Sainte Bernadette Soubirous, Lourdes
“Je vais commencer l'introduction par une anecdote : on raconte qu’à
l’approche des Prussiens, en 1870, quelques
personnes effrayées rendirent visite à Sainte Bernadette Soubirous, retirée
dans son couvent de Nevers, afin de recueillir d’elle confidences et réconfort.
La Sainte Vierge aurait-elle dit quelque chose à Lourdes, au sujet de ces
fameux Prussiens ? « Craignez-vous les Prussiens ? », lui aurait-on demandé. Il
semblerait que sa réponse fût simple et lapidaire : « Je ne crains pas
les Prussiens, je ne crains que les mauvais catholiques ». «
( extrait du site :
http://virtusvirtus.wix.com/jimmytomasella#!Les-mauvais-catholiques/cu6k/56a5020f0cf2cede5a4b7cdc
)
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"Je ne crains que les mauvais
catholiques"
(Bernadette Soubirous)
http://notredamedesneiges.over-blog.com/tag/saints%20-%20bienheureux/7
Le nom de Bernadette, l'humble et douce privilégiée de la
Vierge Immaculée, est inséparable
de celui de la fête de
Notre-Dame de Lourdes. Ses parents, François Soubirous (1807-1871) et Louise Castérot (1825-1866),
exploitent le moulin de Boly, où elle est née le 7 janvier 1844. L'entreprise familiale
étant ruinée, Bernadette connaît la faim et la maladie et elle sait à peine
lire et écrire. Son sentiment religieux est déjà très fort même si elle ignore
à peu près tout du catéchisme (« [...]
si la Sainte Vierge m’a choisie, c’est parce que j’étais la plus
ignorante ! » dira-t-elle plus tard). Bernadette avait 14 ans lorsqu’elle
vit pour la première fois la Vierge. En février 1858, alors qu’elle ramassait
du bois avec deux autres petites filles, la Vierge Marie lui apparaît au creux
du rocher de Massabielle, près de Lourdes. Dix huit Apparitions auront ainsi
lieu entre février et juillet 1858. Chargée de transmettre le message de la
Vierge Marie, et non de le faire croire, Bernadette résistera aux accusations
multiples de ses contemporains. Voulant réaliser son désir de vie religieuse,
elle rejoint le 7 juillet 1866 la congrégation des Sœurs de la Charité à Nevers
et y prépare en même temps sa première communion. Elle y reste treize années pendant
lesquelles elle sera traitée sans égards spéciaux. On lui confia successivement
les charges d'infirmière et de sacristine. Bientôt, elle n'eut plus qu'un état,
celui de victime : victime de pureté, elle avouait ne pas connaître le
péché, victime d'humilité, elle se regardait comme « un balai qu'on met dans
un coin ». Il
fallait l'entendre dire : « Marie
est si belle que, quand on L'a vue une fois, on voudrait mourir pour La
revoir ». Elle
meurt le 16 avril 1879 à Nevers à l'âge de trente-cinq ans. Pour les besoins du
procès en canonisation, son corps doit être reconnu. Son cercueil sera ouvert 3
fois et son corps retrouvé intact. Elle repose depuis 1925 dans une châsse de verre et de
bronze dans la chapelle de l'Espace Bernadette à Nevers.
Bernadette Soubirous a été béatifiée
le 14 juin 1925 sous le nom de Sœur Marie-Bernard puis canonisée le 8 décembre
1933 par le pape Pie XI. La Sainte Vierge lui avait promis de la rendre
heureuse, « non pas
en ce monde, mais au Ciel ».
Liens : Lettre sur Sainte
Bernadette Soubirous, par l'abbé Dom Antoine Marie, osb (Abbaye Saint
Joseph de Clairval) + FILM : La passion de
Bernadette + Priez pour moi, pauvre pécheresse, pauvre
pécheresse...
Source :
http://notredamedesneiges.over-blog.com/tag/saints%20-%20bienheureux/7
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FILM : La Passion de Bernadette
http://notredamedesneiges.over-blog.com/article-film-la-passion-de-bernadette-61057952.html
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La Vie de (sainte) Bernadette
Soubirous, extrait, dans la lettre suivante :
(Une belle
lettre, à lire, mais on ne peut pas la publier
sans autorisation demandée par e-mail, alors je
préfère la lire :
http://www.clairval.com/lettres/fr/98/i2septembre98.htm
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