-Sainte, le chef-d'œuvre du Très-Haut. Vous êtes la Reine de la terre et des cieux, le grand honneur de notre humanité.
O Mère admirable, loin de m'effrayer, votre incomparable grandeur ne fait qu'augmenter ma confiance : si Dieu, dans sa bonté, vous a faite si sainte et si puissante, c'est pour notre salut, et si vous vous réjouissez de vos privilèges, c'est qu'ils vous permettent de mieux nous secourir. O Mère incomparable, accordez-moi la grâce que je sollicite de votre maternelle tendresse.
Notre Père, Je vous salue Marie, Souvenez-vous.
Quatrième jour :
O Mère du Perpétuel Secours, votre maternel regard réconforte nos cœurs inquiets et blessés. Vous nous apparaissez comme la Tige sacrée sur laquelle s'épanouit la Fleur de toute pureté et de toute vertu, votre Jésus, notre Dieu. Nous L'offrant ainsi par vos mains maternelles, nos cœurs s'ouvrent plus largement à sa venue et à ses desseins sur nous. Sur votre front brille une étoile radieuse. N'êtes-vous pas, en effet, « L'Etoile du matin » qui nous annonce le jour du salut et de la rédemption ? N'êtes-vous pas celle qui nous rappelez la promesse évangélique du jour sans déclin et de l'éternité bienheureuse ? N'êtes-vous pas aussi « L'Etoile de la mer » qui fait rayonner l'espoir au sein des plus noires tempêtes ?
O Mère très aimable, comme vous nous rendez léger le fardeau du devoir, et doux le joug de Jésus-Christ ! Aussi, votre souvenir me met de la joie au cœur et l'évocation de votre nom ramène de la paix dans mon âme inquiète. Laissez-moi vous redire toujours : O Mère si digne d'être aimée, je vous aime ! Par vous et avec vous, j'aime votre divin Fils ! O sainte Mère d'espérance, exaucez-moi !
Notre Père, Je vous salue Marie, Souvenez-vous.
Cinquième jour :
O Mère du Perpétuel Secours, je trouve en votre sainte image un autre motif d'espérer en votre bonté. Vous vous y montrez aussi la Mère des douleurs. Celui que vous étreignez dans vos bras, c'est Jésus, crucifié dans son cœur avant de l'être dans sa chair. Déjà lui sont représentés les instruments de la passion et vous souffrez avec lui à cette vue prophétique.
Comme vous, ô Marie, je compatis aux souffrances de votre Fils et, comme lui, je compatis aux vôtres. Ma compassion est d'autant plus vive que ce sont nos péchés qui, en clouant Jésus à la croix, ont torturé votre âme si aimante. Aujourd'hui, c'est au nom de vos douleurs que je vous prie. Donnez-moi la contrition de tous mes péchés et le courage de les éviter désormais. Daignez aussi agréer favorablement la requête que je vous adresse dans cette neuvaine.
Notre Père, Je vous salue Marie, Souvenez-vous.
Sixième jour :
O Mère du Perpétuel Secours, parce que vous êtes bonne et que vous êtes notre Mère, la souffrance vous a faite compatissante à nos peines. Cette compassion à notre égard, je la vois dans vos yeux empreints d'une pitié attendrie. Ils se fixent moins sur votre divin Fils que sur vos pauvres enfants de la terre. Qu'il est doux à l'âme accablée de rencontrer un cœur ami qui sache compatir ! mais quand ce cœur est celui d'une mère, et d'une mère telle que vous, c'est l'une des plus grandes consolations de la vie.
A vos pieds, je viens donc reprendre courage, ô Mère compatissante ! Je suis sûr que vous n'abandonnerez pas votre enfant. Ecoutez le cri de ma misère. Dites à mon âme la parole qui console et accordez-moi la faveur que j'implore de votre bonté.
Notre Père, Je vous salue Marie, Souvenez-vous.
Septième jour :
O Mère du Perpétuel Secours, vous êtes la Médiatrice de toute grâce. Oui, vous êtes la trésorière du Bon Dieu qui veut que toute grâce passe par vos mains avant de nous être donnée. Votre image me rappelle que vous êtes la Mère de Jésus, la Mère des douleurs, et que vous êtes ma Mère. Mère de Jésus, vous êtes si intimement unie au Cœur de votre Fils. Mère des douleurs, vos souffrances, unies à celles de Jésus, ont coopéré à notre salut. Mère des hommes, vous avez accepté de nous venir en aide.
Oui, je le sais, une âme fidèle à vous invoquer est sûre de votre protection et une âme protégée par vous ne peut se perdre. C'est donc avec assurance que j'ai recours à vous. Obtenez-moi, à votre ressemblance, la fidélité dans le service des intérêts de Dieu. Obtenez-moi aussi la faveur que, durant cette neuvaine, je sollicite de votre maternelle tendresse.
Notre Père, Je vous salue Marie, Souvenez-vous.
Huitième jour :
O Mère du Perpétuel Secours, un sentiment de crainte me serre parfois le cœur. En effet, lorsque je songe à ma misère, je me trouve audacieux d'oser m'adresser à vous et d'implorer vos faveurs. Cependant, votre douce image semble me dire : « Confiance, mon enfant ! Ne suis-je pas la Mère de la miséricorde qui cherche, non des mérites à récompenser, mais des maux à guérir ? Mon titre de Mère du Perpétuel Secours ne proclame-t-il pas que Dieu m'envoie vers vous pour vous soulager en son Nom de toutes vos misères ? »
C'est donc à votre clémence que je fais appel aujourd'hui, ô Marie. Ma confiance repose toute entière sur votre indulgente et compatissante bonté. A vous de me protéger, de me secourir, de me consoler de la manière que vous savez le mieux ;
Notre Père, Je vous salue Marie, Souvenez-vous.
Neuvième jour :
O Mère du Perpétuel Secours, me voici arrivé au terme de cette neuvaine où, chaque jour, je suis venu me prosterner à vos pieds. Aujourd'hui plus que jamais, ma supplication monte vers vous, ardente et confiante. Je ne puis en douter, vous avez entendu le cri de ma prière : vous m'accorderez ce que je sollicite, ou une grâce plus précieuse encore. Par votre Fils crucifié pour nous, par vos douleurs unies aux siennes, par votre amour miséricordieux, par votre titre de Mère du Perpétuel secours, exaucez-moi si telle est la volonté de Dieu !
O ma Mère, ma confiance est si grande que, dès à présent, je vous dis merci ! Merci pour les grâces du passé ; merci pour celles que j'attends de votre inépuisable amour ! O Mère secourable, comme Jésus vous a donnée à nous, maintenant donnez-nous Jésus pour toujours, car c'est Lui la Grâce des grâces ! Amen.
Notre Père, Je vous salue Marie, Souvenez-vous.
77priants
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Du 17 au 25 juin, prions Notre-Dame
du Perpétuel Secours pour les Chrétiens persécutés, en particulier en Orient
et en Afrique.
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Aperçu par Yahoo
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Du 17 au 25
juin, prions Notre-Dame du Perpétuel Secours pour les Chrétiens persécutés, en
particulier en Orient et en Afrique.
"Heureux
êtes-vous si l’on vous insulte, si l’on vous persécute et si l’on dit
faussement toute sorte de mal contre vous, à cause de moi.
Réjouissez-vous, soyez dans l’allégresse, car votre récompense est grande
dans les cieux ! C’est ainsi qu’on a persécuté les prophètes qui vous ont
précédés."
Mt 5, 11-12
Prions
Notre-Dame
du Perpétuel Secours
pour les Chrétiens persécutés
1. La grande neuvaine à Notre-Dame du
Perpétuel Secours
Dans le monde
entier, l'Icône de Notre-Dame du Perpétuel fête ses 150 ans cette année. Pour
se préparer à cette fête jubilaire du 27 juin, la Basilique organise une
Neuvaine. Chaque jour sera consacré à un pays. Pendant 9 jours, nous pouvons
prier pour les Chrétiens persécutés dans le monde. Ils ont grand besoin de nous
et nous pouvons les aider : en priant ! Prier pour eux, c'est aussi se souvenir
de notre histoire, celle des premiers chrétiens du monde.
2. Concrètement recevez chaque
jour :
- la neuvaine à Notre-Dame du
Perpétuel Secours à réciter
- une intention de prière pour un
pays où les Chrétiens, nos frères et sœurs, sont persécutés
3. le programme :
Vendredi 17 juin : Erythrée
Samedi 18 juin : Syrie
Dimanche 19 juin : Soudan
Lundi 20 juin : Afghanistan
Mardi 21 juin : Mali
Mercredi 22 juin : Pakistan
Jeudi 23 juin : Somalie
Vendredi 24 juin : Irak
Samedi 25 juin : Yémen
4. L'icône de Notre-Dame du Perpétuel
Secours
Cette icône fut
peinte selon le style byzantin de l'Eglise orientale. Dès 444, cette icône
réputée miraculeuse engendre des processions qui procureront des nombreuses
grâces et guérisons. Après avoir été abondamment copiée, elle semble
définitivement perdue en 1453 jusqu'à ce qu'un marchand la retrouve pour aller
la déposer à Rome. Les miracles et les grâces de cette icône placée à l'Eglise
Saint-Matthieu continuent. Après sa destruction, les Rédemptoristes édifient une
nouvelles église en 1854. En 1865, Pie IX insiste pour que l'icône soit
remise aux Rédemptoristes.
5. La basilique Notre-Dame du
Perpetuel Secours
Dans le
quartier de Ménilmontant, en 1898, une grande église confiée aux Rédemptoristes
est reconstruite, sur la chapelle de leur ancien couvent. Une reproduction de
l'Icône y est placée. Cette église est élevée au rang de Basilique
mineure par le Pape Paul VI le 25 juin 1966.
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Du 17 au 25 juin, prions
Notre-Dame du Perpétuel Secours pour les Chrétiens persécutés, en particulier
en Orient et en Afrique.
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Aperçu par Yahoo
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olivia
JOUR 1 /
ZIUA 1 : 17 JUIN 2016 :
http://hozana.org/nouvelle/5764/prions-pour-les-chretiens-persecutes-en-erythree
Prions
pour les chrétiens persécutés en Erythrée
Nouvelle #1 - Le 17 Juin 2016
O Mère
du Perpétuel Secours, que j'aime à venir prier au pied de votre image
miraculeuse ! Elle éveille en moi les sentiments de la confiance la plus vive
et la plus filiale. Vous tenez entre vos bras Jésus, mon Sauveur et mon Dieu.
Il est le Tout-Puissant, le Maître absolu de la vie et de la mort, le
Dispensateur souverain de tout bien et de toute grâce. Et vous êtes sa Mère !
vous avez donc tout droit pour le prier et tout droit pour en être exaucée. Il
a d'ailleurs souvent prouvé, à nous autres pécheurs, qu'il ne savait et ne
voulait rien vous refuser.
Je m'adresse donc
à votre toute-puissante intercession, ô Mère de Jésus, et vous supplie de m'accorder pendant cette neuvaine la
grâce d'aider les communautés chrétiennes méprisées par le gouvernement. Je viens
vous prier avec une confiance totale, persuadé que vous ne cessez jamais
vous-même de prier pour vos enfants, et donc aussi pour moi.
Objet :
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Prions pour les chrétiens pakistanais discriminés et persécutés dans leur
pays - Prions pour les Chrétiens persécutés
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De :
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Hozana (contact@hozana.org)
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À :
|
Olivia Marcov@yahoo.fr;
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Date :
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Mercredi 22 juin 2016 1h03
|
Basilique
Notre-Dame du Perpétuel Secours a publié une nouvelle sur l'intention Prions pour les Chrétiens persécutés
Prions pour les chrétiens pakistanais
discriminés et persécutés dans leur pays
Un évêque pakistanais
au chevet d'un blessé
Sixième jour de la Neuvaine :
Ô Mère
du Perpétuel Secours, parce que vous êtes bonne et que vous êtes notre
Mère, la souffrance vous a faite
compatissante à nos peines. Cette compassion à
notre égard, je la vois dans vos
yeux empreints d'une pitié attendrie. Ils se fixent
moins sur votre divin Fils que sur
vos pauvres enfants de la terre. Qu'il est doux
à l'âme accablée de rencontrer un
cœur ami qui sache compatir ! mais quand
ce cœur est celui d'une mère, et
d'une mère telle que vous, c'est l'une des plus
grandes consolations de la vie.
A vos pieds, je viens donc
reprendre courage, ô Mère compatissante ! Je suis
sûr que vous n'abandonnerez pas
votre enfant. Ecoutez le cri de ma misère.
Dites à mon âme la parole qui
console et accordez-moi la faveur que j'implore
de votre bonté.
Notre Père, Je vous salue Marie.
Prière à Notre-Dame du Perpétuel Secours :
Ô sainte Vierge Marie, qui, pour
nous inspirer une confiance sans bornes,
avez voulu prendre le nom si doux
de Mère du Perpétuel-Secours, je vous
supplie de me secourir en tout
temps et en tout lieu: dans mes tentations, après
mes chutes, dans mes difficultés,
dans toutes les misères de la vie et surtout au
moment de ma mort. Donnez-moi, Ô
charitable Mère, la pensée et l'habitude
de recourir toujours à vous; car je
suis sûr que, si je vous invoque fidèlement,
vous serez fidèle à me secourir.
Procurez-moi donc cette Grâce des grâces,
la grâce de vous prier sans cesse
et avec la confiance d'un enfant, afin que,
par la vertu de cette prière
fidèle, j'obtienne votre Perpétuel Secours et la
persévérance finale. Bénissez-moi,
Ô tendre et secourable mère, et priez
pour moi, maintenant et à l'heure
de ma mort. Ainsi soit-il.
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