L’entrée d’un élu au paradis, Magazine La Voix
de Dieu 23 ianuarie 2016
Cules direct
de pe blog: duminica, 24.01.2016 12:16:08
*Nota : Ieri, pe
23 ianuarie 2016 am primit multe postari de la Magazine La Voix de Dieu, pe
e-mail, pentru ca m-am abonat la acest blog, si postarile ma incanta de fiecare
data, insa nu le pot expedia mai departe colegilor si prietenilor pentru ca
« dragutul » de yahoo france ma limiteaza* [*limiteaza numarul de
expeditii ] si imi blocheaza expedierea mailurilor, pe motiv ca nu poti
comunica prea mult, dupa logica din ziua de azi comunicarea dauneaza, in fine,
este gratuit mailul si calul de dar nu se cautã la dinti, asa vine vorba
româneascã, desi politica lor, a celor de la yahoo france email ar trebui
schimbata in beneficiul comunicarii !
Asa fiind, azi am
intrat direct pe blogul La Voix de Dieu si am cules direct de pe blog postarile
din 23 si 24 ianuarie 2016, pana in jurul orei mai sus mentionate.
La randul meu le
public si eu, sunt foarte frumoase aceste postari si foarte utile !
L’entrée
d’un élu au paradis
L’entrée d’un élu au paradis
Le Fils de
Dieu, donnant à sainte Brigitte ses
instructions, lui parla en ces termes d’un généreux chevalier qui avait
pratiqué les vertus chrétiennes : » Quand cet ami de mon cœur fut arrivé
au dernier moment de sa vie et que son âme quitta son corps, cinq légions
d’anges furent envoyées au-devant de lui. On entendit alors dans le ciel des
voix mélodieuses qui résonnaient purement et qui disaient : » Ô Seigneur
et Père, n’est-ce pas là celui qui s’est attaché à vos volontés et qui les a
parfaitement accomplies ? « Puis une voix de la part de la divinité, lui
dit : » Je t’ai créé et t’ai donné le corps et l’âme. Tu es mon fils et
tu as fait la volonté de ton Père. Viens donc maintenant à ton Créateur
tout-puissant et à ton Père très aimant. L’héritage éternel t’est dû, puisque
tu es fils et puisque tu as été obéissant. Viens donc, ô mon doux enfant, je te
recevrai avec joie et bonheur. »
Une seconde voix, qui était celle de
l’Homme-Dieu, lui dit : » Viens à ton frère, car je me suis offert pour
toi, j’ai répandu mon sang pour l’amour de toi. Viens à moi, car tu as suivi ma
volonté ; viens à moi, car tu as versé sang pour sang, tu as donné vie pour vie
et mort pour mort. Donc toi qui m’as suivi, viens à ma vie, à ma joie qui ne
finira jamais. »
Une troisième voix parla ainsi de la part du
Saint-Esprit : » Viens, ô mon chevalier, toi qui m’as tant désiré et en
qui je me suis plu à établir mon séjour. Pour les travaux de ton corps, entre
dans le repos ; en retour des tribulations de ton esprit, entre dans les
consolations ineffables ; en récompense de ta charité et de tes généreux
combats, entre en moi-même ;
je demeurerai en toi et tu demeureras en moi. »
je demeurerai en toi et tu demeureras en moi. »
Ensuite les cinq légions d’anges firent résonner
leur voix. La première disait : » Allons au-devant de ce généreux soldat
et portons devant lui ses armes ; c’est-à-dire présentons à notre Dieu la foi
qu’il a gardée sans chanceler et qu’il a défendue contre ses ennemis. »
La voix de la deuxième légion dit : »
Portons devant lui son bouclier et montrons à notre Dieu sa patience ; bien
qu’elle soit connue de Dieu, elle en sera plus glorieuse par notre témoignage.
»
La troisième légion dit : » Allons
au-devant de lui et présentons à Dieu son glaive,
c’est-à-dire l’obéissance qu’il a rendue, tant dans les choses pénibles que dans les choses faciles. »
c’est-à-dire l’obéissance qu’il a rendue, tant dans les choses pénibles que dans les choses faciles. »
La quatrième : » Allons et rendons
témoignage à son humilité, car l’humilité précédait et suivait toutes ses
bonnes œuvres. »
La cinquième voix dit : » Donnons
témoignage de son désir divin ; par lequel il soupirait après Dieu. A toute
heure il pensait à Lui dans cœur ; il l’avait toujours en sa bouche, toujours
dans ses œuvres ; il Le désirait par-dessus toutes choses ; pour l’amour de
Lui, il s’est montré comme mort au monde. »
» Voilà comment mon ami vient à moi et de
quel prix il est récompensé. Et bien que tous n’aient pas répandu leur sang
pour l’amour de mon nom, ils recevront néanmoins les mêmes récompenses, s’ils
ont la volonté de donner leur vie pour l’amour de moi quand le temps et
l’occasion s’en offriront. Vois que de biens apporte la bonne volonté. »
(Liv. II, ch. XI.)
*
Accueil
fait par le Seigneur à l’âme glorifiée
Accueil fait par le Seigneur à l’âme
glorifiée
Notre bon
Seigneur, rapporte Julienne de Norwich, me dit : « Je te remercie de
ce que tu as fait pour moi, et spécialement de ce que tu m’as consacré ta
jeunesse. » Puis Dieu me montra trois degrés de béatitude au ciel pour
l’âme qui l’a servi de bon cœur :
le premier, quand le Seigneur la remercie à sa sortie du purgatoire, remerciement si élevé et si glorieux qu’elle se sent comblée et suffisamment récompensée.
Le second, c’est que toute la cour céleste en est témoin, car Dieu fait connaître à tous les élus les services qu’on Lui a rendus.
Le troisième, c’est que la joie donnée à l’âme au moment où elle est ainsi remerciée doit durer toute l’éternité. (VIe Révélation, ch. XIV.)
le premier, quand le Seigneur la remercie à sa sortie du purgatoire, remerciement si élevé et si glorieux qu’elle se sent comblée et suffisamment récompensée.
Le second, c’est que toute la cour céleste en est témoin, car Dieu fait connaître à tous les élus les services qu’on Lui a rendus.
Le troisième, c’est que la joie donnée à l’âme au moment où elle est ainsi remerciée doit durer toute l’éternité. (VIe Révélation, ch. XIV.)
» Plus
tu auras souffert, dit à Suzo, la Sagesse éternelle, plus tu seras
reçu avec égards et dignité. Quelle joie cause cet honneur ! Combien l’âme et
le cœur sont inondés de bonheur en se voyant loués et glorifiés par moi devant
ton Père et toute l’armée céleste ! Je les louerai d’avoir tant souffert en
cette vie, d’avoir tant combattu, d’avoir tant remporté de victoires. »
(L’exemplaire, 2e traité, ch. XII.)
(L’exemplaire, 2e traité, ch. XII.)
Notre-Seigneur
dans l’Evangile nous
déclare ainsi qu’il fera l’éloge des élus : « Venez les bénis de mon Père
; j’ai eu faim et vous m’avez donné à manger, etc… – Courage, bon et fidèle
serviteur, tu as été fidèle dans les petites choses. – Celui qui m’aura
confessé devant les hommes, je le confesserai devant mon Père. – Alors, dit
l’apôtre saint Paul, chacun recevra du Seigneur la louange qui
lui sera due. » (I Cor., IV, 5.)
*
Ce
que perdent ceux qui n’ont pas d’amour
Ce que perdent ceux qui n’ont pas d’amour
Une fois,
raconte sainte Thérèse, pendant l’espace d’une heure et
davantage,
Notre-Seigneur, se tenant toujours près de moi, m’avait découvert des choses merveilleuses : « Regarde, ma fille, ce que perdent ceux qui sont contre moi. Ne manque pas de le leur dire. » (Vie, ch. XXXVIII.)
Notre-Seigneur, se tenant toujours près de moi, m’avait découvert des choses merveilleuses : « Regarde, ma fille, ce que perdent ceux qui sont contre moi. Ne manque pas de le leur dire. » (Vie, ch. XXXVIII.)
Sainte
Catherine de Sienne, qui demeura morte pendant quatre heures et revint ensuite à la vie, avait
vu et les peines des pécheurs dans l’autre monde et la gloire des élus.
Le Seigneur lui dit : « Tu vois de quelle gloire sont privés et de quelles peines sont punis ceux qui m’offensent. Retourne donc à eux pour leur montrer leur erreur, leur péril et le tort qu’ils se font. » (Vie, par le bienheureux Raymond, IIe part., ch. VI.)
Le Seigneur lui dit : « Tu vois de quelle gloire sont privés et de quelles peines sont punis ceux qui m’offensent. Retourne donc à eux pour leur montrer leur erreur, leur péril et le tort qu’ils se font. » (Vie, par le bienheureux Raymond, IIe part., ch. VI.)
Une parole
semblable fut dite à Françoise de Bona après
qu’elle eut été gratifiée
d’une connaissance très élevée de la Sainte Trinité : » Ma fille, j’ai voulu te faire voir de quel bien se privent les pécheurs qui meurent dans leur péché. » (Liv. III, ch. XIV.)
d’une connaissance très élevée de la Sainte Trinité : » Ma fille, j’ai voulu te faire voir de quel bien se privent les pécheurs qui meurent dans leur péché. » (Liv. III, ch. XIV.)
*
Dieu
tout en tous
Dieu tout en tous
Dans une
vision, dit sainte Gertrude, où mon âme ressentait bien, dans les
transports d’une joie parfaite, qu’elle était enrichie des jouissances de son
Bien-Aimé, je compris le sens de ces paroles si pleines de douceur : »
Dieu sera tout en tous. » (I Cor., XV, 28.)
Mon âme puisait, avec une avidité insatiable, ces paroles que le ciel présentait en un breuvage délicieux à l’ardeur de la soif : » Comme je suis la figure de la substance de Dieu, mon Père, dans la divinité même, tu seras la figure de ma substance dans l’humanité et, comme l’air reçoit la clarté des rayons du soleil, de même tu recevras dans ton âme déifiée les écoulements de ma divinité : alors, pénétrée jusqu’aux moelles des rayons de ma lumière, tu deviendras capable d’une union plus familière avec moi. » (Liv. II, ch. VI.)
Mon âme puisait, avec une avidité insatiable, ces paroles que le ciel présentait en un breuvage délicieux à l’ardeur de la soif : » Comme je suis la figure de la substance de Dieu, mon Père, dans la divinité même, tu seras la figure de ma substance dans l’humanité et, comme l’air reçoit la clarté des rayons du soleil, de même tu recevras dans ton âme déifiée les écoulements de ma divinité : alors, pénétrée jusqu’aux moelles des rayons de ma lumière, tu deviendras capable d’une union plus familière avec moi. » (Liv. II, ch. VI.)
Pendant que saint Paul de la Croix,
méditant sur les fins dernières, considérait les joies du paradis, il entendit
le Seigneur lui dire : » Mon fils, au ciel, le bienheureux ne sera pas
uni à moi comme un ami l’est à son ami, mais comme le fer pénétré par le feu. » (Vie, ch.
IV.)
*
Dieu
au ciel aime à être loué dans ses élus
Dieu au ciel aime à être loué dans ses élus
Après la
mort de sainte Mechtilde, Gertrude vit
trois rayons qui partaient du cœur de Dieu et passaient par l’âme de sa sainte
amie pour se diriger sur tous les saints qui, en étant tout illuminés et
réjouis, se mirent à louer pour elle le Seigneur, disant : » Nous vous
louons pour la ravissante beauté de votre épouse, pour l’aimable complaisance
que vous prenez en elle, pour l’union parfaite qui l’a faite une avec vous.
» Et comme Gertrude voyait que le Seigneur prenait un grand plaisir à ces
louanges, elle lui dit : » Pourquoi, mon Seigneur, prenez-vous un si grand
plaisir en cette âme ? » Il répondit : » Parce que, en sa vie, elle
désirait par-dessus tout de me voir loué ; elle a conservé ce désir et je veux
la rassasier de ma louange incessante. » (VIIe part., ch. XVI.).
*
Nos
bonnes œuvres au ciel chantent la louange de Dieu
Nos bonnes œuvres au ciel chantent la louange
de Dieu
La sœur
Mechtilde avait un frère nommé Baudouin qui
était dominicain. Le Seigneur,
lui parlant de ce frère, qui était fort vertueux et zélé, lui dit : » J’ai appris et j’ai vu tous les travaux qu’il supporte, les lectures qu’il fait et les livres qu’il écrit : tout ce qu’il fait chantera un chant d’amour à ma louange devant ma famille éternelle et dira : Dieu grand, éternel, fort, admirable, alléluia ! Et j’exalterai sa tête et toutes ses forces, comme je l’ai fait pour toi,
non seulement dans l’ordre de la nature, mais encore dans celui de la grâce. » (Liv. II, ch. XXI.).
lui parlant de ce frère, qui était fort vertueux et zélé, lui dit : » J’ai appris et j’ai vu tous les travaux qu’il supporte, les lectures qu’il fait et les livres qu’il écrit : tout ce qu’il fait chantera un chant d’amour à ma louange devant ma famille éternelle et dira : Dieu grand, éternel, fort, admirable, alléluia ! Et j’exalterai sa tête et toutes ses forces, comme je l’ai fait pour toi,
non seulement dans l’ordre de la nature, mais encore dans celui de la grâce. » (Liv. II, ch. XXI.).
*
Comment
le Christ a été glorifié dans son corps
Comment le Christ a été glorifié dans son
corps
Mechtilde
priant le Seigneur de rendre grâces à Dieu de sa résurrection future, Il lui
dit : » Je le fais présentement pour toi et pour chacun des miens, aussi
volontiers que pour
moi-même, parce que je considère la gloire de mes membres comme la mienne elle-même,
et l’honneur qui leur est rendu comme rendu à moi-même. L’âme pour laquelle j’acquitte ainsi ces louanges et ces actions de grâces, tandis qu’elle est encore sur la terre, en recevra une grande joie dans les cieux. » Et, comme Mechtilde cherchait en elle-même ce qu’avait été la glorification de l’humanité du Christ lors de sa résurrection, le Seigneur lui dit : « La glorification de mon corps a consisté en ceci, que Dieu le Père m’a donné tout pouvoir au ciel et sur la terre, en sorte que je fusse tout-puissant dans l’humanité comme dans la divinité, pour récompenser, élever et combler mes amis des témoignages de mon amour, selon toute la générosité de mes désirs. La glorification de mes yeux et de mes oreilles m’a donné de pouvoir pénétrer jusqu’au fond de tous les besoins et dans toutes les tribulations de mes fidèles, entendre et exaucer leurs vœux et leurs prières. Tout mon corps a aussi reçu cette gloire, que je puis être partout en l’humanité comme j’y suis en la divinité avec tous et chacun de mes amis, partout où je veux ; ce qu’aucun autre, si puissant qu’il soit, n’a jamais pu et ne pourra jamais. » (Ire part., ch. XIX ; éd. Lat., p. 67.)
moi-même, parce que je considère la gloire de mes membres comme la mienne elle-même,
et l’honneur qui leur est rendu comme rendu à moi-même. L’âme pour laquelle j’acquitte ainsi ces louanges et ces actions de grâces, tandis qu’elle est encore sur la terre, en recevra une grande joie dans les cieux. » Et, comme Mechtilde cherchait en elle-même ce qu’avait été la glorification de l’humanité du Christ lors de sa résurrection, le Seigneur lui dit : « La glorification de mon corps a consisté en ceci, que Dieu le Père m’a donné tout pouvoir au ciel et sur la terre, en sorte que je fusse tout-puissant dans l’humanité comme dans la divinité, pour récompenser, élever et combler mes amis des témoignages de mon amour, selon toute la générosité de mes désirs. La glorification de mes yeux et de mes oreilles m’a donné de pouvoir pénétrer jusqu’au fond de tous les besoins et dans toutes les tribulations de mes fidèles, entendre et exaucer leurs vœux et leurs prières. Tout mon corps a aussi reçu cette gloire, que je puis être partout en l’humanité comme j’y suis en la divinité avec tous et chacun de mes amis, partout où je veux ; ce qu’aucun autre, si puissant qu’il soit, n’a jamais pu et ne pourra jamais. » (Ire part., ch. XIX ; éd. Lat., p. 67.)
*
La
mesure de l’amour méritoire est la mesure de l’amour béatifié
La mesure de l’amour méritoire est la mesure
de l’amour béatifié
Ecoutons Dieu disant à sainte Catherine de Sienne
: » l’âme juste qui termine sa vie dans la charité est éternellement liée
à l’amour. Elle ne peut plus croître en vertu parce que le temps est passé,
mais elle peut toujours aimer avec l’ardeur qu’elle a eue pour venir à moi,
et c’est cette ardeur qui est la mesure de sa félicité. Toujours elle me désire, et son désir n’est pas trompé ; toujours elle aime, toujours elle me possède : elle a faim et elle est rassasiée,
elle est rassasiée et elle a faim, sans jamais éprouver l’ennui de la satiété ni la peine de la faim.
et c’est cette ardeur qui est la mesure de sa félicité. Toujours elle me désire, et son désir n’est pas trompé ; toujours elle aime, toujours elle me possède : elle a faim et elle est rassasiée,
elle est rassasiée et elle a faim, sans jamais éprouver l’ennui de la satiété ni la peine de la faim.
Les élus de
l’amour jouissent de mon éternelle vision ; ils participent au bien que j’ai
moi-même, chacun selon sa mesure, et cette mesure est l’amour qu’ils avaient en
venant à moi. Parce qu’ils ont eu ma charité et celle du prochain, et qu’ils
sont unis ensemble par une charité générale et particulière qui vient du même
principe, ils jouissent et participent, par la charité, au bien de chacun, et
ce bonheur s’ajoute au bonheur universel qu’ils ont tous ensemble ; ils
jouissent avec les anges, parmi lesquels les saints sont placés, selon les
différentes vertus qu’ils ont eues dans le monde avant d’être unis ici dans les
liens de l’éternelle charité. » (Dialogue, ch. XLI.)
*
Participation
au bonheur de ceux que nous avons le plus aimés sur la terre
Participation au bonheur
de ceux que nous avons le plus aimés sur la
terre
» Ils participent surtout, d’une manière
particulière, au bonheur de ceux qu’ils aimaient plus étroitement sur la terre.
Cet amour était un moyen d’augmenter en eux la vertu :
ils étaient les uns pour les autres des occasions de glorifier mon nom en eux et dans leur prochain et comme l’amour qui les unissait n’est pas détruit dans le ciel, ils en jouissent avec plus d’abondance, et cet amour augmente leur bonheur.
ils étaient les uns pour les autres des occasions de glorifier mon nom en eux et dans leur prochain et comme l’amour qui les unissait n’est pas détruit dans le ciel, ils en jouissent avec plus d’abondance, et cet amour augmente leur bonheur.
Ne crois pas
que les élus jouissent seuls de leur bonheur particulier ; il est partagé par
tous les habitants du ciel, par les anges et par mes enfants bien-aimés. Dès
qu’une âme parvient à la vie éternelle, tous participent au bonheur de cette
âme, cette âme participe au bonheur de tous ; la coupe de leur bonheur ne
s’agrandit pas et elle n’a pas besoin d’être remplie, car elle est pleine et ne
peut plus dilater ses bords ; mais leur joie, leur félicité,
leur ivresse s’augmentent à la vue de cette âme ; ils voient que ma miséricorde l’a sauvée de la terre par la plénitude de la grâce et ils se réjouissent en moi du bonheur que cette âme a reçu de ma bonté. Cette âme est heureuse en moi, dans les âmes et dans les esprits bienheureux, parce qu’elle voit et goûte en eux la bonté et la douceur de ma charité. » (Dialogue, ch. XLI.)
leur ivresse s’augmentent à la vue de cette âme ; ils voient que ma miséricorde l’a sauvée de la terre par la plénitude de la grâce et ils se réjouissent en moi du bonheur que cette âme a reçu de ma bonté. Cette âme est heureuse en moi, dans les âmes et dans les esprits bienheureux, parce qu’elle voit et goûte en eux la bonté et la douceur de ma charité. » (Dialogue, ch. XLI.)
*
Les
élus embrasés de charité ont soif du salut des âmes
Les élus embrasés de charité ont soif du
salut des âmes
» Les
désirs des élus s’élèvent toujours vers moi pour le salut du monde ; leur vie a
fini dans l’amour du prochain et cet amour ne les a pas quittés ; ils ont passé
avec lui par la porte de mon Fils bien-aimé, en prenant le moyen dont je te
parlerai bientôt. Remarque qu’ils conservent et conserveront ce lien de l’amour
que n’a pas brisé la mort. » (Ibid.)
*
Sursa :
https://magazinelavoixdedieu.wordpress.com/
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