Tr
: l'ancien ministre des Finances M.Tanasescu de "notre" projet Phare
avec M.FOINANT, lundi le 27 Juin 2016
Objet :
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Tr : l'ancien ministre des Finances M.Tanasescu de
"notre" projet Phare avec M.FOINANT
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De
:
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Olivia Marcov (...
@yahoo.fr)
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À :
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...
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Date :
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Lundi 27 juin
2016 14h08
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olivia
Le Lundi 27 juin
2016 14h04, Olivia Marcov <Olivia Marcov@yahoo.fr> a écrit :
olivia
Le Lundi 27 juin 2016 13h49, Olivia Marcov <Olivia Marcov@yahoo.fr> a
écrit :
L'ancien ministre des
Finances, M.Mihai Tanasescu qui ne nous laissait pas travailler en 2001 sur le
projet de jumelage "Phare" à la DIRECTION DE LA COMPTABILITE PUBLIQUE
dirigée par Mme Doina, il recevait en audience, à partir de 20h seulement, donc
le soir, après la journée de travail au ministère, le conseiller pré-adhésion
qui était M.Jean-Paul FOINANT et il ne concevait même pas recevoir son
assistante-traductrice-interprète ( moi-même, Olivia Marcov ) dont il ne
pouvait pas être question.
Il recevait donc seulement
Jean-Paul Foinant pour "discuter" - lui [le ministre Tanasescu ], il
ne discutait pas ! mais, tout au plus il écoutait ! - du projet Phare qui avait
commencé avec beaucoup de difficulté en janvier 2001 ( ils [ le ministère par
ses fonctionnaires ] refusaient de nous donner une pièce, un bureau nécessaire
pour travailler ! ) et ceci, à partir de 20h00 du soir !
Quant à moi il m'a mise
dehors !!!!!
Un gendarme m'a mise à la
porte, au sens propre du terme, bien sûr j'ai pleuré, je n'étais pas laissée
travailler !
Le gendarme du ministère m'a
chassée, il a même mis sa main sur moi, j'étais perplexe, en plus, lui, donc
lui, pas moi, s'est mis en colère contre moi, comme si j'étais une ordure !!
J'avais travaillé presque 6
ans auparavant à la Judecãtoria, au tribunal, comme greffière
d'audience, et même dans un tribunal on ne faisait pas cela aux gens, de les
mettre à la porte !!! Et je parle des justiciables, ils n'étaient pas mis
à la porte.
J'ai dit donc à ce gendarme
grand, et rustre et haineux, qui me regardait en colère et avec beaucoup de haine,
que j'avais travaillé au Tribunal de Bucarest, mais que jamais de ma vie je
n'ai vu de pareils "usages" ou [*pareille] coutume et que le Tribunal
n'est pas n'importe quel endroit de travail !!!
Or moi, au ministère des
Finances de Bucarest j'étais employée et je travaillais sous un contrat que
j'avais signé avec Jean Paul Foinant le conseiller pré-adhésion de la France
qui travaillait pour l'Union européenne.
Je n'étais pas l'employée du
ministère des Finances, mais un contrat phare prévoyait un conseiller + son
assistante(interprète-traductrice) et tout se passait dans le cadre de la
préparation de la Roumanie pour qu'elle devienne un état-membre de l'Union
européenne, ce qui est arrivé en 2007 je crois.
Depuis que ce monsieur
Tanasescu avait été nommé, désigné au poste de ministre des Finances, il avait
interdit que les employés du ministère entrent [entrassent ] par devant, par
l'Entrée Générale, et, pour ce qui était de moi et de M.Jean-Paul Foinant il ne
nous considérait même pas comme ayant un rapport avec le ministère !
Nous n'étions pas les
employés du ministère lesquels avaient un légitimat délivré par le ministère,
nous ne possédions pas de légitimat, nous avions dû insister pour qu'un
légitimat, qui était tout à fait différent de celui des employés du ministère,
nous fût délivré !
Mais, les gendarmes ne
reconnaissaient pas notre légitimat !
Jean Paul Foinant avait
insisté auprès de Mme la directrice de la Comptabilité Publique, Doina ILIE qui
en avait parlé au secrétaire général du ministère.
Par la suite nous avons
obtenu ce légitimat.
Toutefois, nous ne pouvions,
je ne pouvais pas entrer facilement au ministère.
Chaque matin le gendarme
regardait longuement ma carte d'identité qui était à l'époque sous la forme
ancienne des bulletins d'identité, donc, je présentais mon bulletin d'identité,
mais le gendarme le regardait si longuement comme s'il avait été faux, ce qui
me rendait perplexe et je sentais les larmes aux yeux ! Je ne comprenais pas ce
qui se passait, mais je voyais qu'ils ne me permettaient pas de travailler !!!!
Le gros bâtiment du
ministère des Finances, situé rue Apolodor, secteur 5, tout près du ministère
de la Justice de Roumanie avait deux Entrées, l'une par devant, l'autre par
derrière.
Pour arriver à l'entrée par
derrière il fallait faire un grand détour.
Derrière le bâtiment du
ministère il y avait des chiens vagabonds.
Le ministre Tanasescu avait
interdit l'accès au ministère par devant, même aux employés du ministère.
Il n'y avait que lui qui
entrait par devant !
Un soir je suis sortie du
ministère par devant et derrière moi, à quelques pas se trouvait, venait le
ministre, j'étais devant lui, je ne me suis pas retournée, mais j'ai senti que
ma sortie par devant ne lui plaisait guère, cependant il s'était tu.
Mais, plus tard, un autre
jour, dont je parle plus haut, ci-dessus, il m'a mise à la porte !
Même par derrière on
m'interdisait l'accès au ministère, le matin vers 9h00, 9h20, 9h30, c'était
dur, depuis l'entrée de derrière où je me trouvais je voyais la porte de mon,
de notre bureau du rez-de-chaussée du ministère, mais je ne pouvais pas entrer
dans mon bureau, car j'étais retenue par le gendarme.
Le gendarme me retenait et
il me demandait ce que je voulais !
Et ceci même si je
présentais mon légitimat, dont il se fichait, et, en outre il regardait avec
intérêt mon bulletin d'identité roumain, de la Roumanie comme s'il avait été
faux !!!!
Je voyais que quelque chose
se passait et n'allait pas bien du tout, mais je ne pouvais pas en identifier
le problème !
Un matin, un gendarme qui
portait des lunettes, avait regardé mon légitimat et mon bulletin d'identité et
m'a laissé entrer, mais, avant il m'avait dit une chose bizarre : "Moi je
vous laisse entrer, parce que je sais DE QUOI IL S'AGIT !"
Je n'ai rien compris de ce
qu'il venait de me dire, je me suis tue pour pouvoir commencer ma journée de
travail, mais plus que jamais je me suis dit que quelque chose n'allait pas
bien du tout et je me demandais comment apprendre ce qui n'allait pas.
Mais cela ne pouvait pas
continuer de la sorte, chaque matin mon entrée au ministère était mise en
question.
Un jour j'ai dit à Jean Paul
Foinant que je ne voulais plus de ce travail - d'ailleurs beaucoup de personnes
voulaient et convoitaient ce travail, c'était épouvantable, ils étaient comme
les abeilles au miel ! - et que j'entendais quitter mon "poste".
Partir.
Présenter ma démission.
Jean-Paul m'avait dit que
"quelqu'un "d'en haut" [ du ministère je présume ] ne voulait
pas que je travaillasse avec lui, avec M.Foinant lequel était le conseiller
pré-adhésion de l'Union européenne.
Cependant Jean Paul m'a dit,
assez en colère, de rester si je veux [*voulais] mon travail.
Mais dans les conditions
données il m'était impossible de rester.
Déjà une autre fille (
enfin, une femme ) voulait mon travail, et elle était venue au ministère de la
province roumaine, d'une ville, de Dej, avec son chef à elle de la Direction
des Finances Publiques de Dej.
C'est vrai, elle avait une
formation dans les Finances.
Mais l'Union européenne
voulait une personne pour le poste d'assistante du conseiller pré-adhésion qui
n'avait plus travaillé les six ou neuf derniers mois dans l'Administration,
cette condition était prévue dans le contrat phare.
Le conseiller ne devait pas
employer une personne de l'Administration publique.
Or moi j'avais cessé de
travailler à la Judecatoria, au "Tribunal" de Bucarest, depuis le
mois de juin 1999, lorsque j'avais présenté ma Lettre de démission pour des
raisons personnelles ( je voulais me marier, j'étais fiancée et je partais en France
).
En fait moi j'ai signé le
contrat de travail avec mon "chef" ( il n'aimait pas que je lui dît
"chef" ) Jean Paul Foinant qui m'avait employée, au mois de décembre
2000.
De manière concrète nous
avons tous les deux commencé le travail au ministère au mois de janvier 2001,
car ils nous refusaient un bureau, un endroit de travail au ministère !
Le 22 juin 2016 je viens de lire aux
journaux que le ministre Tanasescu s'est vu son avoir, ses biens meubles et
immeubles, mis, saisi(s), sous la main de la Justice, car l'Etat roumain est le
créancier de certaines dettes.
Celui qui a pris cette décision de
saisie est le DIICOT ( Home ), ou la Direction d'Investigation des Infractions
de Criminalité Organisée et Terrorisme de Roumanie.
Je me souviens de Jean-Paul Foinant
qui avait offert au ministre Tanasescu un livre sur L'Histoire de la Légion
d'Honneur de la France, car, m'avait Jean-Paul Foinant expliqué, « le
ministre Tanasescu a reçu la Légion d'honneur de la France » !
Jean Paul avait acheté un livre que
je n'ai pas vu, mais qui était coûteux, de son argent !
Il le lui avait donné, je ne sais
plus exactement quand, en 2002 ou 2003 peut-être, lors de l'une de ses venues à
Bucarest.
Au mois de décembre 2001 le contrat
Phare de M.Jean Paul Foinant s'était terminé, avait été clos, au ministère des
Finances.
Plus tard, il est revenu comme
expert au ministère des Finances de Bucarest, mais, pour des missions courtes
allant de 2, ou 3 jours, à une semaine.
Ensuite il repartait en France.
Jean Paul Foinant était trésorier en
France et trésorier en chef à Nancy, avant de décrocher ce contrat Phare de
jumelage avec la Roumanie en 2000, 2001.
www.diicot.ro
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Direcţia
de Investigare a Infracţiunilor de Criminalitate Organizată şi Terorism
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Aperçu par Yahoo
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Din ciclul/Du cycle
: “Point ne sera noyé qui doit être pendu » = « If you are born
to be hanged, then you’ll never drown » , le 22 juin 2016
Motto :
“Point ne
sera noyé qui doit être pendu » =
« If you are born to be hanged,
then you’ll never drown »
{{{{
DIICOT: Sechestru pe
averile foștilor miniștri Dan Ioan Popescu, Tănăsescu, Vlădescu şi Pogea
Citeste mai mult pe REALITATEA.NET: http://www.realitatea.net/diicot-sechestru-pe-averile-fo-tilor-mini-tri-dan-ioan-popescu-tanasescu-vladescu-si-pogea_1950636.html#ixzz4ClmSQhe2
Follow us: @realitatea on Twitter
Procurorii
Direcţiei de Investigare a Infracţiunilor de Criminalitate Organizată şi
Terorism (DIICOT) au dispus, prin ordonanţa din 7 iunie, extinderea şi
începerea urmăririi penale faţă de suspecţii Mihai Tănăsescu, Dan Ioan Popescu,
Sebastian Vlădescu şi Gheorghe Pogea, scrieNews.ro.
Bunuri mobile şi imobile ale celor patru suspecţi au fost
puse sub sechestru, prin ordonanţe din 17 iunie, măsurile asigurătorii
fiindu-le aduse la cunoştinţă foştilor miniştri, a anunţat miercuri DIICOT.
Dan Ioan Popescu, Sebastian Vlădescu şi Gheorghe Pogea au
fost miercuri la DIICOT pentru a li se aduce la cunoştinţă sechestrul pus pe o
parte din avere.
Fostul ministru al Economiei Dan Ioan Popescu a declarat,
la ieşirea de la DIICOT, că procurorii i-au adus la cunoştinţă că este urmărit
penal în cazul Rompetrol 2, “un dosar mamut, de peste un million de pagini”,
dar nu a dat declaraţie miercuri, urmând să revină în altă zi.
Dan Ioan Popescu a precizat, pentru News.ro, că
procurorii i-au pus sechestru pe două apartamente, pe terenuri păşune şi pe
conturi.
Fostul ministru al Finanţelor Mihai Tănăsescu a fost în
17 iunie la DIICOT pentru a fi anunţat că i-a fost pus sechestru pe avere.
Preşedintele Klaus Iohannis a transmis, pe 31 mai,
ministrului Justiţiei cererea de urmărire penală a lui Mihai Tănăsescu,
ministru al Finanţelor în perioada 2000 - 2004, Dan Ioan Popescu, ministru al Economiei
şi Comerţului în perioada 2003 - 2004, Sebastian Vlădescu, fost inistru al
Finanţelor în perioada 2005 - 2007, respectiv în perioada 2009 - 2010 şi
Gheorghe Pogea, ministru al Finanţelor în perioada 2008 - 2009.
Pe 24 mai, Direcţia de Investigare a Infracţiunilor de
Criminalitate Organizată şi Terorism a transmis Parchetului instanţei supreme
referatul şi documentaţia din care rezultă că cei patru foşti miniştri sunt
suspectaţi de comiterea infracţiunilor de constituire a unui grup infracţional organizat
şi complicitate la delapidare.
“În cauză există suspiciunea rezonabilă că, în perioada
septembrie-octombrie 2003, ministrul Finanţelor Publice, Tănăsescu Claudiu
Mihai şi ministrul Economiei şi Comerţului, Popescu Ioan Dan, şi-au exercitat
cu rea credinţă atribuţiile de serviciu, în urma unei înţelegeri cu Patriciu
Dan Costache, George Philip Stephenson şi Nicolcioiu Alexandru, în sensul
iniţierii şi promovării OUG 118/2003 prin care datoriile bugetare restante ale
SC Rompetrol Rafinare SA la data de 30.09.2003 în cuantum de aproximativ
603.000.000 USD au fost convertite în obligaţiuni subscrise de către Ministerul
Finanţelor Publice", informa DIICOT.
Procurorii precizau că, la data de 24 octombrie 2003, în
şedinţa de guvern a fost adoptată OUG 118/2003 cu nerespectarea dispoziţiilor HG
555/2001 şi a Legii 24/2000, nefiind respectate niciuna dintre etapele obligatorii
prevăzute în cele două acte normative.
"În acest sens, de menţionat faptul că nota de
fundamentare a OUG 118/2003 a fost prezentată pentru avizare Ministerului
Justiţiei la data de 27.10.2003, conţinutul acesteia fiind însă diferit de conţinutul notei de fundamentare ce
a stat la mapa actului normative”, mai arăta DIICOT.
În dosarul Rompetrol 2, procurorii DIICOT au pus
sechestru asigurător pe bunuri şi acţiuni ale companiilor Kaz Munay Gas,
Oilfield Business Solutions şi Rompetrol Rafinare, până la suma totală de peste
1,7 miliarde de lei, 290 de milioane de dolari şi aproape 35 de milioane de
euro.
Anchetatorii au dispus, în 22 aprilie, schimbarea
încadrării juridice şi efectuarea în continuare a urmăririi penale faţă de 14
suspecţi, pentru constituire a unui grup infracţional organizat, abuz în
serviciu, înşelăciune, delapidare, evaziune fiscală şi complicitate la aceste
fapte, precum şi spălare de bani.
De asemenea, cei 14 suspecţi sunt urmăriţi penal şi
pentru manipularea pieţei de capital prin tranzacţii sau ordine de
tranzacţionare “care dau sau ar putea da semnale false sau care induc în
eroare în legătură cu cererea, oferta sau preţul instrumentelor financiare,
care menţin prin acţiunea uneia sau a mai multor persoane acţionând împreună,
preţul unuia sau al mai multora instrumente financiare, la un nivel anormal ori
artificial, utilizare a informaţiei privilegiate”.
Prin aceeaşi ordonanţă s-a dispus introducerea în cauză
ca părţi responsabile civilmente a Kaz Munay Gas International NV, SC Oilfield
Exploration Business Solutions SA şi SC Rompetrol Rafinare SA, a precizat
DIICOT.
Potrivit procurorilor, în 1998, mai multe persoane au constituit
un grup infracţional organizat transfrontalier care a avut drept scop
desfăşurarea unor ample activităţi infracţionale în vederea inducerii în eroare
a autorităţilor române cu ocazia încheierii şi derulării unor contracte de
privatizare, folosirea şi însuşirea sumelor de bani ce erau destinate bugetului
consolidat al statului, neevidenţierea în actele contabile ale societăţilor pe
care le controlau a operaţiunilor comerciale efectuate şi a veniturilor
realizate, spălarea sumelor de bani rezultaţi din activităţile infracţionale şi
externalizarea fondurilor astfel obţinute din activităţile infracţionale.
Anchetatorii susţin că grupul infracţional a urmărit dispariţia creanţelor statului din evidenţa contabilităţii publice (creanţele Libia şi Turkmenistan) delapidarea sumelor cuvenite bugetului de
stat şi însuşirea acestora de către persoane care făceau parte din grupul
Rompetrol, în acest sens fiind adoptată în 2003 şi o OUG prin care obligaţiile
bugetare restante ale Rompetrol Rafinare, în valoare de aproximativ 603
milioane de dolari, au fost convertite în obligaţiuni subscrise de către
Ministerul Finanţelor Publice.
Dosarul Rompetrol 2 este disjuns din cel în care au fost
deja condamnate 12 persoane şi în care a fost judecat şi Dinu Patriciu. În dosarul
iniţial Rompetrol, Curtea de Apel Bucureşti i-a condamnat definitiv, în
octombrie 2014, pe fostul senator Sorin Roşca Stănescu, la doi ani şi patru
luni de închisoare, şi pe fostul ministru Sorin Pantiş. la doi ani şi opt luni
de închisoare, în ambele cazuri pedepsele fiind dispuse cu executare. În cazul
omului de afaceri Dinu Patriciu judecătorii Curţii au încetat procesul penal,
ca urmare a decesului acestuia şi au lăsat nesoluţionată partea civilă legată
de acesta.
Citeste mai mult pe REALITATEA.NET: http://www.realitatea.net/diicot-sechestru-pe-averile-fo-tilor-mini-tri-dan-ioan-popescu-tanasescu-vladescu-si-pogea_1950636.html#ixzz4ClmieCcW
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comentarii, Procurorii DIICOT au pus sechestru pe bunuri mobile şi
imobile ale foştilor miniştri Dan Ioan Popescu, Mihai Tănăsescu, Sebastian
Vlădes...
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